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L'opinion d'un nobody
« Un cri du cœur pour un
monde meilleur »
CONSTANT VANIER
Essai, Fondation littéraire Fleur de Lys,
Laval, Québec, 2008, 440 pages.
ISBN 978-2-89612-252-3
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L'opinion d'un nobody, essai, Constant Vanier
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Présentation
L'opinion d'un nobody, essai, Constant
Vanier
Frappant
de plein fouet le paradoxe humain, L’opinion
d’un nobody est une réflexion personnelle
sur différents thèmes fondamentaux et
délicats, qui souvent débattus par
d’importants personnages ou d’éminents
spécialistes n’atteignent que bien peu
l’intellect du commun des mortels. Les
raisons d’un tel état de choses sont
diverses, mais surtout, croit l’auteur, il
tient du fait que les opinions considérées
viennent pour la plupart du temps d’en haut,
et trop peu d’en bas. Autrement dit, du
simple citoyen. Opinion duquel d’ailleurs,
dans nos sociétés dites évoluées, est de
moins en moins prise en considération.
À travers un étalement ininterrompu de
dynamiques concernant d’abord la planète,
puis notre propre société, le Québec, c’est
parfois avec inquiétude, parfois avec espoir
qu’il dévoile et constate la redondance
humaine. Ultimement, il tente de discerner
ce mal qui semble empêcher les hommes
d’évoluer. Un mal profond qu’il finira par
baptiser le syndrome de l’inconscience. Tout
au long des chapitres, il exprime une vision
originale du comportement aberrant de
l’espèce qui se prétend intelligente et
civilisée. Notamment en exposant l’archaïsme
du mécanisme de sa pensée. Mécanisme qui
dans un monde évolutif prend chaque jour du
retard au lieu de s’améliorer. L’auteur du
livre, Constant Vanier, par ses évocations
et ses opinions souhaite susciter une
réflexion, un éveil. Idéalement, provoquer
une réaction. Celui qui considère que tout
tabou est purement et simplement un sujet
non épuré, par conséquent conflictuel,
termine son analyse par un coq-à-l’âne ad
libitum tout aussi cocasse que
pertinent.
Bref, beaucoup de matière à réflexion.
|
-
TABLE DES MATIÈRES
L'opinion d'un nobody, essai, Constant
Vanier
Avant-propos
-
PREMIÈRE PARTIE - Coup d’œil
planétaire
-
Constatation globale : progrès
indéniable, succès mitigé
Science et religion : deux mille ans
plus tard
Finalement, qu’est-ce que dieu ?
L’ONU et le défi ultime : la paix
mondiale
Pollution et Kyoto : fable ou
réalité ?
Il y a convergence
-
DEUXIÈME PARTIE - Coup d’œil
international
-
La peine de mort : calamité ou
nécessité ?
Le terrorisme : fléau ou commerce ?
La guerre : quel désarmement ?
Questions interdites
Mondialisation ou arnaque mondiale ?
Retour à la convergence - Partie I
-
TROISIÈME PARTIE - Coup d’œil
national
-
Le meilleur pays au monde
Une nouvelle société : deux niveaux
d’activité, deux classes
Une démocratie essoufflée
Les Québécois : un peuple pressé ou
oppressé ?
L’injustice fiscale, inacceptable !
Un régime de santé universel… pas
éternel !
Un système d’éducation à la traîne
Un réseau routier en décrépitude
Retour à la convergence - Partie II
La souveraineté
Accommodements raisonnables
Conscience et responsabilités
individuelles
Éducation parentale
Délinquance et criminalité
Le pays des centres d’achats
Ah ! Ces fumeurs !
Santé et alimentation : deux
incompatibles ?
Le mal du siècle
Coq-à-l’âne ad libitum
De la
fiction à la vérité • Ère de
persécution • Des bouquins aux
ordures • Surdité et surdose •
Caricatures danoises • Entreprise en
déficit • Rien n’était plus
prévisible • Tributaire ou
sociétaire ? • Humoristes et
politiciens • Le message est
omniprésent • Hors-la-loi ou
criminel ? • Les vrais mots ne
suffisent plus • Jeux et Loteries •
Jeux et Loteries bis ! • Prix, 125,3
$ le litre ? • Réseaux de télévision
• Encore en demi-pas • Éducation
populaire • Exaspération médiatique
• Le Cirque du Soleil •
L’automatisation systématique • La
Charte canadienne, une vache sacrée
• Bulletin de nouvelles • Pas dans
la petite case • Le bipède infirme •
Génie créateur • À tous les
chauffards • Altruisme et cupidité •
Prières et psaumes • Si on ne se
laisse pas faire • Aux arroseurs
d’asphalte • Un bon politicien • La
stupidité, une drogue • Prédicateur
ou prédateur
-
-
Conclusion
-
Annexe I - Version originale du
discours
du 15 mai 1963 de John F. Kennedy
-
Annexe II - La prière du mécréant
Annexe III - Hommage aux religions
-
Bibliographie
-
Au sujet de l’auteur
-
Communiquer avec l’auteur |
9
-
13
-
15
37
65
71
83
119
-
121
-
123
143
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175
181
193
-
197
-
199
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221
227
228
237
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265
269
287
317
325
335
345
351
357
381
387
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
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-
-
-
403
-
-
409
-
411
-
413
-
417
-
419
-
423 |
|
-
Extrait
L'opinion d'un
nobody, essai, Constant Vanier
«Si
l’on résume, il y a deux mille ans, notre
esprit était inapte à concevoir autre chose
que NOUS au centre de l’univers. Il y a cinq
siècles, nous y imaginions que le Soleil. Il
y a cent ans, nous le limitions qu’à notre
seule galaxie... Doit-on s’étonner que nous
ayons encore de la difficulté à extrapoler ?
À s’ajuster ? De très loin l’homme préfère
s’asseoir sur ses idées et s’accrocher
mordicus à l’ordre mental déjà établi. À
l’encontre de son insatiable curiosité d’en
savoir plus, il manifeste une réticence
indéniable aux changements, à modifier ce
qu’il croit. Les conséquences destructives
de ce réflexe, disons inné, a fait ces
preuves par le passé et nous pourrions
penser que, par un savoir accru, il se
serait atténué depuis. À mon avis,
aucunement. Il s’est plutôt amplifié. Il
influence à présent nos moindres
dispositions.
Une fois ancrées,
la croyance dans l’esprit, l’habitude dans le geste,
impossible de changer. L’homme est une résistance.
»
L'opinion d'un nobody, essai, Constant
Vanier, Première partie -
Coup d’œil planétaire, Science et
religion - Deux mille ans plus tard, pp. 45-46
|
AVANT-PROPOS
L’usage de l’expression « être un nobody » qu’on
entend à l’occasion chez les jeunes m’a toujours intrigué. Bien que
la définition du terme nobody dans un dictionnaire anglais fasse
référence au mot personne dans le sens d’absence de personne, il
existe bel et bien une connotation péjorative. C’est du moins ainsi
qu’elle sonne dans leurs conversations. D’ailleurs, le dictionnaire
mentionne en second lieu a nobody comme étant quelqu’un de « rien du
tout », ou sans importance. Je voudrais dans le cas présent lui
coller l’étiquette d’une personne qui soit « inconnue, de moindre
influence, mais pas du tout sans importance ». Car dans le tumulte
de la société aseptisée et règlementée dans laquelle nous vivons,
trop souvent avons-nous le sentiment d’être des moins que rien dont
l’opinion n’intéresse personne. Sûrement pas nos gouvernements en
tout cas, malgré la prétention. Les ficelles semblent tirées par une
force invisible de laquelle la plupart d’entre nous ne font pas
partie. Pire, j’ai souvent l’impression que les décideurs sont tous
du même bord et que le peuple ne fait que subir des décisions qui,
avouons-le, resserrent l’étau un peu plus chaque jour. De nos jours
les entreprises se cachent derrière un masque de sympathie. Bien
qu’elles soient sans cesse bichonnées par des dirigeants de main
trop occupés à surveiller leurs propres intérêts, leur ego
corporatif n’a d’égal que mépris et cupidité. Aux yeux de tout ce
beau monde, je crains fort que nous soyons que de la moulée à
pâturage.
Si je n’ai pas la prétention de représenter la voix populaire, d’une
part je crois que nous aurions avantages, ici et ailleurs, à ce que
les gouvernants tendent un peu plus l’oreille pour écouter,
respecter et appliquer l’opinion des nobody, le pertinent se
justifiant par lui-même. Le vieil adage qui dit Vox populi, vox Dei
ne confirme-t-il pas que la voix du peuple est la voix de Dieu ? Ou
de la sagesse… D’autre part et bien malgré moi, à travers une foule
de détails, je détecte un leurre. Parfois même de la conspiration.
Bien dommage, ce constat d’abus du nobody, très palpable au Québec,
se retrouve dans le monde entier. Sous des formes beaucoup plus
dégénérées, certes, mais qui pourraient un jour nous atteindre. Si
l’on considère l’injustice, la pauvreté, la misère, la violence ou
les guerres qui font rage sur les cinq continents, certains plus que
d’autres, nous pouvons dire sans exagérer que les hommes trempent
dans la m..., dans la mélasse, et ce, jusqu’au cou.
Toute cette parade humaine, cette discorde généralisée qui règne,
est pourtant menée par des êtres intelligents ; des politiciens et
conseillers par-ci, des experts et spécialistes par-là. Néanmoins,
rien ne va plus. À un point tel qu’en effet dans ma tête flotte
cette idée de machination planétaire. Et bien que ce scénario fasse
sautiller les épaules de certains et puisse en effrayer d’autres,
c’est en observant avec plus d’attention que je remarquai qu’il
s’agissait d’autre chose. Beaucoup plus inquiétante, celle-là. Parce
qu’à mes yeux il se trouve que les conspirateurs sont conspirés.
L’homme souffre d’une affection profonde. D’un mal, difficile à
cerner, à diagnostiquer. C’est ce mal qui m’intrigue, et qui
m’intéresse. Comme un défaut de fabrication duquel nous les humains,
malgré les millénaires de réflexion, malgré la fulgurance du dernier
siècle, malgré la poussée technologique des vingt-cinq dernières
années, n’avons pas su nous défaire.
Une question me vient, l’intelligence humaine est-elle une garantie
de pérennité ? En écrivant ces mots, je me rends compte, encore une
fois, à quel point ce monde moderne est puéril, suffisant et
présomptueux. Qu’ils sont nombreux les vestiges mentaux que nous
traînons ! Peu surprenant que l’humanité soit en crise.
C’est dans une optique globale que de cette turbulence humaine j’ai
tenté de le discerner. En osant mettre sur papier les constatations,
les idées, les convictions et les aspirations d’un nobody. En
l’occurrence, moi. Des aspirations qui de temps à autre vous
paraîtront idéales, voire utopiques. Même si aspirer à un monde
meilleur n’a rien d’une utopie.
Cet ouvrage n’est ni scientifique ni statistique. Quoique j’aie dû
recourir à de l’information pratique et instructive [je le
souhaite], il s’avère plutôt un cumul d’observations empiriques
personnelles. À travers mon œil de nobody, à l’aide de thèmes
concernant le monde dans sa globalité, puis en examinant les
coutures défaites de notre propre société, celle du Québec,
j’élaborai une critique sur la façon d’agir des hommes. Différentes
réflexions référant à la science, la religion, la guerre, la
pollution jusqu’aux accommodements raisonnables, en passant par
notre système d’éducation ainsi que la responsabilité individuelle.
Pour terminer, un coq-à-l’âne ad libitum.
Bref, l’heure n’étant ni à la flatterie ni à la tape dans le dos,
j’admettrai d’emblée que cette démarche fut pour moi un défoulement.
Presque qu’un exorcisme. Force d’être chaque jour témoin
d’événements exaspérants et de situations biscornues ou
contradictoires, je n’en pouvais plus. Trop souvent in petto,
avais-je contesté. Je devais écrire. Je crois qu’il est urgent que
nous jetions ce regard rétrospectif sans retenue sur notre monde,
notre société et nous-mêmes. Je dirais plus, sur notre mécanisme
mental en particulier. Cette façon de penser qu’est la nôtre, celle
de l’être humain. Il y a fort longtemps qu’une prise de conscience
générale aurait dû avoir lieu. À présent, il est temps d’agir.
Enfin, si par mes propos j’arrive à chatouiller votre intellect,
stimuler votre imagination ou susciter votre intérêt au point de
provoquer si ce n’est qu’un seul petit geste de votre part envers
cette planète, cette humanité ou vous-même, j’estimerai avoir
atteint mon but.
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Biographie
Constant Vanier
 |
Né en
1953, Constant Vanier est le benjamin d’une
famille de cinq enfants et originaire de
Sherbrooke dans les Cantons de l’Est, au
Québec. Tout au long de son enfance, il
démontre un intérêt particulier pour la
musique, le dessin, la cinématographie. Mais
également pour certaines sciences, dont la
chimie, la physique, la géologie et
l’astronomie. Le pourquoi et le comment des
choses le passionne. Encore tout jeune
garçon, il s’interroge sur tout, cherche des
réponses et fouille de grands thèmes comme
l’Univers, la Terre, l’évolution humaine, la
société, la conscience. Des réponses qu’il
trouve dans des lectures qui n’ont rien de
son âge ; encyclopédies, revues et magazines
scientifiques meublant le clair de ses
loisirs. Comme si ce n’était pas suffisant,
à travers ses aventures livresques, c’est
l’exotisme de l’étranger qui attire le plus
son attention. |
Avec le temps, l’influence se confirmera et
l’orientation, plutôt scientifique, de ses frères et soeur l’amènera à se rendre
jusqu’à l’Université en sciences pures et appliquées. En génie électrique pour
être plus précis. Mais la matière est ardue dès le départ, et il se sent mal
préparé pour le milieu universitaire. Bien à regret, après deux difficiles
semestres, par une mauvaise orientation et un manque d’argent, il cessera les
études. Bifurquant ensuite vers un autre domaine, il profitera d’une opportunité
à la Banque de Montréal pour se forger une autre voie. C’est donc à titre de
banquier qu’il apprivoisera les rudiments du monde des finances. Un emploi
sérieux répondant aux besoins du moment et auquel il se consacrera avec
enthousiasme. Bien qu’il eût entre-temps le bonheur de fonder une petite
famille, avec la venue de ses deux filles, il bute encore sur un obstacle. La
rigidité d’horaire et le plafonnement salarial étant au rendez-vous, ces deux
inconvénients font peu à peu pâlir ses rêves. Malgré tout, question d’acquérir
une expérience pertinente, il patientera. Mais après cinq ans de loyaux
services, voyant ses aspirations vraiment limitées, il quitte son poste de
directeur pour une nouvelle orientation.
Peu avant ce départ, ce fut grâce à l’intervention d’un ami d’enfance qu’il
avait entrevu cette autre possibilité. Sans limites salariales celle-là. Celle
de devenir planificateur financier. Domaine qui lui permettrait, avait-il pensé,
d’exploiter davantage son secteur préféré, les placements. Dès lors, il entame
sa véritable carrière. Travailleur autonome, en termes de liberté d’action,
voilà quelque chose qui correspondait vraiment à ma vision, vous dirait-il. À
titre de planificateur financier chez le Groupe Investors, c’est là l’occasion
parfaite d’accroître ses connaissances. Par conséquent, semaine après semaine,
année après année, lentement il fera son beurre. Malgré des heures interminables
investies à se bâtir une réputation client par client, il affectionnera
particulièrement ce travail de conseiller. Parce qu’en plus d’aider les gens à
se construire un avenir financier, les revenus générés lui permettront enfin de
voyager. D’explorer la différence des cultures.
Les sept heures du matin à minuit deviendront rapidement monnaie courante
toutefois, et le travail se fera harassant. Par chance, l’équipe avec laquelle
il travaillait se révéla bien stimulante et des plus enrichissantes. Une poignée
de «p’tits bœufs», comme disait quelqu’une à l’époque, qui besognaient sans
arrêt et qui se motivaient constamment. Même en revenant très tard le soir au
bureau, comme un rapatriement au quartier général, afin de se raconter
mutuellement les péripéties de la journée. De bien précieux moments, raconte
l’auteur, par lesquels chacun retrouvait la motivation et l’énergie nécessaires
pour recommencer de plus belle le lendemain matin. À vrai dire, une période
tellement intense et gratifiante, tant du point de vue pécuniaire qu’émotionnel,
qu’il la qualifie de magique.
Fidèle à lui-même, persévérant et acharné, son engouement le poussera jusqu’à
développer une vaste clientèle qui, de surcroît, au bout d’une dizaine d’années
fera l’envie de bien des collègues, et compétiteurs. Mais la dure réalité des
années 80 finit par le rejoindre. Par rejoindre tous les travailleurs de la
finance. À cette époque, le monde des valeurs mobilières bouillait
d’effervescence. La compétition devint plus spécialisée et plus féroce. Partout,
de profonds changements s’opérèrent, autant dans les marchés financiers que dans
les structures internes des fournisseurs de fonds mutuels. En peu d’années,
l’industrie du placement au grand complet se transforma. La complexité et la
diversité des produits vendus forcèrent donc les représentants à s’ajuster, à
modifier leur approche. Jusqu’au jour où il opta pour le statut de conseiller
indépendant. Ainsi, vers le milieu des années 90 en association avec le Groupe
Futur, un cabinet essentiellement composé d’ex-représentants Investors, il
ouvrira enfin son propre bureau. Puis, en ajoutant quelque huit années
supplémentaires à son expertise de planificateur, fort d’une réputation de
conseiller consciencieux et diligent, il continuera, jour après jour, d’agrandir
et d’élaborer cette précieuse clientèle.
Enfin, c’est durant cette même période qu’un tournant décisif s’amorça. Après
avoir visité les États-Unis, les Caraïbes, l’Amérique du Sud et plus tard
l’Europe et l’Afrique, après avoir acheté et administré un restaurant japonais,
lui et sa nouvelle conjointe, désormais férus de voyages, décidèrent de réaliser
un vieux rêve. Rêve qu’ils caressaient depuis déjà trop longtemps, au dire de
l’auteur. Celui de s’installer quelque part sous un chaud soleil et d’ouvrir un
gîte touristique. Rêve qui, cependant en 2002, s’enclencha de manière bien
impromptue, et qui prit forme sur l’Île de Margarita, au Venezuela. D’une durée
de presque trois ans, une expérience riche en avatars au cours de laquelle
Constant Vanier se découvrit une toute nouvelle passion. Celle de l’écriture.
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ADRESSE ÉLECTRONIQUE
Constant Vanier se fera un plaisir
de lire et de répondre personnellement à vos
courriels.
Adresse de correspondance électronique :
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SITE INTERNET PERSONNEL
Constant Vanier se fera un plaisir
de vous accueillir sur son site Internet :
http://www.constantvanier.com/
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