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Barjot - Tome 3 - La destinée, roman,
Claude Lemay, Fondation littéraire
Fleur de Lys |
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PRÉSENTATION
La
Barjot - Tome 3 - La destinée, roman,
Claude Lemay, Fondation littéraire
Fleur de Lys
L’histoire des Barjaulet fait
d’ores et déjà partie du patrimoine de notre coin de
pays. L’imaginaire populaire s’est plus d’une fois
débridé dans leur cas. Aborder le sujet, c’est se
poser bien des questions. Les gens d’ici ont de tout
temps été fort enclins à tergiverser et fabuler sur
l’avenir de leurs semblables, surtout quand ils sont
aussi caractériels que les Barjaulet, de génération
en génération. Mais…
La malédiction des Barjaulet est-elle intemporelle?
Devront-ils en subir les affres de génération en
génération? Colombe et Xavier pourront-ils
finalement avoir une vie bien à eux? Béatrice
doit-elle s’inquiéter de l’avenir de Zelda,
maintenant qu’elle fait elle aussi partie intégrante
du cercle des Barjaulet? Et qu’en sera-t-il de
Joseph et de Maxime? Quelles sont les épreuves qui
les attendent? Ont-ils seulement un avenir? La suite
des événements ne sera-t-elle encore que frustration
pour le plus jeune des Barjaulet?
À vous de le lire…
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EXTRAIT
La
Barjot - Tome 3 - La destinée, roman,
Claude Lemay, Fondation littéraire
Fleur de Lys
CHAPITRE 1 - FATALITÉ (Extrait)
Colombe a été
soufflée tel un château de cartes. Elle a du mal à encaisser le coup. La
nouvelle l’a frappée de plein fouet. Elle croyait avoir pris ses distances
vis-à-vis Bertrand, mais d’apprendre là, comme ça, qu’il s’est enlevé la vie
la bouleverse profondément. Il lui passe plein d’idées par la tête; une
vraie rafale qui la boule¬verse. Il lui remonte plein de souvenirs à
l’esprit. C’est fou comme la vie bascule subitement. Colombe est submergée
d’une peine profonde. Que c’est triste d’en finir ainsi ! Bertrand n’aura
donc jamais su se donner le droit au bonheur. Il n’aura pas su s’accrocher
au beau de sa vie, vacillant constamment pour sombrer dans le gris de son
existence. Le pire n’aura pas été d’avoir eu un parcours tortueux, mais de
ne pas avoir su s’accrocher à ce que la vie lui aura offert de plus beau.
Cela n’aura peut-être jamais été le grand amour-passion entre lui et sa
Colombe. Pourtant celle-ci lui aurait toujours accordé son amour s’il avait
su être un peu moins invivable. Elle en a enduré pas mal à ses côtés. Par
contre elle avait déjà vécu pire. Pour elle, son mariage avec Bertrand aura
été le prix à payer pour se libérer de sa situation familiale infernale.
Puis vint le point de non-retour où Colombe n’aurait plus su se pardonner
d’entraîner ses deux filles là-dedans. Le problème de Bertrand est qu’il n’a
jamais su s’arrêter, finissant toujours par outrepasser les limites. Quand
il perdait la maîtrise de lui-même, il ne faisait pas que se fâcher, il se
mettait en colère. Il pouvait piquer des crises terribles quand il voyait
noir. Combien de fois il s’est retrouvé dans le trouble pour avoir perdu la
carte ! Sa descente aux enfers a commencé quand Colombe en a eu assez de ses
sautes d’humeur. Tant qu’elle en était la seule victime, elle a enduré. Il
est allé trop loin quand il s’est mis à s’en prendre aux filles. Ouf ! Là,
ça en était trop. Le Bertrand a vite réalisé que sa Colombe pouvait avoir du
caractère. Qui a connu sa mère Rose-Aimée sait qu’elle a de qui retenir.
Quoi qu’il en soit, l’homme s’est fait mettre à la porte illico presto. Il
n’en revenait pas de voir sa frêle épouse réagir aussi promptement, elle qui
avait toujours tout enduré en pliant l’échine. La grande Colombe ne s’était
jamais rebiffée et avait toujours enduré son sale caractère.
À partir de là, tout a dégénéré. Sur le coup Bertrand est allé se saouler la
gueule. On en parle encore à l’hôtel de Saint-Rédempteur. Il s’était offert
la cuite du siècle. S’il avait su fermer sa grande gueule, il en aurait été
quitte pour une mémorable gueule de bois le lendemain. À chercher le trouble
comme il le faisait toujours, l’homme a heurté un mur. Il s’en est pris à
plus fort que lui. En fait, presque tout le monde était plus fort que lui.
Ce n’est qu’en gueule qu’il pouvait rivaliser avec quiconque. Quand c’était
le temps de jouer aux bras, il se réfugiait rapidement derrière sa
fanfaronnade. Ce soir-là, trop éméché pour se rendre compte qu’il aurait dû
battre en retraite depuis longtemps, Bertrand a rencontré son homme; un
solide gaillard aussi saoul que lui qui lui a foutu toute une raclée.
Bertrand n’a jamais accepté de perdre la face. Après avoir dessaoulé et
repris quelques forces, il s’était dirigé chez son agresseur pour le poivrer
d’une décharge de chevrotines. Du coup, le Bertrand s’est retrouvé en taule
pour un temps.
Cela aurait dû lui servir de leçon. Après avoir purgé sa peine, Bertrand
aurait dû rester penaud chez lui et reprendre une vie tranquille avec sa
petite famille qui était prête à lui pardonner ses écarts du passé. Colombe
avait même mis en veilleuse son amitié avec Xavier. N’étant pas dupe de ses
sentiments qui se développaient pour son ami, elle a préféré jouer
franc-jeu. Quand Bertrand est débarqué à nouveau dans son quotidien, elle a
repris sa vie de femme mariée avec toute sa bonne volonté.
Cela a duré un temps, jusqu’à ce que la jalousie maladive de Bertrand ne
vienne encore tout gâcher. Cela en était redevenu infernal. Bertrand s’est
remis les pieds dans les plats. Dans une autre de ses sautes d’humeur, il
est allé agresser Dave McNab, le fils de madame Ward qui employait Colombe.
Bertrand a rossé l’individu, mais il en a été quitte pour une blessure par
balle et un retour derrière les barreaux. Une fois de plus, l’homme a dû
ronger son frein. Aurait-il compris cette fois-ci ? Nul ne le saura. Par
contre, il est clair qu’il a mal pris sa séparation d’avec Colombe. Il en a
ragé, tant il en a vécu de la frustration. Il s’est senti trappé, pris comme
un rat dans sa prison. De sa cellule, il ne pouvait plus rien faire pour
tenter de se reprendre aux yeux de Colombe. En fait, nul ne sait s’il en
aurait réellement fait l’effort. Par contre, des codétenus raconteraient que
sa frustration a culminé, quand il est venu à ses oreilles, que Colombe
vivait une nouvelle relation amoureuse avec Xavier, son ami de toujours.
Est-ce cela que l’homme n’a pas pris, ou est-ce le triste bilan qu’il a
dressé de son existence, qui l’a accablé au point de poser son geste fatal ?
Il y a de ces drames que l’on n’arrive jamais à saisir totalement. Ils nous
laissent plongés dans la perplexité. C’est souvent là que se réveillent nos
propres démons. Colombe est à l’aube d’une longue période de questionnement
et d’incompréhension. Son désarroi est profond. Impuissant, Xavier la voit
totalement décontenancée. Son réflexe est de serrer Colombe dans ses bras et
de la laisser sangloter sur son épaule.
Cruellement néanmoins, la vie poursuit son cours. Colombe regarde l’heure.
Les filles sont chez Béatrice pour l’instant. Quelle attitude adopter face à
elles ? Comment leur annoncer la mort de leur père ? Doit-elle les mettre au
fait des circonstances du drame ? Comment expliquer à des enfants que l’on
puisse vouloir s’enlever délibérément la vie ? Colombe se demande si elle
doit les préserver ou leur dire toute la vérité. Elle a toujours été du
genre à jouer franc-jeu, mais Sophie et Charlotte sont encore si jeunes. Un
tel drame risque certes de les bouleverser. Déjà qu’elles n’ont pas encore
saisi toutes les circonstances qui ont mené leur père en prison. La première
fois, alors qu’elles étaient plus jeunes, Colombe s’était contentée de
parler tout d’abord d’absence prolongée. Elle avait bien fini par leur en
dire un peu plus. Les ragots ont toujours circulé allègrement dans une
petite place comme ici. Il est clair que la détention de Bertrand ne pouvait
passer sous silence et les pires histoires seraient venues aux oreilles des
filles. Aussi bien prendre les devants dans ces circonstances. La deuxième
fois, les filles étaient plus vieilles et déjà plus conscientes des troubles
de comportement de leur paternel pour en avoir fait elles-mêmes les frais.
Colombe a alors pu parler plus ouvertement des problèmes de Bertrand avec
elles. Les réactions des deux jeunes ados furent alors mitigées. Sophie, la
plus vieille, s’était braquée plus diamétralement contre son père. Celle-ci
a vu plus souvent sa mère pleurer après les crises de son père. Elle lui en
voulait pour cela; plus parce qu’il faisait de la peine à sa mère que parce
qu’il était rude avec elle aussi.
Charlotte, elle, démontrait plus d’incompréhension alors que leur mère
persistait à leur dire que malgré tout leur père les aime. Colombe était
bien placée pour savoir qu’il n’y avait rien de plus cruel pour un enfant de
se sentir mal-aimé de ses parents. Par contre, la plus jeune avait de la
difficulté à concevoir que son père puisse les rudoyer tout en les aimant
comme le prétendait leur mère. C’était incompréhensible pour elle. Ce n’est
pas que Colombe cherchait à excuser Bertrand à leurs yeux. Par contre, la
mère est au fait des dommages que de telles situations peuvent causer à
l’amour-propre de jeunes ados. C’est souvent à cet âge que la confiance en
soi s’effrite. Elle est par la suite si difficile à rebâtir.
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Barjot - Tome 3 - La destinée, roman,
Claude Lemay, Fondation littéraire
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AU SUJET DE L'AUTEUR
Claude
Lemay
Claude
Lemay écrit depuis toujours. Dès l’âge du primaire, il s’amuse déjà
à aligner des mots pour pondre ses premiers romans. Claude Lemay,
c’est aussi un touche-à-tout actif et polyvalente comme en témoigne
son cheminement. Bien que diplômé universitaire en marketing, il
alimente aussi son côté manuel et pratique en perfectionnant son
intérêt pour le travail des métaux. À bien des niveaux, il se
considère avant tout comme un autodidacte. Il aime comprendre
comment fonctionnent les choses et comment elles sont faites. Ainsi,
il se passionne aussi pour la soudure et la métallurgie. Il œuvrera
pendant plusieurs années en représentation et assistance technique
en ce domaine. Il tâtera aussi la consultation et la formation. Pour
lui, tout est matière à parfaire sa culture générale et à satisfaire
sa curiosité insatiable. Il en viendra à lancer sa propre entreprise
de distribution de gaz industriels, médicaux, alimentaires et de
produits de soudage.
Pendant tout ce temps, il ne cesse d’écrire. Régulièrement et
périodiquement, il pond un nouveau roman. Au fil de ses écrits, il
touche le roman policier et principalement le roman d’aventures. On
dit que son écriture masculine est empreinte d’une belle sensibilité
et qu’il sait faire ressentir les émotions de ses personnages.
Ceux-ci pouvant être vous et moi. Comment réagirait-on dans telle ou
telle circonstance ? Ses derniers écrits portent d'ailleurs sur la
perception des sentiments face aux situations émotives; celles qui
bouleversent une vie.
Cet auteur a toujours joué sur la perspective de sa dualité.
N’est-ce pas le paradoxe humain? Chaque geste, chaque événement,
chaque réaction seront perçus en fonction de son propre cheminement
et selon les circonstances particulières du moment. Le pire des
criminels n’est-il pas aussi la plupart du temps un bon père de
famille ou un individu apprécié de ses pairs dans son domaine
d’activités quotidiennes? Qu’est-ce qui est courageux? Un acte de
bravoure spontané ou le dévouement de toute une vie dans son lot de
banalités quotidiennes? Où se situe l’équilibre entre le modernisme,
le progrès et l’enracinement à ses valeurs profondes? Ce flirt avec
la dualité lui vient sûrement de son cheminement et de son vécu.
Profondément urbain, il adore aussi les grands espaces. Élevé dans
un quartier populaire de l’est de Montréal, il passait néanmoins ses
étés sur une ferme à la campagne. Confronté à la dure réalité de son
quartier populeux, il côtoie aussi l’aisance des écoles privées où
ses parents l’inscrivent pour lui offrir une « bonne éducation ».
L’auteur en vient à croire que c’est en se confrontant à ses
extrêmes que l’on se définit soi-même. Claude Lemay est certes un
homme de convictions, mais pas de conventions. Il ne croit pas qu’il
faille suivre inexorablement les chemins tracés. Il faut aussi
savoir en inventer.
Bon nombre d’auteurs ont tenté de comprendre l’humain. On aimerait
tous y parvenir dans notre quotidien alors que notre propre
cheminement et l’actualité omniprésente nous présentent les facettes
les plus fascinantes, mais aussi les plus bouleversantes de la
nature humaine. Après deux romans publiés à compte d’auteur « La
force du passé » et « Désespoir en terre d’accueil/Appel au 911 »,
l’auteur s’applique ici à décrire un pan de vie de personnages à
tout le moins fort caractériels; de ceux qui par leur côté scabreux
alimentent le folklore et l’imaginaire de tout un coin de pays. Le
type de personne dont on se plaît à parler et qui suscite les
tergiversations de toute une communauté. Une fois qu’on en a tout
dit, qu’en reste-t-il? Un lourd héritage qu’auront à porter les
générations suivantes. C’est ce que Claude Lemay s’est appliqué à
décrire dans la présente trilogie. Vous avez suivi les Barjaulet dès
leur arrivée dans le petit village de Saint-Rédempteur. Vous avez
été témoin de la saga qui en est découlée avec la Barjot Tome 1
L’arrivée à Saint-Rédempteur ». Puis vous avez suivi la fatalité de
cette famille dans La Barjot Tome 2 « La malédiction ». Les deux
premiers tomes ont trouvé leur niche en librairie et ont bénéficié
d’une bonne couverture médiatique. Les commentaires et critiques
reçus se veulent encore flatteurs. Nous en sommes alors à la
conclusion de cette trilogie qui a su vous fasciner jusqu’ici. Je
vous propose donc la lecture de La Barjot Tome 3 « La destinée »…La
leur pourra-t-elle finalement être un peu plus heureuse ? Peut-on y
croire dans le cas des Barjaulet? Je vous invite donc à lire la
conclusion de cette ténébreuse trilogie….
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DU MÊME AUTEUR - TOUS LES TITRES DE CET AUTEUR
Claude
Lemay
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La
force du passé
CLAUDE LEMAY
Roman,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Laval, Québec, 2009, 184 pages.
ISBN 978-2-89612-273-8
http://manuscritdepot.com/a.claude-lemay.1.htm
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Désespoir en terre
d’accueil (Appel au 9-1-1)
CLAUDE LEMAY
Roman (inspiré d’un fait vécu),
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Laval, Québec, 2010, 124 pages.
ISBN 978-2-89612-344-5
http://manuscritdepot.com/a.claude-lemay.2.htm |
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La Barjot
Tome 1 - L'arrivée à Saint-Rédempteur
(Lanaudière, Qc)
-
CLAUDE LEMAY
Roman
Fondation littéraire Fleur de Lys
Lévis, Québec, 2012, 190 pages
ISBN 978-2-89612-398-8
-
http://manuscritdepot.com/a.claude-lemay.3.htm
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La Barjot
Tome 2 - La malédiction
-
CLAUDE LEMAY
Roman
Fondation littéraire Fleur de Lys
Lévis, Québec, 2012, 222 pages
ISBN 978-2-89612-421-3
-
http://manuscritdepot.com/a.claude-lemay.4.htm
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La Barjot
Tome 3 - La destinée
-
CLAUDE LEMAY
Roman
Fondation littéraire Fleur de Lys
Lévis, Québec, 2013, 822 pages
ISBN 978-2-89612-433-6
-
http://manuscritdepot.com/a.claude-lemay.5.htm
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Claude
Lemay
Claude Lemay se fera un plaisir de lire et
de répondre personnellement à vos courriels.
Adresse de correspondance électronique :
claudelemay41@hotmail.com
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