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COUVERTURES
Adrien Pouliot et le développement
de la radio française dans les Prairies,
Histoire - Canada, Alain Canuel, Fondation
littéraire Fleur de Lys
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PRÉSENTATION
Adrien Pouliot et le développement
de la radio française dans les Prairies,
Histoire - Canada, Alain Canuel, Fondation
littéraire Fleur de Lys
L'ouvrage porte sur le
développement des stations radiophoniques
d’expression française dans les provinces des
Prairies entre 1946 et 1952 . Les objectifs de
recherche s’articulent autour de deux approches
complémentaires: l’étude de la radio selon une
perspective globale permettant de mieux saisir la
dynamique qui sous-tend le développement des quatre
stations d’expression française dans les Prairies et
la mise en évidence de l’appui incontestable de
Adrien Pouliot qui a marqué tout un pan de
l’histoire de la radio par ses qualités de maître
d’œuvre, de diplomate et de rassembleur. Figure
emblématique de son temps, celui-ci a joué un rôle
prépondérant comme membre du Bureau des gouverneurs
de Radio-Canada. À maintes reprises, Pouliot a dû,
au sein de cet organisme public qui réglemente et
supervise le système canadien de la radio, agir avec
circonspection tout en faisant preuve de ténacité
pour contrecarrer, sous toutes ses formes, les
intentions belliqueuses ou les critiques acérées des
opposants au projet de développement de la radio
française dans les Prairies. L’étude entend jeter un
éclairage nouveau sur la radio française de l’Ouest
en mettant l’accent sur les projets, les
réalisations et les aspirations de cet homme qui a
influencé, à maints égards, son développement. Ce
faisant, Adrien Pouliot a manifesté un intérêt
marqué pour le sort des communautés canadiennes
françaises des autres provinces en se rattachant à
une pensée nationaliste susceptible de protéger les
droits des Canadiens français.
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EXTRAIT
Adrien Pouliot et le développement
de la radio française dans les Prairies,
Histoire - Canada, Alain Canuel, Fondation
littéraire Fleur de Lys
INTRODUCTION
Le développement de la radio au Canada nous semble un thème familier. C’est
du moins ce qui ressort de nombreux ouvrages et références sur la radio
publique véhiculés par les écrits scientifiques, les articles de journaux,
les documents d’archives, les publications officielles des gouvernements ou
encore celles d’organismes de radiodiffusion. La majorité de ces écrits
mettent l’accent sur le développement des réseaux publics et privés de
langue anglaise. Depuis la fin des années 1950, des écrits sur la radio
française au Canada ont peu à peu émergé de l’ombre pour se concentrer en
grande majorité sur le développement de la radio au Québec. À cet égard, peu
d’ouvrages ont décrit de façon rigoureuse l’émergence de la radio française
dans les autres provinces canadiennes, notamment en Saskatchewan, au
Manitoba et en Alberta. Parmi les plus importantes monographies qui
retiennent notre attention, citons celle de Rossel Vien intitulée La
radio française dans l’Ouest. L’auteur présente les premiers
balbutiements de la station CBK à Watrous, Saskatchewan, et la naissance de
la radio CKSB au Manitoba. À travers les documents d’archives, les
collections d’hebdomadaires et les revues françaises du Manitoba, de la
Saskatchewan et de l’Alberta, Rossel Vien brosse un portrait fidèle des
grands moments qui ont conduit à la naissance, en 1946, de CKSB. Il y a,
bien sûr, le livre de Laurier Gareau qui, par son titre évocateur, Le
défi de la radio française en Saskatchewan, donne le ton à une série
d’événements entremêlés de luttes acharnées et de déceptions avant de
connaître un dénouement heureux avec la création des stations CFRG et CFNS.
D’autres publications méritent également notre attention puisqu’elle font
état des principaux acteurs qui ont travaillé pour l’obtention du poste CHFA,
en Alberta. Mentionnons le collectif 50
ans de radio, tant de choses à dire, en particulier les deux chapitres
écrits par Laurier Gareau sur l’évolution de la radio dans les Prairies. Les
autres chapitres du livre, quoique intéressants, n’abordent que très
partiellement la période radiophonique de 1930 à 1950. Pour sa part,
l’ouvrage de Guy Pariseau intitulé La
radio et la télévision françaises en Alberta : 1949-1987, relate, entre
autres, les aléas de la radio albertaine de même que l’opposition de
certains ministres provinciaux qui fustigent la radio française et
soutiennent qu’elle est un danger pour l’unité nationale. Parallèlement, la
publication Écoutez vous
verrez, CHFA de 1949 à 1999 de
l’auteure, France Levasseur-Ouimet, est présentée selon trois grandes
divisions: la première est caractérisée par les témoignages de ceux et
celles qui ont contribué “à la création et au maintien d’un poste de radio
française en Alberta.”
La seconde décrit l’historique de CHFA en trois volets: de 1922 à 1949, de
1949 à 1974 et de 1974 à 1999. Enfin, la troisième division porte un bref
regard sur l’avenir de la radio. D’une approche plus succincte, la
publication de Frank Peers,The Politics of Canadian Broadcasting, et
celle de E. Austin Weir, The
Strugle for National Broadcasting in Canada, s’inscrivent dans la foulée
des ouvrages sur le développement de la radio d’expression anglaise au
Canada tout en abordant sommairement la radio d’expression française.
Considéré comme une sorte d’appendice de la radio d’expression anglaise,
plusieurs aspects relatifs à l’évolution de la radio française ne sont
qu’effleurés, sinon carrément négligés.
Les publications susmentionnées favorisent une approche focalisée le plus
souvent sur l’étude d’une seule station. Notre ouvrage nous a donc conduit à
étudier le développement des stations radiophoniques d’expression française
en s’appuyant sur une démarche holistique. C’est dire que la poursuite de
nos objectifs de recherche s’articule autour de deux approches
complémentaires: l’étude de la radio selon une perspective globale nous
permettant de mieux saisir la dynamique qui sous-tend le développement des
stations d’expression française dans les Prairies et la mise en évidence de
l’appui incontestable de Adrien Pouliot qui a marqué tout un pan de
l’histoire de la radio par ses qualités de maître d’oeuvre, de diplomate et
de rassembleur. Figure emblématique de son temps, celui-ci a joué un rôle
prépondérant comme membre du Bureau des gouverneurs de Radio-Canada. À
maintes reprises, Adrien Pouliot a dû, au sein de cet organisme public qui
réglemente et supervise le système canadien de la radio, agir avec
circonspection tout en faisant preuve de ténacité pour contrecarrer, sous
toutes ses formes, les intentions belliqueuses ou les critiques acérées des
opposants au projet de développement de la radio française dans les
Prairies. Notre étude entend jeter un éclairage nouveau sur la radio
française de l’Ouest en mettant l’accent sur les projets, les réalisations
et les aspirations de cet homme qui a influencé, à maints égards, son
développement. Ce faisant, Adrien Pouliot a manifesté un intérêt marqué pour
le sort des communautés canadiennes françaises des autres provinces en se
rattachant à une pensée nationaliste susceptible de protéger les droits des
Canadiens français. Malgré son immense contribution, il serait présomptueux
d’affirmer que Pouliot a été le seul maître d’oeuvre d’un projet d’envergure
qui nécessitait la collaboration de nombreux acteurs tant sur la scène
provinciale, sur l’échiquier politique que sur le groupement communautaire.
Mentionnons au passage les noms de l’abbé Maurice Baudoux, Antonio de
Margerie, Raymond Denis, Dumont Lepage, le docteur Léon-Omer Beauchemin,
Antoine Deschambault qui ont apporté un appui inconditionnel au projet et de
tous ceux qui ont oeuvré dans des organisations telles l’Association
canadienne française de l’Alberta (ACFA), le Comité de survivance française
(CSF), les Sociétés Saint-Jean-Baptiste (SSJB), Radio-Ouest-Française (ROF)
ou l’Association catholique franco-canadienne de la Saskatchewan (ACFC) pour
n’en nommer que quelques-unes.
Dès lors, notre recherche s’appuie sur un ensemble d’interrogations. À titre
de membre du Bureau des gouverneurs de Radio-Canada, quel rôle Adrien
Pouliot a-t-il joué dans le développement de la radio française de l’Ouest ?
Comment les pionniers de la radio de l’Ouest conçoivent-ils le rôle de
Pouliot? Par rapport au réseau institutionnel et politique canadien-français
et à ses élites, comment Adrien Pouliot a-t-il transmis sa vision pour
assurer la présence d’une radio française dans l’Ouest ? De par le concours
de Adrien Pouliot, quels sont les mécanismes et les événements qui ont
constitué un élément déclencheur pouvant expliquer les métamorphoses qu’a
connues la radio française dans l’Ouest? Enfin, comment Adrien Pouliot
s’inscrit-il dans la stratégie déployée pour contrer les résistances
politiques et sociales au projet d’une radio française ?
L’étude des rapports entre Adrien Pouliot et les protagonistes de la radio
française dans l’Ouest permet de rendre compte des réussites et des échecs
liées aux stratégies déployées, au soutien des communautés francophones du
Québec et d’ailleurs, à l’influence du clergé, à l’appareil politique et aux
associations canadiennes françaises pour l’obtention de permis de diffusion.
Par-delà les luttes constantes qui ont mené à la création de stations
radiophoniques françaises dans l’Ouest, nous nous sommes également intéressé
aux actions et aux revendications des communautés qui se cristallisent
autour de l’usage du français. Véritable pierre d’assise, cette approche
constitue le premier maillon de notre démarche holistique tout en permettant
de mieux mesurer l’ampleur des défis continuels auxquels font face les
communautés francophones des Prairies et, a fortiori, de constater que le
développement de la radio constitue une autre bataille pour l’épanouissement
de ces populations.
Notre ouvrage se divise en sept chapitres. Le premier chapitre présente
quelques épisodes de la première moitié du 20e siècle, où les populations
francophones du Canada ont dû lutter pour sauvegarder leur langue, leur
culture ou leurs droits de citoyens à part entière. Nous nous limitons
cependant à trois exemples probants qui servent de toile de fonds à notre
propos. En 1918, “la question linguistique [devient] un sujet de brûlante
actualité pour la population de la Saskatchewan.”
Nous verrons que cette situation trouvera un large écho au Manitoba et en
Alberta. Quelques années plus tard, c’est autour de la question du
timbre-poste, de l’émission de la monnaie, des notes et des obligations que
s’amorce le débat sur le bilinguisme. Enfin, la solution politique qui émane
du gouvernement de Richard Bedford Bennet (1930-1935), laquelle est
directement liée au problème du bilinguisme, se reflétera désormais dans les
différentes sphères d'activités des services nationaux. À cet égard, nous
verrons que la radio des années 1930 n'y échappe pas. Le chapitre 2 traite
de l’évolution de la radio française dans l’Ouest entre 1933 et 1940 et de
la modeste programmation française qu’on y présente. Cette analyse servira
d’ancrage à l’entrée en scène de Adrien Pouliot vers la fin de cette
période. Le chapitre 3 définit le rôle accru de Pouliot dans le dossier de
l’Ouest. Ce dernier devra chercher à concilier l’équilibre des pouvoirs
entre les différents protagonistes de l’Est (plus particulièrement, ceux du
Québec) et de l’Ouest qui poursuivent un but commun, mais dont les visées
sont parfois quelque peu différentes. Le chapitre 4 précise le double rôle
de Pouliot à la fois comme membre du Bureau des gouverneurs et président du
Comité permanent de la langue française en Amérique tout en élargissant les
propos de la radio à l’ensemble du Canada. Il est question, entre autres, du
projet de la radio à Bathurst, Nouveau-Brunswick, et du déplacement de
Pouliot dans l’Ouest. Nous examinerons également l’incidence du plébiscite
de 1942 sur la radio. Le chapitre fait également état d’une relation plus
harmonieuse entre Pouliot et Baudoux, élément essentiel à la stratégie
nationale de la radio française. Le chapitre 5 s’attarde à la structure
organisationnelle de la communauté francophone du pays pour l’obtention de
postes français au Canada. Il met en relief le rôle de Adrien Pouliot qui,
avec une habileté consommée, parvient à apaiser les esprits échauffés et les
tensions sociales qui pèsent sur la radio en prônant l’unité nationale. Deux
exemples, en particulier, servent à illustrer notre propos: le plébiscite de
1942 et la réunion du Bureau des gouverneurs à Calgary, le 18 septembre
1947. Le chapitre cherche enfin à mieux comprendre les jeux de coulisses qui
viennent interférer dans le projet de la radio de l’Ouest. En contrepoint du
chapitre 5, la demande auprès des gouverneurs de deux postes en Saskatchewan
constitue la pierre angulaire du chapitre 6. Il est notamment question du
ministre, C. D. Howe, qui freine le projet en utilisant le prétexte de la
rareté de l’acier, mais dont les intentions véritables portent sur la
crainte de déplaire à l’élément anglo-saxon. Nous verrons également comment
Adrien Pouliot gère l’imbroglio que crée Raymond Denis lorsqu’il propose de
mettre sur pied une station bilingue et comment il arrive à trouver un
consensus entre les divers intervenants de la radio en Saskatchewan. Le
chapitre 7 constitue le dernier volet de notre analyse. Il relate les
difficultés techniques et financières que connaissent les stations de la
Saskatchewan, l’importance de la Commission royale d’enquête sur la radio et
la télévision (Commission Fowler) sur le développement de la radio dans
l’Ouest et les mutations que va connaître le monde des médias avec les
nouvelles réglementations, l’arrivée de la télévision, des stations FM, etc.
Nous concluons finalement sur l’histoire de la radio dans l’Ouest en
transcendant l’argumentation organisationnelle et linguistique qui a été le
principal fil conducteur de notre étude et rendons hommage au travail
accompli de Adrien Pouliot.
France
Levasseur-Ouimet, Écoutez,
vous verrez. En souvenir du 50e anniversaire de CHFA Radio-Canada.
Les Éditions Félix, Chicoutimi, 1999, 276 pages.
Raymond
Huel, L’association
catholique franco-canadienne de la Saskatchewan: un rempart contre
l’assimilation culturelle, 1912-1934, p. 32
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AU SUJET DE L'AUTEUR
ALAIN CANUEL
L’auteur possède un doctorat en
histoire et sociopolitique des sciences (Université
de Montréal) et a complété ses études
post-doctorales à l'université McGill. Au cours de
sa carrière, il a enseigné à titre de chargé de
cours à l'UQAC, l'UQAM, l'UQO, l'université
Concordia et à l'université d'Ottawa. Pendant plus
de 20 ans, il a occupé divers postes au gouvernement
fédéral à titre d'agent de programme senior et de
directeur adjoint aux trois agences subventionnaires
(Conseil de recherches en sciences humaines, Conseil
de recherches en science et en génie du Canada et
aux Instituts de recherche en santé du Canada). Il a
été responsable de programmes tels les Réseaux de
centres d’excellence du Canada, le programme de
bourses d’études supérieures du Canada Vanier, le
programme d’Aide aux revues savantes et plusieurs
autres. Au cours de sa carrière, il a publié divers
articles scientifiques dans des revues canadiennes
et étrangères de même que dans des ouvrages
collectifs nationaux et internationaux. Il a
participé à de nombreux colloques, conférences et
autres activités scientifiques à l'échelle nationale
et internationale. Pendant plus de 10 ans, il a
occupé plusieurs fonctions au sein de l'Association
pour l'histoire de la science et de la technologie
au Canada.
DU MÊME AUTEUR
Monographie
Claude Beauregard, Alain Canuel et Jérôme Coutard. «
Les médias et la guerre : de 1914 au World Trade
Center ». Montréal, Éditions du Méridien, 2002.
Alain Canuel, Les rapports entre la radiophonie et
l’impérialisme dans le contexte socio-politique
canadien de 1901 à 1928. Thèse de doctorat.
Université de Montréal, 1985.
Participation à des ouvrages collectifs
Alain Canuel, « The Influence of the British Empire
through the Development of Communications in Canada
: French Radio Broadcasting during the Second World
War», dans Media & British Empire, Palgrave
Macmillan, Hampshire (UK) and New York, 2006,
219-233.
Alain Canuel, « La censure et la propagande à
Radio-Canada pendant le Seconde Guerre mondiale »,
dans Chaire de recherche du Canada en développement
des collectivités, 17-27. publié par la Chaire de
recherche en développement des collectivités,
Université du Québec en Outaouais, 2002.
Alain Canuel, « Il y a un siècle comment les
États-Unis ont gagné la bataille des ondes », dans
Forces n° 124- La nouvelle révolution mondiale des
télécommunications, 29-38, Société d’édition de la
revue Forces, 1999.
Alain Canuel, « L’impérialisme et la radiophonie au
Canada, 1914-1918 », dans La Première Guerre
mondiale et le Canada, Contributions sociomilitaires
québécoises, 163-176. Dir. Roch Legault et Jean
Lamarre, Edition du Méridien, Histoire militaire,
1999.
Articles scientifiques
Alain Canuel, « La Ligue pour la défense du Canada :
le cas de la section Chicoutimi”, Saguenayensia, 49,
n° 3, (juillet-septembre 2007) 17-26.
Alain Canuel. « Le réseau de la radio publique de
langue française au Canada, 1933-1945 », Fréquences
/ Frequency n° 9-10 (2002), 41-71.
Alain Canuel. « Censure et politique en temps de
guerre au Canada : le réseau public d’expression
française », Bulletin d’histoire politique, numéro
spécial L’histoire militaire dans tous ses états,
Dir. Andrée Laprise et Robert Comeau, 8, n° 2-3
(hiver 2000), 172-183.
Alain Canuel. « Les avatars de la radio publique
d’expression française au Canada, 1932-1939 », Revue
d’histoire de l’Amérique française, 51, n° 3 (hiver
1998), 327-357.
Alain Canuel. « La censure en temps de guerre :
Radio-Canada et le plébiscite de 1942 », Revue
d’histoire de l’Amérique française, 52, n° 2
(automne 1998), 217-243.
Alain Canuel. « Les télécommunications nationales en
Argentine des débuts à l'ère péroniste », Revue
d'études Latino-américaines et Caraïbes 21, n° 41
(1996), 59-87.
Alain Canuel. « Vilmond Fortin, pionnier de la radio
au Saguenay », Saguenayensia, 40, n° 1,
(janvier-mars 1996), 24-34.
Alain Canuel. « Augustin Frigon et la radio publique
au Canada », Scientia Canadensis, 19, n° 48 (1995),
29-51.
Alain Canuel. « La publicité radiophonique au
Saguenay et la station CRCS (CBJ). Saguenayensia,
35, n° 1 (janvier-mars, 1993), 16-25.
Alain Canuel. « Les télécommunications à Montréal
entre 1846 et 1946 », Scientia Canadensis, 26, n° 1
(1993), 5-24.
Alain Canuel. « Le câble sous-marin et la TSF en
Allemagne avant la Première Guerre mondiale »,
Annales canadiennes d'histoire, 26, (décembre 1991),
415-428.
Alain Canuel. « Les débuts de la radio au Saguenay
», Saguenayensia, 32, n° 1 (janvier-mars, 1990),
7-13.
Alain Canuel. « La formacion medica en Canada », El
Medico, n° 303 (février 1989), 348-355.
Alain Canuel. « La formacion medica en Canada », El
Medico, n° 304 (mars 1989), 356-361.
Alain Canuel. Revue d'histoire de l'Amérique
française, vol. 61, n° 2, 2007, p. 337-339. Article
publié dans le journal Die Eule, Deutsches Museum,
Munich, n° 8 (août 1986), 1.
Alain Canuel. « La présence de l'impérialisme dans
les débuts de la radiophonie au Canada: 1900-1928 »,
Revue d'études canadiennes, 20, n° 4 (hiver
1985-1986), 45-60.
Comptes rendus
Alain Canuel. Compte-rendu de : WILLIS, John, dir.,
More Than Words. Readings in Transport,
Communication and the History of Postal
Communication (Gatineau, Musée canadien des
civilisations, coll. « Mercure, Musée canadien de la
poste », no 5, 2007). Revue d'histoire de l'Amérique
française, vol. 61, n° 2, 2007, 337-339.
Alain Canuel. Compte-rendu de : RENS, Jean-Guy. The
Invisible Empire. A History of the
Telecommunications Industry in Canada, 1846-1956
(Montréal, McGill-Queen’s University Press, 2001),
Revue d'histoire de l'Amérique française, (automne
2002), 272-275.
Alain Canuel. Compte-rendu de: SHEETS-PYENSON,
Cathedrals of Sciences (Kingston et Montréal,
McGill-Queen’s University Press, 1988), Revue
d'histoire de l'Amérique française, 42, n° 4
(printemps 1989), 636-639.
Alain Canuel. Compte-rendu de : BEAUREGARD, Claude,
Guerre et censure au Canada, 1939-1945 (Montréal,
Les Éditions du Septentrion, 1998), Bulletin
d’histoire politique, 8, n° 1, 243-245.
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