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RADIO-TROTTOIR (récit)

précédé de

IL ÉTAIT UNE FOIS… (nouvelles)

Gabriel Deeh Segallo
 

Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2017, 113 pages.

ISBN 978-2-89612-532-6

Format 8,5 X 11 pouces (Lettre)

 

Disponible en format numérique uniquement

 

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Gabriel Deeh Segallo, Fondation littéraire Fleur de Lys

 

 

 

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PRÉSENTATION

 

Radio-trottoir (récit) précédé de Il était une fois... (nouvelles),

Gabriel Deeh Segallo, Fondation littéraire Fleur de Lys


Il était une fois… un soulèvement inattendu, dont l’issue surprit jusqu’aux organisateurs… Dans un coin perdu de la République du Cameroun, des élèves promis au service de Dieu se surprennent en pleine révolte contre les dirigeants de leur établissement situé dans le Diocèse de Nkongsamba: le Séminaire de Mélong dans les années 70. Ce déchaînement fut occasionné un midi par un élève de quatrième. Les macabos servis n’étaient même pas cuits, la sauce sempiternelle aux arachides s’avérant sans sel. La révolte semble bien justifiée, mais tous les séminaristes – grévistes ou non – seront exclus par l’Évêque ! Allez y comprendre quelque chose…


Radio-Trottoir… une série d’histoires, certaines vraiment fausses, et d’autres faussement vraies : un accident d’honnêtes gens déformé en accident de malfaiteurs ; un homme mis en quarantaine par la Justice traditionnelle ; une histoire de femme entre deux ou des amis ; la récupération d’enfant et de femme au pays des morts ; le marié et la mariée tués par une fée ; la résurrection d’une femme à la Jésus ; un crayon qui refuse d’écrire au baccalauréat pour une dette non payée à un mystérieux créancier ; une discussion dans une salle d’examen avec des interlocuteurs invisibles, pour une bague qui ne fonctionne pas à cause d’une erreur de bougies. Allez y comprendre quelque chose… Et pourtant…

Dr Ndé, Université de Douala, Purdue University, Indiana, USA

 

 

 

 

TABLE DES MATIÈRES

 

IL ÉTAIT UNE FOIS
 

Dédicace
 

Un coin mémorable
 

À la découverte du lieu
 

Quelques petites scènes
 

Une semaine parmi les autres
 

Épilogue
 

RADIO-TROTTOIR
 

Dédicace
 

Radio-trottoir
 

Où en sont les coutumes ?
 

Dis-moi ma sœur
 

Et l'espoir vainquit
 

Le janus humain
 

DU MONDE OCCULTE
 

Dédicace
 

La défunte retrouvée
 

Le baccalauréat manqué
 

La fausse promesse
 

La mort défaite
 

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EXTRAIT

Radio-trottoir (récit) précédé de Il était une fois... (nouvelles),

Gabriel Deeh Segallo, Fondation littéraire Fleur de Lys

IL ÉTAIT UNE FOIS...

 

CHAPITRE I - UN COIN MÉMORABLE

 

À cheval entre Bafang et Nkongsamba. À dix-huit kilomètres de la grande chute d’Ekom. Au débouché de la route qui mène à Dschang par la plaine des Mbôs. Sur la rive droite du fleuve Nkam. Le fleuve Nkam qui lui fait lisière à l’ouest. Puis c’est Nkontsoung. Avec sa petite chapelle au bord de la route ; Avec son marché constitué de petits hangars couverts de nattes au bord de la route ; Une école officielle se dresse sur la droite, aux murs en planches et aux fenêtres sans battants. Plus loin on est devant la mission protestante, l’usine à café de bâtard, la station Mobil, et la mission catholique. La route de la plaine des Mbôs abandonne dans un coin le petit bureau de poste de la localité, et sa bouche s’ouvre sur une plaine qui a permis d’augmenter la chaussée. À vingt mètres de la poste, du côté gauche se dresse la station Agip. Après elle la librairie ; plus loin c’est l’Hôtel, l’Escale, derrière une autre petite station d’essence. En face c’est une autre petite station d’essence, où les voyageurs attendent les occasions, devant un bar où tous les soirs tonne le Woua-Woua d’un orchestre d’assez grande envergure. Derrière le bar la sous-préfecture avec le groupe électrogène à quelques vingt mètres. En face de la sous-préfecture, au coin de la route, le petit dépôt de pharmacie, qui tourne le dos à la place de l’indépendance, dont le coude se repose sur la permanence du parti, laquelle indique le marché de bout de son nez. À côté d’elle coule un petit ruisseau où viennent s’abreuver bœufs et pique bœufs. De l’autre côté c’est le stade, après le stade un cours d’eau, et au-delà du cours d’eau l’unique établissement secondaire de la localité, fondé l’année dernière. Derrière la place c’est la gendarmerie, et presque en face d’elle le camp militaire, où un petit barrage déverse son éternel choc d’onde contre les rochers.


Des voitures croisent de temps en temps quelques cyclistes et motocyclistes sur la route bitumée tout au long de laquelle s’est bâtie la petite cité. Les effluves d’un restaurant vous chatouillent les muqueuses nasales quand vous vous tenez devant l’Escale, tandis que d’une petite maison de disques fusent des rythmes non inconnus de vous, les rythmes de James BROWN, et comme la musique camerounaise monte abruptement, ceux de NELLE EYOUM, d’ÉKAMBI Brillant, de MANU DIBANGO ou de TALLA André-Marie. Une chaleur humide vous couvre de sueur et vous avez les yeux tout rouges. Vous vous heurtez régulièrement sur de vieilles laves de volcan qui vous font trébucher comme de vos premiers pas. Les bars sont combles le soir, où les planteurs, les oisifs et les bandits se rencontrent pour se reposer en musique au fond d’une lie de bière, et de temps en temps contre la femme, toujours là, pour trouver un éventuel client qui ira avec elle après force négociations puiser en gros dans le fond de son sexe. Les gens ici aiment beaucoup s’amuser. Toute la semaine durant ils se débrouillent à trouver un sou, qu’ils vont le samedi ou le dimanche soir dépenser avec les copains et les femmes dans les bars. Il court même un petit adage sur l’oisiveté générale de ces gens, pourtant ils sont très doués, et je ne partage pas ce bruit non fondé peut-être, avant de lancer un tel vent, il faut toujours bien s’assurer de sa véracité. Car une fois que le renom a été touché, il n’y a plus de moyen de le réparer. C’est un peu comme un enfant qui vient au monde ; une fois hors du sein de sa mère, il ne peut y rentrer. Ou mieux comme votre copain contre qui vous vous fâchez et que vous tuez, pour vous avoir égaré un objet de grand prix. Quand après le meurtre vous vous rendez compte que l’objet était juste dissimulé quelque part, il est trop tard pour en appeler à Dieu et lui demander de « rembourser sa mort ». Elle s’est déjà abattue sur le gars et n’admet aucun subsidiaire. L’air est chaud et suffocant, essentiellement de cette chaleur humide des zones littorales. Des coups de vent et les brises sont fréquents pour assécher les gouttes de sueur qui perlent sur les fronts ou qui dégoulinent le long des corps des gens, à qui l’on croirait que le port d’un mouchoir de poche est interdit. Ces coups de vent intermittents font que l’air ne contienne souvent pas de poussière en suspension comme à Bafia où c’est comme une partie de la nature de toujours respirer des irrégularités, mêlées à cette chaleur sèche et suffocante, ainsi qu’à la rareté proverbiale du courant d’air, si ce n’est au approches d’une tornade. Le ciel est toujours dégagé en saison sèche et après chaque pluie. Mais de juin en décembre se sont les pluies et leurs dérivées qui commandent tout. Elles sont plus régulières qu’une jeune épouse pendant la lune de miel, et la boue prend règne sur le sol glaise. Le spectacle des rues est alors celui que vous avez déjà vu et auquel vous avez sûrement participé dans les rues en latérite ou en terre très meuble et très collante pendant la pluie. Les passants avancent comme s’ils marchaient dans un tas de merde. Ils cherchent en vain où poser sainement le pied, mais les flaques sont légion, et le reste c’est de la boue, cette satanée boue qui vous colle aux talons et aux semelles, au point de vous faire lever à chaque pas plus d’un kilogramme de terre. Avez-vous jamais rencontré un chicard ? Un vrai, pas de ceux-là qui ont à peine deux chiques dans le pied, mais un de ces chicards qui vivent avec du bétail, et qui sont rongés jusqu’aux doigts par ces êtres malfaisants. Ils marchent les pieds écartés et clopin-clopant comme une sorte de cabotin. Et le bruit que ces marcheurs dans la boue produisent est tout à fait analogue à celui produit par le taro qu’on pile, ou, pour ceux qui n’ont aucune idées de taro qu’on pile, à celui écouté dans les trous où des fabricants de briques piétinent la boue, ou encore à celui du pâtissier qui « boxe » sa pâte : Tchac tchac, tsoc tsoc, tsac tsac… et toute une amalgame de sens pareils. La localité est on ne peut plus morte dans ces moments maussades et tristes à faire pitié. La pluie, une pluie fine et persistante, fine, très fine et démangeant les bras de ceux qui vont dessous en manche de chemise ; Elle fait dégoutter les cheveux de ceux qui sont trop pauvres pour se munir d’un parapluie comme une éponge mouillée suspendue à une claie. Elle tue la vie. Les gens vont comme s’ils avaient tous perdu quelque parent, qui les bras croisés derrière, qui les bras croisés sur la poitrine ou fourrés dans les poches. Les flaques d’eau sont comme intarissables, et passent des semaines entières, sous le soleil sans cependant s’assécher. Celles qui sont bloquées de tous côtés, profondes, et qui ne peuvent se retirer ni en surface ni en profondeur demeurent là comme des étangs. Il s’y forme des fleurs aquatiques, ainsi que des mousses dont la quantité donne une couleur verte à toute la surface, avec des bulles Dieu seul sait d’où elles proviennent, peut-être après le trouble occasionné par un caillou ou autre, lancé par un enfant.


Les dernières cases de la petite agglomération laissent immédiatement place aux caféiers « robusta », dont les usines font pléthore dans les partages. Tous les Grecs sont venus y faire fortune en ouvrant des usines et des usines à café, en vue de l’exploitation tant de la fertilité du sol que des planteurs de la région. À qui ils doivent justement acheter du café très bon marché. On trouve aussi quelques cacaoyers épars dans les champs de caféiers, mais les vraies cacaoyères sont un peu plus reculées du centre, centrées sur les exploitations des grands transactionnaires Grecs, qu’on retrouve dans toute la région du Mungo, et plus loin à l’ouest, à Foumbot et ses environs. Ils sont encore légion jusqu’à Bafia, où ils ont le monopole de tout le commerce, intérieur et extérieur.


Si vous vous trouvez au coin des P.T.T et vous dirigez vers la plaine des Mbôs, après trois cent mètres, débouchant sur une usine à café, vous verrez une allée entre de grandes rangées de manguiers qui mènent vers une source, si vous demandez aux enfants – ils seront adultes aujourd’hui –, l’histoire de ces « manguiers » et de cette source, ils vous diront beaucoup de choses, avec un sourire sarcastique au coin des lèvres quand ils se souviendront des mauvais jours – comme celui où les minimes l’emportèrent sur eux au football. Car ces « manguiers » ont marqué la vie de tout homme qui est passé par là. N’entrons pas dans le détail, on pourra y revenir si besoin se fait sentir.


La source s’est croisée au fond d’une avalanche. Les torrents après avoir entraîné avec eux la terre glaise qui s’est effondrée brusquement comme d’un séisme, ont laissé un grand creux dans le sens de leur lit, se prolongeant à droite, au fond, par une autre dépression, qui sert de lit non plus à un torrent mais à de l’eau potable. Il coule au bout de la dépression un mince filet d’eau dont l’exploitation en a nécessité une canalisation, canalisation assurée par un bout de conduit d’eau, un de ceux-là qui, gros et noirs, jonchent les rigoles des rues par où l’on veut faire venir de l’eau pour la population. Un pieu est placé de travers sur les deux rebords de l’appendice par où coule ce filet, et les seaux, bassines et cale¬basses attendent devant la bouche du bout du tuyau, gourmands de ce filet d’eau. Cette source a été aussi célébrée pour les différentes aventures auxquelles elle a prit part. Une touffe de bambous de Chine marque son entrée. La Mission avait fait construire jadis un petit escalier pour descendre depuis le haut jusqu’au fond où seulement on pouvait trouver de l’eau. Beaucoup qui s’étaient débrouillés à trouver un seau d’eau s’en voyaient parfois privés, après avoir glissé en remontant la pente. Ah, c’était vraiment drôle, ces spectacles cyniques. Les autres riaient toujours, vu le caractère amusant de l’opération, mais aussi il fallait penser à la difficulté à surmonter pour trouver cette eau qui soudains s’échappait pour rejoindre sa mère dans le lit.

Par les soirs embaumés
De parfums exhalés
Par notre gent ailée
Dans les airs délaissée,
Fusent l’air éperdu
Ainsi que le fétu,
Qui emportent avec eux
Tout homme désireux
De s’enfuir à grands pas
Aux hauteurs sans trépas.

Et au petit matin,
Comme un fils de catin,
S’en est allé tout homme
Vers les verts caféiers.
Qu’il a hier soir laissés,
Et dont le doux arôme
Par les fleurs inhalé,
Endort comme une fée.

 

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AU SUJET DE L'AUTEUR

 

Gabriel Deeh Segallo

 

Gabriel DEEH SEGALLO est né à Bonabéri (Douala IVème) au Cameroun, membre de l’APEC (Association des Poètes et des Écrivains Camerounais) depuis 1980. Il est licencié ès lettres bilingues option Traduction-Interprétariat. Ancien élève de l’E.N.S. de Yaoundé, il est aussi titulaire d’un DIPLEG bilingue option linguistique, avec un travail sur René Philombe et la langue française : essai d’une étude linguistique de ses œuvres. Ayant la musique comme violon d’Ingres, il est en outre ancien musicien de cabaret et à ce titre, il a accompagné la plupart des grands musiciens camerounais en concert et en orchestre. Il et est affilié à la SACEM depuis 1976.


Comme chercheur, il est le pionnier dans l’enseignement du ŋgêmbà, sa langue maternelle dans laquelle il publie aussi beaucoup. Il enseigne le français, l’espagnol, le latin et l’anglais dont il était encore récemment Inspecteur Pédagogique Régional pour le Littoral camerounais. Gabriel DEEH SEGALLO produit des œuvres de création dans tous les genres et fait aussi de la critique littéraire. Co-fondateur avec Joseph TAGNE et Alex David LONGANG de la troupe théâtrale Les Anges de la Scène à Yaoundé dans les années 76, il fait aussi dans le théâtre et le cinéma. Comme acteur il a joué dans Ces femmes-là d’Adolphe Claude Mballa et dans Les Amours impériales de Marie Julie Nguetse. Comme écrivain, il est membre de plusieurs associations comme le CLA (Cercle de Littérature et des Arts), le Cercle Littéraire Affo Akkom, l’Association Nationale des Écrivains Camerounais… Il a publié des poèmes et des études critiques dans plusieurs revues, nationales et internationales.


Notable de son village, Gabriel DEEH SEGALLO est aussi depuis le 20 mai 2004, Chevalier du Mérite Camerounais.

 

 

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DU MÊME AUTEUR

 

Gabriel Deeh Segallo

 

La victoire de la femme

Gabriel Deeh Segallo

Roman

Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2016, 232 pages.
ISBN 978-2-89612-508-1
Format 8,5 X 11 pouces (Lettre)

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