Endré Philosophe

La première Charte des citoyens

Essai politique et philosophique

 

 

Endré

La première Charte des citoyens

Essai politique et philosophique

Fondation littéraire Fleur de Lys,

Lévis, Québec, 2024, 140 pages.

ISBN 978-2-89612-649-1

Exemplaire numérique : 7.00$

PRÉSENTATION

Voici un essai à la fois philosophique et politique qui remet en cause le principal fondement de nos démocraties, à savoir, le droit lui-même. Par exemple, nous n’avons pas le droit de voter, mais bien la responsabilité d’exprimer ce qui, solidairement, est nécessaire pour la communauté et pour soi, puis d’agir en conséquence. Notre responsabilité à l’égard de nous-mêmes, en tant que citoyen, ne peut relever de personne d’autre que de nous-mêmes. En conséquence, nous n’avons pas un droit à la vie, un droit de liberté, un droit de propriété, etc. Celui qui en réclame, dépend assurément de quelqu’un qui les lui accorde, donc qui peut aussi les lui retirer. Ainsi, l’autorité qui affirme le droit à la vie pour ses sujets a en toute bonne conséquence logique le pouvoir d’abolir ce droit lorsqu’elle impose la conscription dont les objectifs ne sont certainement pas d’assurer la liberté et le bien-être de ceux qui sont sacrifiés. L’histoire le démontre amplement autant pour les dictatures que pour les démocraties.

Les critiques que je porte sur notre civilisation occidentale ne me mènent pas à réclamer plus de droits. Bien au contraire. Je n’en veux pas plus, je n’en désire aucun. Toutefois, j’apprécie être reconnu comme entièrement responsable de ce que je suis et de ce que je possède. Sachant, évidemment, que cela ne sera possible que lorsque nous serons un peu plus nombreux qu’un ou deux à le désirer, mais pourquoi pas, une communauté, un État. J’ai la patience de voir les choses apparaître un de ces jours, et l’impatience de partager cette attente avec tous ceux qui voudront bien en discuter.

La Charte des citoyens est une déclaration pour le futur, un futur pacifié par les actions de citoyens qui affirment leurs engagements d’agir les uns à l’égard des autres dans le respect des responsabilités et des libertés qu’elle promeut. Ce n’est ni le peuple, ni un gouvernement, ni une autorité technocratique qui seront à la base pour défendre cette charte. Seul le citoyen qui est une personne en bonne et due forme, et seulement lui peut corps et âme la protéger des assauts d’organisations liberticides. C’est à chacun des citoyens d’assumer cette responsabilité. Il appartient à tous les citoyens de se défendre, de soutenir sa communauté et de protéger l’intégrité de sa Charte. Le citoyen est, pour moi, cette personne qui vie dans une communauté et que, sans celle-ci, il n’y a pas d’humanité. Le citoyen n’est pas un concept. Il est un individu responsable de son cosmos. C’est avec lui que je veux partager pacifiquement nos vies, nos amours, nos passions, nos connaissances.

Philosophe à toute heure du jour, mais peu sage la plupart du temps, même dans mes rêves. Pacifiste, pas vraiment, pacifique, assurément. Toujours désireux à comprendre et, en conséquence, questionner tout et son contraire, y compris ce que je pense savoir à mon sujet. Assez vieux pour ne plus me sentir tout jeune, mais assez jeune pour vivre encore d’espoir et d’eau fraîche.

EXTRAIT DE L'INTRODUCTION

Lors de ma découverte récente du libertarisme, je me suis aperçu à quel point ma compréhension de mon univers politique était soumise à certaines idées bien raisonnables, par exemple : que le gouvernement relevait du peuple, que la démocratie est la moins mauvaise des formes de gouvernance, ou encore que nous sommes dans un pays de liberté, de fraternité. C’est la fraternité qui la première s’est révélée fautive avec tout ce que nous avons dû endurer pendant la fausse pandémie. En effet, il a été très difficile, voire inconcevable, de retrouver au ban des malfrats ceux qui n’avaient pas accepté les injections encore que celles-ci n’étaient objectivement pas obligatoires ; difficile d’en-tendre que des personnes ont été abandonnées, sans soins, seules à leur propre mort ; difficile d’accepter d’être emprisonné « volontairement » dans nos logis, difficile d’être masqués et tenus à distance de tout autre être humain. Nous sommes devenus des étrangers les uns à l’égard des autres, et parfois des barbares contre les récalcitrants. Nous avons vécu la crainte des autres. Et la majorité d’entre nous s’est montrée de bons collaborateurs et certains, assez nombreux à vrai dire, de bons dénonciateurs.

Puis, il y a eu la perte de plusieurs de nos libertés : les libertés d’être bien informé (pas de consentement éclairé), la liberté de parole (seul le gouvernement avait le droit de parole, être exclu sans nuances par les inquisiteurs anonymes des réseaux sociaux), les libertés de circuler, la liberté de prendre soin de soi (l’obligation d’être injecté pour vivre en société), la liberté de rencontrer des amis ou des connaissances (défense de se réunir), la liberté de l’usage des biens et des propriétés (pour certains de ceux qui ont manifesté contre cette fausse pandémie), la liberté dans nos actions (perdre son emploi, ses activités sociales) la liberté d’être jugé en toute neutralité (des juges ont refusé le questionnement quant à la fausse pandémie).

La démocratie, en troisième lieu : tous les gouvernements ont été reconduits au pouvoir malgré leurs malversations et sans aucun débat sur les libertés qui sont désormais à géométrie variable. Et enfin, les élites gouvernementales qui ont été comme des moutons, dirigées par un fascisme capitaliste à la solde des plus riches d’entre les plus riches, n’ont en aucune façon protégé leurs populations contre la corruption de la santé publique, les compromissions des médias, le détournement de la science qui désormais ne dit plus la réalité mais parle de consensus au nom du bien contre le mal.

Dans la même veine, mais dans le monde culturel et social cette fois-ci, je m’interroge depuis un bon moment sur tous ces mouvements que je nomme « simplétisme », qui rassemblent tous ces « simplets » qui ne cessent de gruger la réalité du quotidien des autres pour leur en faire un enfer pavé de bons sentiments. Ce que je définis comme simplet est cet individu qui promeut une idéologie dont la logique incrémentale démarre sous de fausses prémisses. Il ne cesse malgré tout de s’affirmer en semant la division : qui n’est pas avec moi est contre moi; qui me questionne doit se questionner lui-même, car pour le simplet, l'interrogateur est de ce fait porteur d’une violence qui l’effraie même si elle n’est que supposée de la part du simplet. Dans le simplétisme, on rencontre souvent une haine de l’autre, surtout de celui qui a réussi. On y rencontre une obstruction à présenter des faits qui peuvent être soumis à un débat et à une possible réfutation rationnelle. On y est submergé par la détestation du genre humain dans presque tout ce qu’il représente sauf pour l’exceptionnelle communauté des bien-pensants ou plutôt des simplets. Le simplétisme est donc cette idéologie et les comportements qu’elle suscite dans un groupe, qui ostracisent pour éviter le débat de fond sur les faiblesses argumentaires des simplets. On peut remarquer d’ailleurs que plus les faiblesses sont apparentes et plus la résistance aux échanges sera forte et agressive.
 

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Adresse de correspondance électronique :

endrephilosophe@gmail.com

 

DU MÊME AUTEUR

AGIR

ENDRÉ

Essai – Philosophie

Fondation littéraire Fleur de Lys

Lévis, Québec, Février 2019, 134 pages

ISBN 978-2-89612-565-4

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