Le corbeau de Bressaucourt
Dévoilé et jugé
Catherine Migy-Quiquerez
Récit documentaire historique
Editions Occident, Porrentruy, Suisse.
211 pages
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Catherine
Migy-Quiquerez,
Suisse
|
COUVERTURES
Le corbeau de Bressaucourt − Dévoilé et
jugé,
récit documentaire historique, Catherine
Migy-Quiquerez
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PRÉSENTATION
Le corbeau de
Bressaucourt − Dévoilé et jugé,
récit documentaire historique, Catherine
Migy-Quiquerez
Ce livre retrace toute l'histoire des
lettres anonymes du corbeau de Bressaucourt
depuis son prélude (Octobre 1996) jusqu'à
son dénouement (Octobre 2003). Il regroupe
l'ensemble des actes insensés du corbeau et
toutes les étapes difficiles, pénibles et
laborieuses, qui ont permis de le cerner.
Pourquoi tant de difficultés, de maladresse,
de laxisme sont venus entraver et freiner le
déroulement de l'enquête ?
N'était-il pas souhaitable de découvrir
l'auteur qui avait semé le trouble dans
notre village ?
Avec les moyens techniques déployés,
particulièrement les tests d'ADN exercés sur
plus de cent quatre-vingts habitants, cette
affaire aurait du être réglée en moins d'une
année mais, paradoxalement, s'est prolongée
plus de sept ans. Par cet exemple, nous
espérons encourager toutes les victimes de
ces persécutions à combattre pour obtenir
justice et réparation.
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EXTRAIT
Le corbeau de
Bressaucourt − Dévoilé et jugé,
récit documentaire historique, Catherine
Migy-Quiquerez
1996
C’est au mois de
juin 1996 que l’on apprit l’existence d’une lettre anonyme datée du
2 juin 1996, postée le 4 juin et adressée au conseiller PLR
responsable des travaux publics. Ce courrier impliquait mon mari,
qui avait obtenu un travail à la commune. Voici les termes employés:
Sic: «Je me permets de vous écrire afin de vous informer qu’une
personne habitant le même village vous dénigre un peu partout et
souvent chez des personnes très bien placées. Il s’agit de M.
Jean-René Migy qui vient de «monter» un bureau de soi-disant
ingénieurs… Il crie partout haut et fort que vous êtes un branleur,
une grande gueule et un sale français qui n’a jamais rien su faire…
Il dit qu’il vous a bien eu vous et votre commune de m… en vous
faisant signer un mandat où il va gagner du fric. Il raconte même
que vous êtes tous une bande d’incapables, mais que ça l’arrange,
car avec votre connerie il va s’en mettre plein les poche… Je me
permets de vous raconter cela crûment, mais je préfère vous
prévenir, car je ne voudrais pas que cela vous nuise, car je sais
bien que tout ce qu’il raconte sur vous n’est pas vrai. C’est dans
votre intérêt de réagir (…) Signature illisible ».
Les derniers
paragraphes de cette lettre sont tout aussi méprisants à notre
encontre.
Une dizaine de
jours plus tard, nous avons été mis au courant de l’existence de
cette lettre.
Mon mari me confia
à ce moment-là que, pour être aussi bien au courant de
l’adjudication de mandat, l’auteur ne pouvait être qu’un conseiller
ou alors un proche de ce milieu. Nous nous sommes renseignés auprès
d’une dame juriste qui nous conseilla de solliciter cette lettre
afin qu’elle nous parvienne de manière officielle.
Plusieurs démarches
furent entreprises. Le conseiller en question ne souhaita pas nous
la remettre. C’est finalement par l’intermédiaire de Madame le
maire, qui la réceptionna par fax, que nous en avons pris
officiellement connaissance.
Depuis lors, notre
vigilance vis-à-vis du conseil communal en place s’installa. Que se
tramait-il à notre insu? Pourquoi cette persistance à ne pas vouloir
nous mettre au courant?
Sans réponse, le
temps fit que gentiment notre méfiance s’estompa, jusqu’au 10
octobre de la même année (1996). Ce matin-là, comme à l’accoutumée,
c’est vers 10 heures 30 que j’allai relever le courrier. Ma surprise
fut immédiate en voyant une lettre avec mon adresse écrite par une
main d’enfant. Empressée de découvrir le contenu, je pensai: « C’est
certainement un enfant qui m’écrit au nom de son institution,
accompagné d’un éducateur. Peut-être de Plein Soleil, une
institution d’enfants handicapés où j’ai travaillé à plusieurs
reprises, et où j’effectue encore des remplacements. »
Une grande émotion
m’envahit.


C’est alors qu’un
cri strident que j’émis attira l’attention de mon mari qui était à
la maison afin de partager une partie des vacances d’automne avec
les enfants, tout en travaillant à la réfection de la maison. Il se
précipita à mes côtés pour m’interroger sur ce comportement
inquiétant.
Il me découvrit
déconfite, en pleurs, en proie à une peur horrible, tout mon corps
tremblait; je n’avais pourtant lu que le début de cette lettre qui
m’était personnellement adressée, mais je faisais déjà la relation
avec les écrits du mois de juin. Il en prit connaissance et sur son
visage, j’ai pu lire une inquiétude profonde; tous deux étions là,
conscients d’être les victimes de quelque chose qui était encore
imprécis. Mais que nous voulait-on? Nos enfants s’approchèrent pour
voir ce qui se passait, pourquoi Maman pleurait? Il fallait répondre
très vite et, comme un robot, j’inventai que je venais de recevoir
une nouvelle pas trop grave mais peu réjouissante. Je leur cachais
la vérité pour les protéger. Alors, les visages de mes enfants se
décrispèrent et leur compassion fit qu’à mon tour, je réagis par des
gestes d’amour à leur égard. Puis l’inquiétude générale s’atténua,
améliorant ainsi l’atmosphère. Une fois les enfants rassurés, mon
mari me consulta quant à une procédure à entreprendre afin de mettre
fin à ce processus d’attaques. Dans les minutes succédant cet
événement, il fut décidé que nous allions déposer une plainte.
Mon mari
interrompit ses activités pour revêtir un habit adéquat et se rendit
au poste de police de Porrentruy. Sollicité par les policiers à
rester vigilant aux moindres détails se rapportant à ce phénomène,
et averti qu’une enquête allait être envisagée dans les jours
suivants, il s’en revint à la maison, me donnant toutes les
recommandations possibles, au cas où de nouveaux faits
s’ensuivraient.
Le lendemain,
j’avais un souper avec d’anciennes camarades de classe et j’avais
envie d’annuler cette sortie à laquelle je tenais pourtant
tellement. Mon mari m’encouragea à ne pas me laisser prendre au
vilain jeu. Après réflexion, je pris enfin conscience de ce qui se
passait et dès lors, je me promis de ne plus jamais baisser les
bras. Donc, je me rendis au souper, et ne soufflant mot de cette
histoire, je vécus l’instant présent où l’humour était de la partie.
Je me laissai emporter par nos anecdotes de jeunesse, nos fous rires
exaltants. La complicité d’une grande amitié sincère triomphait en
cette soirée de retrouvailles.
Youpi, j’avais
réussi à déconnecter!
De ma vie, je
n’oublierai jamais que lors de mon retour chez moi, j’avais pris
conscience du pouvoir de la volonté, face à de tels événements.
Heureusement, rien que le fait d’avoir déposé une plainte nous
soulageait, car nous avions pu parler, nous extérioriser, confiant à
des professionnels ces maux dont la médisance était l’unique cause.
Les quelques jours
suivants, aucun élément important ne put être relaté. Le week-end en
famille, très serein, nous défoula. En début de semaine,
insouciante, je m’en allai relever le courrier, prenant soin de
l’examiner tout en retournant dans la maison. Figée, hypnotisée, je
restai comme paralysée par cette écriture faussement enfantine, que
je reconnaissais et qui me faisait terriblement peur. Cette fois-ci
transcrite sur une enveloppe mortuaire.


Je mis à exécution les
recommandations de la police rapportées par mon mari, les jours
précédents. Elles étaient intransigeantes et bien fondées à mon
sens. Il ne fallait à tout prix pas ouvrir la lettre avant de
l’amener au poste, évitant de compromettre les empreintes s’y
trouvant. Toutefois, ma curiosité m’obligea à me rendre chez ma
chère voisine afin de me procurer des gants jetables. C’est à ses
côtés et après l’avoir mise au courant que, munie de protection,
j’ouvris ce courrier où l’on me tutoyait avec mépris et arrogance.
Comme je tremblais, ma voisine me réconforta, je sentais la chaleur
sincère qui émanait d’elle m’envahir et me soulager. L’entourage est
important en cas de coup dur! Ce courrier, porteur d’un message
architectural de «MORT», dans tous les sens que la personne qui le
réceptionne peut le fantasmer, dans toutes les variantes possibles,
m’était adressé personnellement et envoyé en courrier A, j’en
frissonnais.
Cette fois-ci, j’en
restai bouche bée. Je n’arrivais plus à penser, j’étais sous le
choc. Ma voisine me dit de faire fi de ces médisances, et
m’encouragea à aller de l’avant!
Cet artisan de la
médisance révélait des faits comparables à toute torture horrible et
inimaginable. Moi, loin d’être inconsciente, j’étais taraudée au
plus haut point. Heureusement, ma voisine me redonna courage et me
proposa de garder mes enfants pendant le temps où j’allais porter la
lettre avec sa voiture, au poste. Plutôt sympa la copine! Elle avait
raison, et du coup je me sentis contaminée comme par un virus, mais
c’était d’un sentiment portant le nom de «volonté draconienne». Je
me promis de tout mettre en œuvre pour déceler ces mécanismes et un
cortège de bonnes résolutions serait peut-être le bon antidote.
J’empruntai alors le véhicule et pleine de rage, je transmis ce
message stérile à la police. Aucune précaution particulière
vis-à-vis des empreintes ne fut prise. Comme je m’en alarmais, le
policier me confia qu’ils avaient décidé de passer à des tests
beaucoup plus performants: les tests d’ADN. Les procédures du qui
fait quoi, qui décide et qui exécute m’étaient complètement
inconnues à ce jour.
Par la suite, je
compris les différences qui dissocient la Justice de la Police. Des
contacts téléphoniques avec les Ministres mis en place dans ces
secteurs précis m’en dirent plus. Je les sollicitai à mettre tout en
œuvre pour découvrir l’auteur de ces lettres sordides.
La crainte d’ouvrir
ma boîte aux lettres devint une hantise, mais le courage et la
persévérance me guidaient, et comme robotisée, je relevais le
courrier.
Le 15 octobre rien.
Le 16 octobre 1996,
troisième courrier agressif.


La lettre terminée
par cette rafale de mots dont la trivialité des propos est abjecte,
me laissa sur place. Le temps de me ressaisir et déjà, j’étais sur
le chemin du poste de police. La semaine qui suivit, le policier et
le chef de l’identité du Jura nous fixèrent un rendez-vous chez
nous. Ce qui voulait dire: prendre congé pour mon mari et placer les
enfants au plus vite, car la visite était annoncée dans l’heure
suivante.
A ce moment-là,
nous étions confiants en ce qui allait être entrepris. Cette
précipitation nous démontrait une volonté d’agir et de persévérer.
Nous ne demandions pas mieux que d’être consultés au plus vite par
ces professionnels en qui nous avions confiance. Lors de leur
visite, ils nous apprirent qu’en dehors de nos trois lettres, il y
avait aussi huit autres personnes qui en avaient reçu. Je me sentais
allégée en pensant que nous n’étions pas les seuls dans cette
situation. Je confiai mon soulagement aux policiers, mais aussitôt
ils me mirent au courant que dans chacune d’elles, à l’exception
d’une, nous étions les acteurs supposés pour décrier les personnes à
qui étaient adressées les lettres. Sur dix d’entre elles, on nous
utilisait pour divulguer des faits personnels ignobles concernant
les destinataires.
Là, on nous parla
de quelques phrases contenues dans les lettres, particulièrement
dans celle adressée à l’institutrice de mon fils. Tout avait été
organisé méticuleusement, certaines lettres portaient une écriture
contrefaite, d’autres étaient tapées à la machine, et pour
diversifier le tout, certaines sortaient d’un ordinateur. J’en
restai bouche bée. Une seule ne nous concernait pas du tout.
Les policiers
continuaient à causer et moi, je planais entre la réalité et le
cauchemar. Le chef de l’identité judiciaire du Jura et le policier
parlaient d’horreur. Nom d’une pipe, pourquoi ce chef nous lisait-il
de brefs passages, puis refusait de nous les soumettre? Cette
situation était débordante de non-sens. Mais celui qui,
personnellement, avait reçu deux lettres, pourquoi?
Ce détail nous
dérangeait. La commission d’école, par sa présidente en avait reçu
une. La commune par Madame le maire et l’institutrice de mon fils,
en avait reçu chacune une…
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Le corbeau de Bressaucourt − Dévoilé et
jugé,
récit documentaire historique, Catherine
Migy-Quiquerez
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AU SUJET DE L'AUTEUR
Catherine Migy-Quiquerez
Naissance à Porrentruy (Suisse), le
11 février 1960 de Joseph Quiquerez et de Julia Quiquerez née Seuret.
Trois frères et deux sœurs.
Ecoles à Grandfontaine (primaire) puis à Chevenez (secondaire).
Durant deux ans, elle sera engagée par un couple d’instituteurs, à
Porrentruy pour s’occuper d’une petite fille d’un an, du ménage et
du repas de midi.
En 1977, obtention du certificat J+S (Jeunesse et Sport) monitrice
de condition physique. Elle fonde alors une société de gym. Pour les
enfants de Grandfontaine. C’est comme monitrice de ski (non
certifiée), qu’elle accompagne durant plusieurs années des écoles en
camp de ski.
En 1979, membre du groupe jeunesse de Grandfontaine, Rocourt, Roche
d’Or, elle est nommée présidente.
En 1980, elle part une année aux U.S.A. pour jouer le rôle de nurse
étant alors responsable de trois enfants. Puis son mandat se
prolonge auprès de cette famille et c’est en Suède, à Skanör,
qu’elle accomplira ses dernières fonctions avant son retour
définitif au pays.
De retour des USA, elle sera réengagée à la naissance du deuxième
enfant, par la famille de Porrentruy.
En 1981, elle obtient le certificat de capacité qui lui permet la
tenue d’une auberge et établissements analogues.
Sa passion révélée très jeune déjà s’avère être les enfants et c’est
à eux qu’elle dédiera sa première œuvre.
En 1982, étudiante nurse, elle publie « Comptines jurassiennes »,
aux Editions Occident à Porrentruy.
En 1984, elle se marie avec Jean-René Migy, ingénieur, originaire de
St Ursanne.
En 1985, elle obtient le diplôme de Nurse au Locle (Neuchâtel-Suisse).
En 2013 VAE elle obtient un CFC
d'ASE
NURSE
Elle pratique son métier de Nurse de 1985 à 1988, à l’hôpital de
Porrentruy (Jura Suisse), en pouponnière et à 50% et en
pédopsychiatrie à 50 %. Puis durant plusieurs années elle offre ses
services comme remplaçante.
1986 |
Elle donne naissance à son
premier bébé. |
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1989 |
Elle accouche de son second
bébé. Elle change alors d’emploi travaille auprès d’enfants
handicapés psychiques et mentaux ou qui présentent des
difficultés psychiques ainsi que des troubles du
comportement. |
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1990-2004 |
Elle sera animatrice au
Parlement des jeunes de Delémont (Jura Suisse). |
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1995 |
Elle participe à la session
de Conduire et Réunir, par S. Zbaern, relation humaines. |
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1997 |
Elle suit la formation de
philosophie sur les notions liées à la démocratie, par Dr
M.C. Calloz-Tschopp, philosophe. |
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1999 |
Elle met au monde son
sixième bébé. |
PRINCIPALES ŒUVRES
1982 |
COMPTINES JURASSIENNES, (plaquette de poèmes), Editions
Occident, Porrentruy (Suisse). |
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1985 |
ENFANTILLAGES, illustrations intérieures F.D.Manz, Editions
Occident, Porrentruy. ( poésie) Ce livre donna lieu à un grand
théâtre de marionnettes avec récital de poésies, à Vicques (Jura CH)
Ce sont des enfants de 7, 8 ans et leur institutrice qui
organisèrent cette manifestation avec l’auteur comme invité. |
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1990 |
UNE ECOLE DANS LE JURA, illustrations C.Surmont, St Ursanne,
Editions Occident, Porrentruy ( c’est l’histoire d’une classe où
tout le monde parle en vers avec amour et humour). |
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1999 |
LES SAISONS, illustrations, ses enfants, ses nièces et F.D.Manz,
Editions Occident, Porrentruy, (poèmes, nouvelles, contes). |
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2001 |
LE CORBEAU
DE BRESSAUCOURT, (récit, documentaire historique),
photo de M.Chopard, Bressaucourt. Dessin intérieur de sa nièce C.
Quiquerez. Ce livre fait l’objet de nombreuses émissions de radio et
de télévision car c’est une histoire réelle (vécue en tant que
victimes par l’auteur et sa famille) qui s’est passée en 1996 et qui
s’est prolongée jusqu’en 2001, année où le corbeau a été enfin
découvert par son ADN retrouvé sur huit timbres des 11 lettres
anonymes envoyées et sur le rabat d’une enveloppe mortuaire. |
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2003 |
LE CORBEAU DE BRESSAUCOURT DEVOILE ET JUGE. (récit documentaire
historique) Ce livre retrace toute l’histoire des lettres anonymes
du corbeau de Bressaucourt depuis son prélude en 1996 jusqu’à son
dénouement par le jugement et la condamnation du corbeau en octobre
2003 à Porrentruy (JU). |
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2008 |
Son poème "La
vie" est édité dans l'anthologie des
Rencontres Européennes-Europoésie 2008,
Editeur Thierry Sajat, Bourges, France. |
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2009 |
Son poème "Noël pour tous" est édité dans
l'anthologie Europoésie, au profit de
l'UNICEF, Paris. |
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2009 |
Son poème "Dodu Dodo" est édité dans le
Florilège du Club poésie et chanson "Georges
Brassens, Sète. |
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2010 |
Son poème "Une femme" est édité dans
l'anthologie "Des couleurs de femmes", Les
Presses Littéraires, Saint-Estève. |
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2010 |
Son poème
"Bonheur éphémère" est édité dans
l'anthologie Poétique des Poèmes en liberté,
France. |
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2011 |
Trois de ses poèmes sont édités dans le
Florilège de la Saint-Valentin, France. |
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2012 |
LE BAL DES MOTS, Editions Mon Village,
Suisse. (dessin de Céline Quiquerez. Ce
livre de poche invite, dans un premier
temps, à la découverte des sons et des
rythmes de la poésie. Le pas est cadencé et
la musique des mots emportent dans un
tourbillon de sensations.) |
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2019 |
Porrentruy "Porrentruy...Quand la ville rose
dort" |
Ci-dessous et en quelques lignes, la suite et fin de l’histoire qui
se déroula en 2004, quelques mois après la sortie du tome II.
Puis le jugement de la soeur du corbeau reconnue coupable de
complicité et d’entrave à l’action pénale mais au profit de la
prescription, il se déroula en avril 2004 à Lausanne (VD).
AUTRES OUVRAGES SOUS PRESSE OU A
PARAÎTRE
QUELQUES PRIX ET
DISTINCTIONS
1983 |
2ème
grand prix d’honneur, club des Intellectuels
français, « Une école dans le Jura », roman |
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1984 |
Mention du
jury « Création Apprentis 84 », Moutier
(Berne Suisse) |
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1985 |
1er
prix « La Romande de L’année 86 », récit |
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1986 |
Poème «
L’Amour » remplace un texte de Ramuz à St Ursanne |
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1987 |
Mention
honorable pour « Le festin des matous »,
vers classiques
2ème mention honorable pour « Jardin potager », vers libres
3ème mention pour « Un roi…une noix », contes et nouvelles
4ème mention « Notes d’un voyage extraordinaire », section contes et
nouvelles
3ème Prix d’honneur pour « Luc avait alors un an », section contes
et nouvelles |
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1988 |
Ses écrits
sont mis en scène dans une classe à Vicques (Jura
Suisse) |
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1990-1999 |
Les journaux éditent ses
écrits pour relater ; Noël, Pâques, Fête des mères, St
Nicolas, St Valentin.
Hommage à Roland Béguelin, personnalité du Jura avec « LE JURA »
Prix sur Fréquence Jura, (radio) pour le poème « L’AMOUR » |
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2004 |
1er Prix
Européen 2004 de Poésie humoristique Francophone intitulé «
Le Prix des Humorisiades 2004 » décerné par le Cercle
Européen de poésie francophone |
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2005 |
Grand Concours International de LUTECE, Paris, 2004 ; Diplôme
de Vermeil pour les œuvres présentées en section lettres, dans trois
catégories : -romans historiques -nouvelles-poésies.
Concours de Poèmes 2005 de l’Association Delirium ouvert aux
personnes de toutes nationalités sur le Thème « Le Silence »
Diplôme de participation à la Dixième semaine de la langue
française Et de la francophonie |
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2006 |
2ème
Prix Européen 2006 de Poésie humoristique intitulé « Le
Deuxième Prix des Humorisiades » |
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2007 |
2ème
Prix du Concours International de Poésie Francophone « Le
plus beau poème d’amour » |
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2008 |
Diplôme d’encouragement
Concours 2008 Europoésie |
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2009 |
3ème
Prix de Poésie libre de la Ville de Montmelian avec « Il
se chante le poète…Francis Cabrel » |
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2009 |
Concours EUROPOESIE 2009, Paris, au profit
de L'UNICEF
Thème: Protection de l'enfance Poésie libre:
Diplôme d'honneur. |
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2010 |
Prix de la
Francophonie, Paris, du concours
TERPSICHORE 2010 Diplôme d'honneur. |
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2010 |
Diplôme d'encouragement Concours 2010
Europoésie |
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2010 |
1er Prix Conte pour enfants Jeux
floraux du pays cathare (Ariège) |
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2010 |
Prix spécial
Haïkus, ville de Montmélian
1er Prix poème
court. Thème: L'enfance. Concours Europoésie
UNICEF 2010 Paris |
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Mai 2011 |
2ème Prix de la
Francophonie Paris |
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2011 |
Diplôme Jeux Floraux des Pyrénées |
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2012 |
Diplôme de la Francophonie, Paris |
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2012 |
Diplôme d'honneur, Concours au profit de
l'UNICEF, Paris |
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2013 |
1er Prix Nouvelle concours Europoésie UNICEF
2013 |
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2013
|
Diplôme d'Honneur Europoésie |
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2018 |
Mention de Prose "Petit coeur au pays des
douceurs" Section conte Arts et Lettres de
France de Bordeaux |
RADIO ET TÉLÉVISION
1985 |
Pour parler
de son parcours et de ses écrits à la radio |
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1990 |
Émission spéciale pour présenter son livre, radio. Plusieurs
séances d’interview pour la radio locale |
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2001 |
novembre :
Présentation de son dernier livre « Le
corbeau de Bressaucourt », à la Radio Fréquence Jura, à la Radio Suisse Romande
et à la Télévision Suisse Romande. |
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2002-2003 |
novembre :
Interventions à la radio et à la Télévision
Suisse Romande (en rapport à l’affaire
Corbeau de Bressaucourt)
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2004 |
Invitée à
l’émission « MORDICUS » RSR sur les rumeurs.
Emission « FAITS DIVERS » à la TSR sur le thème : « Un corbeau à
Bressaucourt » |
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2011 |
Pour parler de la sortie "Le Bal des Mots"
Editions Mon village |
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2019 |
Présentation "Porrentruy...Quand la ville
rose dort" |
SOCIETES
1977 |
Fonde une
société de gym. pour enfants au (Jura
Suisse) |
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1979 |
Elue présidente de la société de jeunesse, Grandfontaine,
Rocourt, Roche d’Or (Jura Suisse) |
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1986 |
Membre
active du Club Alpin Suisse (Jura Suisse)
durant quelques années. |
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1993 |
Membre
bénévole à Terre des Hommes (Jura Suisse)
Animatrice locale à Bressaucourt des cours de l’Université Populaire
(Jura Suisse) |
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2000 |
Nommée
présidente de la Conférence des éditeurs
jurassiens (CEJ),
représente Thérèse Rovelli, propriétaire des Editions Occident,
Porrentruy |
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2001 |
Participation, avec la CEJ au Salon des Régions du Livre à
Porrentruy |
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2003 |
Nommée le 4
février, par le gouvernement jurassien,
membre de la Commission de la Bibliothèque
cantonale jurassienne, pour la législature
2003-2006 |
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2004 |
Participe
au festival de littérature pour l’enfance et
l’adolescence à la Chaux-de-Fonds CH.
Organise avec la CEJ, une
exposition d’automne des éditeurs jurassiens au CIP à Tramelan.
Représente la CEJ au Salon des Régions du livre à Arlon en tant
qu’invitée pour représenter le canton du Jura.
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2005 |
Organise
avec la CEJ, le Salon du Livre en association avec le
collectif du Royal à Tramelan. Participe avec la CEJ aux Semaines du
Livre à Delémont. |
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2006 |
Avec la CEJ met sur pieds une manifestation nommée « Le livre
vagabond » pour marquer la Journée mondiale du Livre, à Delémont. |
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2007 |
Démissionne
de présidente de la CEJ et reprend son statut
d’auteur.
Reconduit son mandat en tant que membre de la Commission de la
Bibliothèque cantonale jurassienne. |
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2011-2015 |
Nommée membre de la Commission de la
Bibliothèque cantonale jurassienne. |
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COMMUNIQUER AVEC L'AUTEUR
Catherine Migy-Quiquerez
Catherine Migy-Quiquerez se fera un plaisir de lire
et de répondre personnellement à vos courriels.
Voici son adresse électronique :
cath.jr.migy@bluewin.ch
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Le corbeau de Bressaucourt
− Dévoilé et jugé,
récit documentaire historique, Catherine
Migy-Quiquerez
Catherine Migy-Quiquerez se fera un
plaisir
de vous préciser comment obtenir un Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible de son livre.
Prière de bien vouloir lui écrire
à cette adresse de correspondance électronique :
cath.jr.migy@bluewin.ch
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