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COUVERTURES
Création du monde —
Épanouissement de l’être, essai de philosophie,
Fernand Couturier, Fondation littéraire Fleur de Lys
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PRÉSENTATION
Création
du monde — Épanouissement de l’être, essai de
philosophie,
Fernand Couturier, Fondation littéraire Fleur de Lys
L’idée
de création du monde fut de tout temps une
réponse à la question que généralement les humains
se posent plus ou moins expressément sur l’origine
du monde de la vie, voire de l’univers tout entier.
Mais d’où vient cette intervention créatrice, et en
quoi peut-elle consister ? Elle vient de Dieu,
entend-on de partout.
Relativement à cette question de l’origine du
monde, une des particularités du présent texte est
de légitimer une nette distinction entre début
et commencement. Le début concerne la mise en
marche de tout mouvement et changement de ce qui
figure déjà dans l’ordre spatial et temporel. Alors
que le commencement veut dire l’avènement même de
cette origine. Avènement qui n’a rien à voir
avec la temporalité telle que conçue généralement.
D’où deux regards tout à fait différents; mais que
l’usage habituel annule en ramenant le commencent à
un simple début.
Réduction néfaste pour la pensée de l’origine du
monde ou de l’univers. La pensée du surgissement
originel de ce monde doit aborder expressément son
commencement comme avènement même en présence,
i.e. en être. Avènement qui échappe tout
simplement à la pensée causale et à la temporalité
événementielle.
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TABLE DES MATIÈRES
Création du monde — Épanouissement de l’être,
essai de philosophie,
Fernand Couturier, Fondation littéraire Fleur de Lys
Du même auteur
* * *
Préambule
Premier défrichage
Néant, création, commencement et
pensée de l’être en lui-même
a. Être comme origine ou
commencement
b. Rapport de l’être à l’humain
c. Rapport de l’être à l’étant
…à propos de l’expression
sans-être
… rapport entre être et
apparaître
Conclusion
Perspectives
* * *
Au sujet de l'auteur
Communiquer avec l'auteur
* * *
Remerciements
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EXTRAIT
Création du monde —
Épanouissement de l’être, essai de philosophie,
Fernand Couturier, Fondation littéraire Fleur de Lys
PRÉAMBULE
Nous voulons ici reprendre le texte, Geste de
l’être et Création, figurant comme complément à la
deuxième édition du
livre Régime de l’être, Condition
humaine. Le sous-titre de ce livre est
Heidegger en opuscule.
Livre publié à la
Fondation littéraire Fleur de Lys, 2015. Ceux qui
sont le moindrement familier avec le propos central de l’œuvre
heideggérienne
reconnaîtront facilement l’inspiration profonde
du présent essai.
Pourquoi
reprendre ce texte ? Pour en dégager autant que possible plus
expressément l’essentiel et le mettre dans une certaine mesure en
rapport avec l’actualité concernant les Recherches spatiales. Cet
essentiel est évoqué ici et là dans les ouvrages du penseur allemand et
particulièrement dans le livre intitulé Ereignis, ou Avènement.
C’est-à-dire avènement du commencement.
Notre démarche, faut-il
comprendre, demeure une simple tentative. Car
comment prétendre pouvoir éclairer de façon nouvelle et plus exhaustive
le mystérieux de la présence du monde ou de l’univers ? Cet univers dont
l’astrophysique nous révèle depuis les tout derniers siècles l’étendue,
la profondeur et les lois internes avec une précision et un réalisme
tels que nos
prédécesseurs humains dans l’histoire n’auraient même pas
pu seulement soupçonner. Malgré ces avancées de la science, il n’en
reste pas moins que même parler tout simplement de la présence de
l’univers de nos jours et pour l’avenir est et restera
une confrontation avec
une mystérieuse démesure. Il n’y a plus qu’à
s’incliner.
Il va sans dire que
pour pouvoir suivre la présente démarche il
convient de se remémorer l’essentiel du contenu de notre
essai Régime de l’être, Condition
humaine. Cette entreprise supposait
une longue et ardue fréquentation d’une œuvre magistrale,
celle de Martin Heidegger, dont la
présente publication en allemand chez Vittorio Klostermann
représente plus d’une centaine de tomes. Des milliers de pages !
PREMIER DÉFRICHAGE
On
peut dire sans trop se tromper, semble-t-il, que couramment
ou à première vue, i.e. dans le langage quotidien, le monde se
résume à peu près à la terre qui nous supporte, au soleil
qui éclaire et réchauffe; quant à la lune, elle ne sert à
rien sinon comme capricieux agrément ou ornement de l’obscurité.
Et les
étoiles au firmament ? Un bizarre scintillement qui semble
ne servir à
rien d’autre qu’à attirer l’attention vers la profondeur de l’obscurité
des nuits. Paul Verlaine disait pertinemment à ce propos dans son
poème sur l’Art poétique : « Bleu fouillis des claires
étoiles ». Cela
correspond assez bien aux images actuelles d'origines
scientifiques de l’univers publiées sur Internet.
Et en même temps que tout cela, se pointe l’espace comme
contenant de ces éléments constitutifs du monde. Espace permettant
de situer et de distinguer la terre, le soleil, la lune et les
étoiles. Mais pour l’expérience courante à travers les temps, cet
espace demeure bien mystérieux puisqu’on ne peut ni le voir ni le
toucher bien qu’il semble enrober de près la terre, cette terre que
les humains habitent et leur est devenue familière. Quoique… quoique
cette terre porte en elle-même ou en sa seule présence, sa part de
mystère. Mystère qui se laisse pressentir sitôt que nous nous
élevons au-dessus de nos affairements quotidiens… pour réfléchir,
pour nous étonner et penser !
Plus récemment
cet espace, que nous sommes d’emblée portés à assimiler à une sorte de
vide, est revenu une nouvelle fois dans l’actualité mondiale. En effet
le lanceur russe Sohouz a envoyé, il n’y a pas si longtemps, trois
cosmonautes dans la
Station spatiale
internationale. Dont l’un, David Saint-Jacques,
a fait, dans le mois d’avril 2019, une sortie dans l’espace, hors de la
station, pour procéder à un entretien de ce mécano très sophistiqué.
Nous pouvons facilement nous imaginer qu’il y a là des travaux à
exécuter autrement plus compliqués que de mettre un peu plus d’air dans
un pneu d’automobile ! Et la Chine, de son côté, a réussi à installer
récemment une sonde sur la face cachée de la lune. Sans oublier
l’exploit de la Nasa qui a permis à l’astronaute Neil Armstrong, il y a
déjà quelque cinquante ans, de mettre les pieds sur cette lune. Tout
cela implique
manifestement un pouvoir technique de déplacement
et de manœuvre dans l’espace plutôt particulier, voire très
impressionnant. Le
monde ou l’humanité tout entière peut ainsi
nouvellement porter, via les moyens de communications sans cesse en
surcroît de raffinement, un intérêt au moins global à l’univers et à cet
étrange espace qu’il semble occuper.
Et voilà que se
présente une bonne occasion de joindre à ces exploits technologiques
quelques données que l’astrophysique a rendues accessibles pour
l’attention commune. À mentionner premièrement la vitesse faramineuse
de la lumière, à savoir 300,000
kilomètres-seconde. Pour avoir une idée approximative de la
distance parcourue par la lumière en une année, on a qu’à multiplier ces
300 000 kilomètres par 60 (minute), à nouveau par 60 (heure), puis par
24 (jour), et encore par 30 (mois), puis finalement par 12 (année). Ce
qui donne pour la distance parcourue par la lumière en une année 10 000 milliards de
kilomètres. Ce qu’il est convenu d’appeler année-lumière.
Et puis, toujours selon les données de l’astrophysique, le
diamètre de l’univers
observable mesurerait en- viron 93 milliards
d’années-lumière ou encore 800 000 milliards de milliards de kilomètres.
Voilà des données absolument étourdissantes ! Sans compter que cet
univers est en expansion à une vitesse semblable à celle de la lumière,
dit encore l’astrophysique. Impossible alors d’arriver au bout du
compte !
Tout cela mène
la pensée vers l’immensité de l’univers. Immensité signifiant ici non
seulement très grande, mais à toute fin pratique non-mesurable,
indéfinie, voire infinie… Ainsi, un univers qui demeure tout à fait
mystérieux, y compris l’espace qu’il paraît occuper et qui semble n’être
jamais en reste pour l’expansion de cet univers. Et alors les questions
surgissent de plus en plus pressantes : D’où peut bien venir cet
univers ? Depuis quand est-il là ? Et l’espace lui-même ? ? ? Il
semblerait que la réponse à la deuxième qui porte sur la date de
l’arrivée en présence de l’univers soit d’emblée la plus satisfaisante,
à savoir que le début de cet univers visible remonterait à environ 13
milliards 700 à 800 millions d’années.
Et ce début
consisterait en une incroyable explosion, un Big Bang
libérant les éléments qui allaient devenir par la suite ce qu’on appelle
les étoiles, elles-mêmes se regroupant en galaxies. La science de
l’astrophysique nous apprend encore que la Voie lactée, galaxie
qui comporte notre soleil dans son amas de plus d’un milliard d’étoiles,
ne serait elle-même qu’une parcelle parmi les 100 à 200 milliards de
galaxies que compterait l’univers. Mais il se trouve que des
astrophysiciens situeraient
le début de l’univers
non pas dans le Big Bang lui-même comme
explosion initiale, mais plutôt dans la charge d’information qui
y mènerait. Et alors la question réapparaîtrait, à savoir d’où
viendrait cette
information elle-même ? En somme nous restons
avec notre
question : D’où peut donc venir ce monstre d’univers ?
Et à quel type de savoir est réservée une compréhension satisfaisante de
son début ?
Et voilà bien le
lieu et la pertinence de faire intervenir les récits mythologiques et
théologiques prônant que des dieux, y compris celui de la théologie
chrétienne, seraient les auteurs
de l’univers. Ils en
seraient les créateurs. Et sur cette piste survient
la théorie philosophique qui tente d’expliquer ces divines œuvres en
recourant à la causalité. Mais
cette théorie de la causalité a des limites. Elle joue, semble-t-il, à
merveille aussi longtemps que la pensée s’en tienne à la succession de
cause à effet
entre les phénomènes empiriquement observables.
Mais avant ou au-delà de la suite de tous ces phénomènes ? Alors
on a recours à la
pensée de la première cause. Car, raisonne-t-on
non sans à propos, la chaîne des causes pouvant expliquer les différents
phénomènes se produisant et apparaissant dans le
monde ne peut se
prolonger à l’infini. Les différents phénomènes,
dont nous faisons effectivement l’expérience, resteraient inexpliqués,
voire impossibles. Ils ne seraient tout simplement pas là, et non plus
les humains qui peuvent les observer. Cette chaîne exige donc de se
terminer par une première cause. Et cette première cause peut être
représentée par la pensée
d’une divinité toute
puissante que traditionnellement on appelle
Dieu. Thomas d’Aquin, au Moyen-âge, est un
excellent représentant
de cette démarche intellectuelle menant
vers Dieu. En effet, on
peut trouver dans sa Somme Théologique
l’argumentaire
fondé sur la causalité jouant entre les différents phénomènes
que présente le monde de la concrétude ou observable, et qui
aboutit à l’existence
de Dieu. Cet argumentaire, dit-on, s'appelle
depuis preuve
de l’existence de Dieu. Ainsi Dieu comme première
cause serait le producteur ou le créateur du monde. Voilà,
semble-t-il, une démarche qui donne raison d’une certaine manière à l’intuition
humaine qui s’est traduite au cours des siècles en diverses mythologies,
ou théories théologiques.
Mais le dieu
première cause, en tant que première justement, n’est pas causé. Ainsi
cette première cause s’avère être d’un ordre différent des autres
causes et de leurs effets dont on fait régulièrement l’expérience. Alors
comment comprendre
en elle-même cette première cause non causée ? Est-ce
pure chimère, simple fantaisie ? Il faut tenter une explicitation de
tout cela. Tâche particulièrement délicate…
La première
cause, en tant que première précisément ne peut être renvoyée à quoi que
ce soit d’autre pour expliquer son être ou existence, i.e. sa
présence au bout de la chaîne des causes. Cela paraît aller de soi. Mais
comment comprendre cette présence ou l’être de cette première
cause ? La pensée
philosophique courante
ou traditionnelle n’est pas allée expressément jusque-là. Pourrait-elle
seulement y aller ? L’explication par voie de
causalité de la présence ou de l’être de l’univers
s’en trouve ainsi
fondamentalement tronquée ou insatisfaisante.
Alors il semble bien que la pensée doive dépasser l’expédient
de la causalité, et
approcher directement ou sans intermédiaire l’être
de l’univers en son origine même. Ce qui amènerait à penser l’être
en lui-même. Donc, à le penser comme commencement. Ce qui
implique l’autosuffisance. Ainsi disparaît le
recours à quelque cause
extérieure à cet univers dont on cherche
à comprendre la
présence. Voilà ce qui semble résulter de notre
premier défrichage.
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AU SUJET
DE L'AUTEUR
Fernand
Couturier
Né en 1928 à Saint-Joseph du
Madawaska au Nouveau-Brunswick dans une famille
paysanne, l'auteur fait ses études
classiques au Collège de
Saint-Laurent à Montréal. Il étudie ensuite
en théologie dans les années 50
pour ensuite enseigner au Collège
de Saint-Laurent. Il obtient une licence (maîtrise)
en philosophie à Paris en 1961.
Tout en enseignant cette matière
toujours au même collège,
il entreprit en 1963 une scolarité de doctorat en
philosophie à
l'Université
de Montréal. De 1964 à 1967, il travailla sur la
pensée de
Martin Heidegger, à Freiburg im Breisgau, sous la
direction de Bernhard Welte. "Monde et être chez
Heidegger" lui permit d'obtenir le doctorat en
philosophie de l'Université de Montréal en 1968. Il
devint professeur de philosophie allemande
contemporaine à l'UQAM de 1970 à 1993, moment où il
prit sa
retraite.
Pendant cette période, il joint à l'enseignement
différentes
tâches de direction dans la même université : Module
de philosophie de 1978 à 1980; Département de
philosophie de 1980 à 1985; Programmes d'études
interdisciplinaires sur la mort de 1985 à 1990.
C'est en dirigeant ces derniers programmes qu'il
fonda la revue
Frontières,
organe de recherche et de diffusion sur différentes
problématiques
de la mort et du deuil.
"Monde et être chez Heidegger",
584 pages, a été publié aux Presses de l'Université
de Montréal en 1971. Publication
d'articles en philosophie dans
différentes revues, et collaboration
à quelques collectifs. Puis en 1990,
"Herméneutique", 211 pages, parut chez Fides.
Retraité de l’enseignement en
1993, et au fil de l’actualité des années qui
suivirent le référendum de 1995, l’auteur travailla
sur un projet de philosophie du langage et de
l’histoire appliquée
au Québec. Ce
qui donna le livre "Un peuple et sa langue",
publié par Fondation littéraire Fleur de Lys
en 2004.
À partir des années 2000, dans le
contexte de rencontres
avec un groupe
d’amis, il élabora "Mots de Noël" paru pour
la première fois en 2004 chez Fondation
littéraire Fleur de Lys, et en trois autres éditions
progressivement augmentées publiées par le même
éditeur en 2007, 2010 et 2016. Avec la dernière
édition se termine l’expérience des Mots de Noël.
En
2015, l’auteur nous propose "Régime de l’être",
condition humaine,
en suite d’une longue
fréquentation des œuvres de Martin Heidegger.
Et pour 2016, il nous offre un
essai sous le titre
"Mythes
Religions Laïcité"
sous-titré "Une
aire de liberté"
et en 2017 un recueil de textes sous le titre "Mort
humaine… suprême Séjour en Être".
En 2017, il signe chez le même éditeur ''NIETZSCHE
- Langage et interprétation'', ses notes de
cours.
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TOUS LES LIVRES DE CET AUTEUR
Fernand Couturier
 |
Monde et être chez Heidegger,
Presses de l'Université de Montréal,
1971, 584 pages. |
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 |
Herméneutique [Texte imprimé] : traduire,
interpréter, agir /
textes de H.G. Gadamer et B. Welte ;
trad. par Fernand Couturier, Jean-Claude
Petit, Monika Thoma.
Essai sur Heidegger et Gadamer / par Fernand
Couturier
Fides, 1990, 211 pages. |
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 |
Un
peuple et sa langue
Pour l'avenir du Québec
FERNAND COUTURIER
Essai de philosophie du langage et de l'histoire
Deuxième édition
Fondation littéraire Fleur de Lys
Laval, Québec, 2009, 416 pages.
ISBN 978-2-89612-324-7
Édition papier :
39.95$
Édition numérique : gratuite (PDF) |
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 |
Mots de Noël
Grâces à la clairière de l’être !
FERNAND COUTURIER
Poèmes & Prose - Quatrième édition augmentée,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2016, 344 pages,
En
couverture : © 1993 Mai, huile sur toile, Pauline
Rouillard, Galerie d’art Linda Verge, Québec,
Québec.
Illustrations : © 2004-1010, pastels et aquarelles,
Suzanne d’Anjou, Neuville, Québec
ISBN 978-2-89612-523-4
Édition papier :
39.95$
Édition numérique : gratuite (PDF) |
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 |
Régime de l’être – Condition humaine
Heidegger en opuscule
Deuxième édition augmentée
Essai
Fernand Couturier
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2015, 270 pages.
ISBN 978-2-89612-478-7
Exemplaire papier : non disponible : non disponible
Édition numérique :
GRATUIT (PDF) |
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 |
Religions Mythes Laïcité
Une aire de liberté
Essai
Fernand Couturier
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2016, 244 pages.
ISBN 978-2-89612-519-7
Exemplaire papier : non disponible : non disponible
Édition numérique :
GRATUIT (PDF) |
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 |
Mort humaine… suprême Séjour en Être
Recueil de textes
Fernand Couturier
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2017, 224 pages.
ISBN 9978-2-89612-543-2
Exemplaire papier : non disponible : non disponible
Édition numérique :
GRATUIT (PDF) |
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NIETZSCHE - Langage et interprétation
Notes de cours
Fernand Couturier
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2017, 312 pages.
ISBN 978-2-89612-549-4
Exemplaire papier : non disponible : non disponible
Édition numérique :
GRATUIT (PDF) |
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Origine du Langage…
Souffle de l’être
Fernand Couturier
Essai de philosophie du langage
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2019, 90 pages.
ISBN 978-2-89612-549-4
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Création du monde
Épanouissement de l’être
Fernand Couturier
Essai de philosophie
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2019, 66 pages.
ISBN 978-2-89612-576-0
Exemplaire papier : non disponible : non disponible
Édition numérique :
GRATUIT (PDF) |
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Interprétation, Vérité, Éternité et Être
Fernand Couturier
Essai de philosophie
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2020, 64 pages.
ISBN 978-2-89612-588-3
Exemplaire papier : non disponible : non disponible
Édition numérique :
GRATUIT (PDF) |
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I
La liberté − En clairière de
l’être
Fernand Couturier
Essai de philosophie
Fondation littéraire Fleur de Lys
Lévis, Québec, août 2021, 68 pages
Illustrations en couverture :
Photo 71166585 © Anmbph | Dreamstime.com
ISBN 978-2-89612-611-8
Exemplaire papier : non disponible : non disponible
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