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Georges Mouskhelichvili nous présente le suspenses

d'un thérapeute détective à la recherche de la vérité

Autre livre de cet auteur

 

MÉDITATIONS CANINES


Georges Mouskhelichvili

 

Nouvelles

 


Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2008, 210 pages.
ISBN 978-2-89612-253-0
-

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Couverture souple couleur

Format 6 X 9 pouces

Reliure allemande

 

 

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Méditations canines, nouvelles,

Georges Mouskhelichvili, Fondation littéraire Fleur de Lys

 

 

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PRÉSENTATION

 

Méditations canines, nouvelles,

Georges Mouskhelichvili, Fondation littéraire Fleur de Lys

 

John van Hoop, un personnage étrange et démodé, peu compréhensible pour ceux et celles qui l’entouraient, ne portait jamais un vrai nom de famille… « Van hoop » c’est une expression flamande qui peut être traduite en français comme « de l’espérance ». Pour quelqu’un qui se croit « médecin de l’âme », la vertu de l’espérance demeure un outil indispensable pour guérir.

Dans ce livre composé de trois nouvelles, le suspense et l’inexprimable se mélangent en toutes proportions pour se permettre de pratiquer l’autopsie de la vérité sous les différents angles de vue. L’impossibilité et l’impuissance d’un « psy » de déchiffrer une énigme sont récompensées ici par la présence silencieuse du chien, gardien de la paix intérieure de son maître qui pousse parfois ou souvent la porte de non-dit.

Comment peut-on vivre la réalité d’autrui ? De quoi s’agit-il : d’un meurtre prémédité, d’un accident tragique ou d’un fruit de l’imagination ? Les fautes, la force et les tentations d’un thérapeute qui s’oblige de jouer le rôle de détective sont dévoilées à travers des histoires sombres de ses patients.


 

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EXTRAIT

Méditations canines, nouvelles,

Georges Mouskhelichvili, Fondation littéraire Fleur de Lys

 

La première séance


Les lettres de Pâques


 

Les détails échappés


Aujourd’hui, nous sommes dimanche de Pâques… Je me souviens d’une aventure qui m’est arrivée il y a six ans, au début du troisième millénaire, alors que j’étais encore… je ne dirais pas jeune, mais plutôt une autre personne… Ce voyage à travers la réalité n’a duré que sept semaines et il s’est terminé précisément le dimanche pascal. Chaque année, à Pâques, des fragments de souvenirs accablants enfouis dans ma mémoire viennent tourbillonner dans ma tête et me forcer à les récupérer pour reconstituer la chaîne des événements et en recomposer la trame entière.

Le premier jour de Carême, Véronique – c’était son nom – est arrivée dans mon bureau sans s’annoncer à l’avance, sans rendez-vous, à l’improviste, comme de la neige au début de l’été. Je n’avais pas de patients ce jour-là. J'étais passé en coup de vent dans mon bureau pour ramasser un vieux livre que j’avais oublié la veille sur ma table. Quel livre ? Je n’arrive pas du tout à m’en souvenir.

C’était une femme dans la quarantaine, sans aucune caractéristique particulière, s’il est possible d’être ainsi. Ses yeux paraissaient avoir perdu de leur couleur brune ou de leur éclat, elle était maigre, très maigre même. Il m’est difficile de décrire de quelle façon elle s’était habillée, mais son costume d'un goût étrange me mettait mal à l'aise. Je n’ai pu voir ses cheveux à ce moment-là, car ils étaient dissimulés sous un foulard bariolé de dessins russes.

Elle avait en main un vieux sac de voyage en cuir brun d’une bonne grosseur et qui s’harmonisait on ne peut mieux avec ses yeux. Au premier coup d’œil, ce sac devrait appartenir plutôt à un homme qu’à une femme.

Puisque je viens de parler de son apparence physique, un détail intéressant me revient soudainement à l’esprit : Véronique était de taille beaucoup plus haute que celle de la moyenne. Dieu sait comment je ne l’avais pas remarquée auparavant.

J’en reviens aux premiers instants, quand elle a ouvert la porte de ma salle d’attente… Sans aucune crainte, me regardant droit dans les yeux, sans la plus petite confusion, elle s’est approchée de moi d’une manière plus que légère pour sa taille et elle m’a tendu une main froide. C’était sa gauche, j’en suis certain.
 
 « Bonjour. Je m’appelle Véronique Claus, a-t-elle dit. Je viens de loin, des États-Unis. Je suis de passage ici, je me promenais et j’ai vu votre enseigne sur la porte. Pouvez‑vous m’accorder une consultation sans rendez-vous, sans références ? Il s’agit de mon frère qui est très malade. Je peux vous payer trois fois le tarif, et même davantage. »
 
Malgré son fort accent anglais, qu’elle essayait de dissimuler autant qu’elle le pouvait, elle parlait un très bon français. Et il n’était pas difficile de se rendre compte qu’elle était riche et qu’elle savait qu’avec son argent, elle pouvait obtenir tout ce qu’elle désirait. Cependant, il était fort probable que tout ce qu’elle ne pouvait acheter était beaucoup plus important pour elle que ce qu’elle se procurait facilement à gauche et à droite. Pouvais-je refuser d’acquiescer à sa demande ? Très certainement. Mais le côté caché de sa « demande » me porta à faire le contraire.
 
« Certainement, j’ai le temps. Pourtant, en ce qui concerne le prix, il demeure le même. Entrez dans mon bureau et assoyez-vous confortablement. »
 
Avec un grand soupir, elle se plongea dans les coussins du fauteuil situé en face de la fenêtre qui donnait sur l’Université McGill. D’un coup, sa voix changea : passant brusquement d’une tonalité à l’autre, elle est devenue beaucoup moins forte.

« Mais… il ne s’agit pas de moi, il s’agit de mon frère. C’est de lui que je voudrais vous parler. Est-ce que cela change quelque chose ? »
 
Je vis qu’elle commençait à se sentir moins « puissante », si l’on peut dire. Madame Claus ne pouvait trouver de position confortable dans un fauteuil. Elle ouvrait constamment son sac pour le refermer ensuite, elle me regardait et, en même temps, elle évitait mon regard.


Je fixai mon attention sur son sac brun, qui cachait sans doute une partie de son histoire, de sa souffrance ou de son amour. Il n’était pas difficile de deviner qu’il pouvait aussi bien appartenir à son frère malade qu’à un simple médecin de famille. Probablement que leur vieux docteur vivait dans une toute petite ville et qu’il arrivait chez ses patients à cheval. Il devait fumer un long et grand cigare cubain qui incommodait tout le monde. Avant de commencer le traitement, il lavait ses mains pâles et bien soignées, et des gouttes d’eau tombaient sur ce sac, violant la souplesse de son cuir brun.
 
« Ne vous inquiétez pas. Rien ne semble pouvoir changer votre envie de parler… Alors… »
 
Ainsi débuta cette histoire. C’est vrai qu’elle a pris pas mal de mes efforts et qu’elle m’a plongé dans un cadre inattendu et très particulier...


Mon frère

Avant de parler, elle prit une cigarette dans sa main gauche, mais d’un coup et sans hésitation, elle la cassa et l’enfouit dans sa poche.
 
« Je ne sais comment commencer… C’est un sac de mon père ; il était médecin, quelqu’un de très connu dans son domaine. Quand il est décédé, mon frère mettait parfois ses papiers dedans... Et maintenant, c’est moi qui m’en sers. Non, ce n’est pas ça… Mon frère, paraît-il, souffre d’une maladie incurable et l'hôpital psychiatrique est un meilleur refuge pour lui. Je voudrais quand même vous raconter son histoire. Peut-être… »
 
Elle arrêta subitement son court monologue en se figeant dans la souffrance mal dissimulée. Elle prit une autre cigarette, pour refaire exactement les mêmes gestes que la première fois, se donnant le temps de trouver les mots nécessaires.

Dois-je lui poser des questions ou réussira-t-elle à parler ? Cette question bloquait mon raisonnement depuis déjà quelques bonnes minutes.
 
« Madame Claus, dites-moi, de quel problème souffre donc votre frère ?
— Je ne suis pas très forte en diagnostic, proclama-t-elle, en plus, je ne retiens pas les termes médicaux. Alors, il m’est impossible de vous répondre ; par contre, je peux vous raconter en détail son attitude envers la vie ou comment il se comportait dans telle ou telle situation. Ainsi, vous aurez le matériel nécessaire pour tirer vos propres conclusions, évidemment, en prenant en considération le fait que je suis subjective… »
 
Étant donné qu’elle ne me laissait pas le choix, j’ai décidé de ne plus poser de questions et de l’écouter en silence, jusqu’à ce qu’elle me raconte les motifs qui l’ont obligée à venir me raconter son histoire.
 
« Je suis plus âgée que Jack ; nous avons cinq ans de différence. Il était toujours le préféré de nos parents, mais cela n’entraînait jamais de crises de jalousie de ma part. J’ai accepté cela dès ses premiers jours dans notre famille avec une facilité étonnante pour une petite fille. Je l’aimais beaucoup et je l’aime encore, et cet amour est la cause principale de cette consultation…


» Je n’ai jamais eu de conflits avec lui : il m’obéissait toujours, il faisait tout ce que je voulais. Vous comprenez ? Très jeunes, nous avons perdu notre mère. Elle est morte subitement, sans qu’aucune maladie ne nous prépare à son départ. Cela a été un choc pour Jack, qui a pleuré sans arrêt pendant plusieurs semaines. Quant à moi, j’ai vite accepté sa mort. Pourtant, j’aimais infiniment ma mère…


» Notre père était très occupé par son travail, c’est pourquoi il a dû engager une gardienne pour prendre soin de nous. Je voudrais vous dire franchement que je n’ai pas apprécié cette idée, car je me sentais capable de m’occuper seule de Jack. J’ai donc décidé de nous débarrasser de cette femme, qui faisait, imaginez-vous, des tentatives pour séduire mon père. À l’époque, j’avais déjà treize ans. J’ai caché la boîte à bijoux de ma mère dans la chambre de cette femme et j’ai demandé à mon père la permission de porter son collier de diamants pour le bal de fin d’année à l’école. Évidemment, j’ai obtenu sa permission, mais mon père n’a pas trouvé cette boîte à sa place. Comme par hasard, il l’a retrouvé dans la chambre de notre gardienne, qui a dû quitter notre maison le soir même…


» Je m’occupais de Jack, qui grandissait de jour en jour. Papa continuait à s’absenter pour son travail, jusqu’au jour où son remplaçant nous a téléphoné pour nous annoncer que notre père était mort subitement au cours d’une conférence. J’ai choisi un bon collège pour Jack et, quelques années plus tard, un métier qui, d’après moi, lui convenait parfaitement. Comme il était fort en sciences exactes, j’ai pensé qu’il serait pratique pour lui de devenir comptable ; de plus, il pourrait gérer parfaitement nos finances. Tout allait bien ; nous étions ensemble, mon frère et moi. Mais un jour…


» Docteur, pourrais-je avoir un autre rendez-vous avec vous ? Je suis fatiguée, excusez-moi. J’espère que vous êtes libre demain… »
 
Comme elle semblait en effet extrêmement défaite et fatiguée, j’ai été obligé d’accepter de la rencontrer une autre fois. Cette femme était-elle une des causes de la maladie de son frère, qui l’avait fait interner dans une maison psychiatrique ?


L'amour incontrôlé

Il était déjà tard pour rentrer chez moi à pied comme je le faisais habituellement, et j’ai dû prendre un taxi. Quand je me suis installé sur le siège arrière de la voiture, un vrai mélange de pluie et de neige tombait sur la voiture, et j’admets que mon moral laissait plutôt à désirer. Quel type de conseil attendait-elle de ma part, si elle n’acceptait que ce qui lui plaisait ? Ce soir-là, je me suis couché tard. Assis sur le divan, j’essayais de comprendre comment je pouvais aider ce pauvre homme enfermé dans un hôpital psychiatrique par sa sœur bien-aimée.

Le matin, il faisait si mauvais que même une bonne tasse de café chaud ne pouvait me réconforter. Avant de quitter mon nid de célibataire, j’ai pris un livre, celui que j’avais oublié il y avait quelques jours dans mon bureau et dont le titre ne me revient pas encore… Une demi-heure plus tard, j’étais déjà dans le bus qui me transportait dans le Vieux-Montréal.

J’avais trois patients, Madame Claus était la quatrième et la dernière. J’avais fait exprès de la placer après mes autres rendez-vous, pour me sentir plus à l’aise et avoir tout mon temps, me rappelant que sa première visite avait duré plus de deux heures ; c’était beaucoup pour une seule consultation.

 Les trois premiers patients ne sont pas restés longtemps : ils étaient tous les trois réellement pressés et ne cachaient pas leur envie de quitter mon bureau le plus rapidement possible. C’était drôle, car habituellement ils me prenaient beaucoup plus de temps et d’énergie. J’ai même eu l’impression qu’ils voulaient libérer la place pour cette quatrième personne qui mettait tout le monde mal à l’aise par sa simple présence.

Madame Claus ouvrit la porte de mon bureau à quatre heures pile, au moment précis où la plus grande aiguille de ma montre tomba sur le chiffre douze. Incroyable ! Elle n’a pas attendu mon invitation pour entrer, et son « bonjour » n’est sorti de sa bouche qu’après qu’elle eut été assise dans un fauteuil.

Voilà une chose qui m’a encore étonné, sinon frappé : sa fidélité à ce grand sac de voyage, qu’elle traînait encore. Encore un détail : elle était vêtue exactement comme la veille…
 
« Puis-je commencer ? a-t-elle demandé.


— Je vous en prie, madame. »
 
Elle m’avait demandé cela avec une telle insistance que ma réponse m’avait paru totalement artificielle. Par contre, ma cliente était tout à fait naturelle et elle ne laissait aucune possibilité d’en douter.
 
« On vivait donc très bien ensemble, mon frère et moi. Mais un jour, il est tombé amoureux d’une femme. Je ne la connaissais pas auparavant et, malheureusement, elle a complètement transformé la personnalité de mon frère. Il ne m’était plus possible de l’accepter : il ne m’écoutait plus, me parlait rarement, et il était toujours auprès d’elle. Je me sentais seule, parfois triste… »

J’ai interrompu sa narration par une simple question qui me semblait logique et, franchement, j’ai regretté de l’avoir posée. Elle m’a lancé un regard glacial et ne m’a pas répondu. Elle a simplement continué sa phrase :
 
« … je me sentais abandonnée. Pour moi, il était clair qu’il fallait faire tout en mon possible pour briser cette liaison funeste. Mais comment faire ? Pour y parvenir, il me fallait au moins connaître cette femme, mais Jack faisait tout pour la cacher, créant un mur autour de moi qui m’isolait dans l’impuissance…


» Un beau jour après son anniversaire, quand il a eu ses vingt et un ans, il m’a déclaré qu’il voulait l’épouser. Ce fut un choc pour moi. Je lui ai alors proposé de l’amener souper chez nous pour faire connaissance. C’était ma dernière chance de réaliser mon plan. À mon avis, leur séparation apporterait du bonheur à Jack. Il ne me restait qu’une petite chose à régler : inventer un bon plan d’action…


» C’était une fille simple et plutôt jolie. Je dois préciser qu’elle n’avait pas la beauté fine d’une aristocrate, mais plutôt les traits d’une poupée, comme une Barbie, si vous voyez ce que je veux dire. Elle venait d’une famille plutôt pauvre. Elle travaillait comme serveuse dans un restaurant et faisait son baccalauréat en sciences infirmières. Elle parlait tout le temps, ses blagues étaient grossières et bêtes. Elle embrassait constamment mon frère, et ses gestes d’amour m’énervaient. La chose la plus triste, c’est qu’il l’aimait et que son amour paralysait son cerveau…


» Aussitôt partie, j’ai trouvé ce plan maudit, je l’ai trouvé ! Je reviendrai demain à la même heure. Je vous remercie, Docteur. »
 
Elle ne m’a aucunement demandé si j’étais libre le lendemain et si j’acceptais de lui donner une autre consultation. Elle le savait à l’avance…Mais pourquoi n’ai-je rien dit alors ? N’était-ce pas parce que je voulais à tout prix savoir la fin de son histoire ? Ce fut une curiosité impardonnable de ma part.
 

 

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Méditations canines, nouvelles,

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AU SUJET DE L'AUTEUR

 

Georges Mouskhelichvili

 

Georges Mouskhelichvili est né à Moscou le 18 aout 1970. En portant un nom de famille dont une longue histoire se perd en Géorgie du douzième siècle, il grandit dans la vieille capitale russe en lisant la poésie et en apprenant la langue française.

Il commence à étudier la psychologie à l’Université d’État de Moscou. Dans l’espérance de découvrir les côtés cachés de l’âme humaine, il quitte sa ville natale afin de poursuivre ses études au Séminaire de Paris et à l’Institut des Études Théologiques à Bruxelles. Ainsi, il passe cinq ans de sa vie en Europe.

Bachelier en Théologie, il revient à Moscou et constate que la vie a beaucoup changé pendant son absence. Les quatre ans suivants n’étaient pas faciles pour lui : il devait travailler et étudier en même temps. En 2002, il repart, cette fois définitivement, de son pays pour commencer la vie « nouvelle » au Canada.

En 2003, il devient membre de l’Ordre des Psychologues du Québec et ouvre sa pratique privée pour offrir un soutien psychologique aux souffrants ; en 2009, il obtient deux grades doctoraux (Ph. D. et Psy. D.) en psychologie clinique et théorique de l’Université du Québec à Montréal.

La fin du cheminement universitaire ne devient pas pour lui la fin de son perfectionnement professionnel. En 2013, il reçoit le titre de « neuropsychologue ». C’est son troisième titre réservé (après ceux de « psychologue » et « psychothérapeute ») qu’il mérite au cours de ses dix ans de carrière professionnelle au Québec.

Marié et père de trois enfants, il vit et travaille à Montréal.

 

 

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DU MÊME AUTEUR

 

Georges Mouskhelichvili

 

IMITATIONS INFIDÈLES

Georges Mouskhelichvili

Quelques poèmes tardifs


Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2013, 128 pages.
ISBN 978-2-89612-449-7

 

 

DÉTENTEUR DE DEUX GRADES DOCTORAUX EN PSYCHOLOGIE CLINIQUE ET THÉORIQUE, Georges Mouskhelichvili EXERCE SON MÉTIER SUR L’ÎLE DE MONTRÉAL.

 

CE RECUEIL INTITULÉ

« Imitations infidèles »

RASSEMBLE SES QUELQUES

EXPÉRIMENTATIONS POÉTIQUES

QUI S’INSCRIVENT UNE PAR UNE

DANS SEPT CYCLES SUCCESSIFS.

 

 

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