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Encore un ragot de femme, roman,
Isabelle Couture Vézina,
Fondation
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PRÉSENTATION
Encore un ragot de femme, roman,
Isabelle Couture Vézina,
Fondation
littéraire Fleur de Lys
La satisfaction professionnelle de Cécile Larouche
ne dura que quelques heures, sa fureur de se hisser
au sommet du monde fondit comme neige au soleil. Que
ce soit parmi les mondains montréalais ou le jet set
européen, l’âme féminine de Cécile sera cruellement
meurtrie, sa dignité de femme éprouvée. La marche de
Cécile sur le chemin des lauriers se déroule dans un
climat incongru, profane et criminel. Isabelle
C-Vézina donne à son récit un ton tout à fait
particulier où la jouissance se dispute avec
l’horreur de la situation.
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EXTRAIT
Encore un ragot de femme, roman,
Isabelle Couture Vézina,
Fondation
littéraire Fleur de Lys
Chapitre 1
L’aéroport Charles De Gaule grouilla de gens irrités, le visage déformé par
la fâcherie. Le grommellement, des voyageurs éprouvés, façonna une ambiance
fulminante. On tonnait, bougonnait, ronchonnait sans scrupule et dans tous
les recoins. Tout comme moi, ces victimes innocentes essuyèrent une grève
casse-pieds des aiguilleurs. La plupart des vols enregistrèrent un retard de
plusieurs heures. En ce qui me concerne, cette imprévue incommode dépassa la
simplicité d’un contre temps. En fait, elle m’apparut comme une odieuse
raillerie du destin.
Ce soir là, sur l’autre continent, celui du nouveau monde, je fus attendue.
Tout le gratin montréalais; politiciens, financiers richissimes, vedettes de
la télévision, auteurs célèbres, allait répondre présent, au grand salon
bleu, d’un hôtel luxueux, du centre ville de Montréal. Ces prosélytes de la
mondanité québécoise acceptèrent de se réunir au lancement de mon premier
bouquin. Il m’a fallu plus d’une année pour écrivailler cet essai politique
d’une centaine de pages seulement. Le sujet, une fenêtre ouverte sur la
francophonie, se trouvait ambitieux, prétentieux m’ont dit certains jaloux,
mais aussi séducteur pour les soucieux de l’évolution de la langue française
au sein de la mondialisation. Je ressentis une fierté insolite et me laissai
porter par la satisfaction béatifique d’avoir réalisé un exploit. Mon projet
littéraire, audacieux selon quelques éditeurs pusillanimes, avait abouti.
L’élite infatuée de ma province allait le recevoir. Mais cet instant
glorieux que je savourai, délectée, risquait de s’entacher par un sale coup
du destin.
Je ne pouvais m’autoriser un retard et, encore moins, une absence parce que
trop petitesse. Plusieurs des invités, des connaissances neuves et bigotes
pour la plupart, ne pardonneraient pas une telle inconvenance d’une
sociétaire inconnue. Mon cheminement de carrière et mon capital matériel
n’octroyèrent pas encore ce genre de privilège. Ces invités donc,
n’hésiteraient pas, pour une seule bévue de ma part, à tuer dans l’œuf mes
ambitions intrépides. Il paraît que les Québécois mondains sont passés
maîtres dans l’art de faire avorter une carrière en devenir. D’après mon
expérience personnelle, cette assertion dépasserait le racontar populaire.
Mais la dénonciation de ceux qui pouvaient encore m’ouvrir les portes de la
réussite n’était pas, en ce moment, propice. Chaque chose en son temps.
Je ne me faisais aucune illusion. Mon seul géni n’avait guère fomenté
l’intérêt de ces sagaces notoriétés québécoises envers mon travail
intellectuel. Inutile de prétendre le contraire même pour convaincre de ma
propre importance. Un premier essai politique n’attirait pas autant
l’attention là-bas, dans mon capricieux pays des neiges. Sans Bernadette
Bombard, le cercle des grands me restait fermé et le chemin des Lauriers
obstrué pour encore un long moment. Si ce soir, mon lancement s’avérait un
événement à Montréal, ce fut à cause d’elle. Je voulus être digne de ses
attentes et aussi de celles de ses éclatants amis. Ce fut la moindre des
choses après tout. Ils daignèrent se déplacer pour moi et leur rayonnement
allait m’être profitable.
Bernadette Bombard, cette femme érudit d’une cinquantaine d’années,
animatrice à la télévision, auteur respecté dont le don plumitif épata plus
d’une fois, posa sur moi, un jour, son regard. Moi, Cécile Larouche,
illustre inconnue, diplômée des sciences politiques, pas encore trente ans,
eus l’immense grâce d’être recrutée par cette dame de fer estimée dans la
province québécoise. Il y a deux ans, Bernadette me repéra au milieu d’une
masse de gradués en combat pour assumer leur avenir. Je fus alors
journaliste pour un petit journal et vins tout juste de faire éclater, au
grand jour, un scandale politique. Celui-ci fit beaucoup jaser. Aujourd’hui
encore, à Montréal, certains se souviennent.
Bernadette Bombard avait donc jeté son dévolu sur moi et décidé de me
prendre sous ses ailes. Je devins une perspicace apprentie, fermement
décidée à suivre le plan de carrière qu’elle m’ait proposé. Non sans m’être
demandée, toutefois, si son intérêt ne fut point de me surveiller. De
s’assurer et de rassurer ses brillants amis que je ne jetasse plus de
cailloux dans ce lac tranquille de la félicité québécoise. Enfin, je voulus
profiter de ses judicieux conseils et aussi de son entourage exceptionnel,
sans me résigner, toutefois, à abandonner ma plume comme arme de justice.
N’en déplaise aux malhonnêtes. Aussi, je refusai, toujours et sans hésiter,
d’emprunter l’étrange cheminement spirituel que ma maîtresse m’ait proposée
plus d’une fois. Je désirai rester fidèle au Christianisme. C’était ma
religion et l’héritage de mes ancêtres. Cela en agaçait plus d’un dans
l’entourage de Bernadette. Je le savais mais restai encrée dans ma croyance.
Ainsi, j’avais du mal à concevoir l’inattendue gâcher ce que j’avais préparé
dans un esprit vétilleux et acharné. Il fallait espérer atteindre l’autre
continent à temps maintenant. D’ailleurs, je ne pouvais rien d’autre. Si le
syndicat souhaitait gagner une bataille dans cet aéroport en prenant en
otage les voyageurs, moi, mon cœur frissonnait comme si une épée tranchante
se pointait sur ma tête.
─ Ces Français, ils vont finir par m’exaspérer. Toujours la grève, il n’y a
que ça dans ce pays! À cause de leur hargne, moi, je risque de ne pas être,
ce soir, à mon lancement, dis-je, déconfite, en brassant nerveusement mon
café crème avec un bâton de plastic brun.
─ Ma pauvre Cécile, ne te mets pas dans un état pareil, c’est mauvais pour
ta santé et tu auras les yeux bouffis. Puis, ne parle pas des Français comme
ça! Je sais que tu nous adores chérie, répondit Paolo, un ami parisien
plutôt excentrique, afféré à saisir le dernier cachou au fond de son petit
sac. Il réussit, l’avala, puis me fit un sourire espiègle.
─ Ton avion partira dans trois heures. Tu arriveras à temps. Sois zen!
Ajouta-t-il en respirant profondément.
Je pris une gorgée de mon café crème déjà refroidi. Je fis un constat
soudain et m’exclamai en faisant sursauter mon bon ami zen.
─ Ah non! On dirait que le sort s’acharne à réduire en miettes toutes
parcelles d’orgueil m’habitant. Je n’aurai pas le temps de revêtir la tenue
que tu as confectionnée pour moi, pour cette occasion, dis-je, l’air
bouleversé.
─ Soupire! Mais Cécile, tu n’es pas possible. Ce n'est pas grave, non mais
oh! Paolo me prit le bout du menton de ses doigts fins et délicats. Il
s’approcha, puis ajouta d’une voix rassurante: Très chère, j’ai également
fait de mes mains l’ensemble que tu portes admirablement en ce moment. Tu es
ravissante chérie!
─ Tu fais semblant ne pas comprendre. Le tissu et même la couleur avaient
été préalablement étudiés. Souviens-toi, Bernadette avait convenu de l’effet
positif presque magique qu’aurait le vêtement sur les gens.
─ Pff! Laissa échapper l’homme efféminé en projetant sa main vers le sol.
Mais cette tenue aussi aura un grand effet. Tu verras, tu vas tous les
éblouir. On ne verra plus que toi. Viens là que je te fasse la bise.
Une tenue excentrique et féminine dévoilerait un côté frondeur de ma
personnalité. Bernadette et ses amis n’apprécieraient pas. Ma modestie
risquait ainsi d’être avilie et affoler la snob classe. Je voulais éviter
cela et présenter une image sage et soumise. Me faire accepter par ce milieu
pédant fut pour moi primordial. J’y voyais là, la clef de la réussite.
Susciter leur méfiance, m’éloignait de mon but. Mes cheveux longs, colorés
d’une multitude de mèches blondes dépareillées, un tailleur unique,
parfaitement ajusté en satin d’une riche couleur bourgogne et des longues
bottes de cuir noir allaient surprendre et poser un doute quant à mon
intégration. Je ne pouvais pas encore me permettre d’imposer toute ma
personnalité féminine dans ce groupe hégémonique, homogène et masculin. Trop
jeune, trop blonde et trop belle. Il fallait s’assurer que ces défauts
inventés par les hommes soient bien camouflés, le temps de réussir. Une
leçon inoubliable apprise de la bouche de Bernadette, une femme masculinisée
à qui on a octroyé le succès. « Mais voyons Cécile, tu sais bien qu’au
Québec les femmes sont des hommes comme les autres! » m’ont dit, il y a déjà
plus d’un an, des amis d’universités toujours en recherche d’emploi. Hum!
Pas encore ça, à mon avis.
─ Monsieur! Puis-je avoir un autre café? Demandais-je au serveur.
─ Ah! Mais je reconnais là, le magnifique accent québécois. J’adore vous
entendre parler vous les Québécois. On dirait que vous chantez, s’exclama le
garçon de table.
Comme à tous les Français qui firent la même remarque avant lui, je le
trouvai plutôt sympathique, puis lui souris.
─ Du café! Tu n’es pas raisonnable. Peut-être ne te considères-tu pas assez
énervée? S’il vous plaît, monsieur, apportez-lui plutôt une tisane,
insistait Paolo.
J’éclatai de rire devant l’exaspération de mon ami français. Je connaissais
Paolo depuis une année déjà. En fait, depuis mon aménagement dans le
délicieux appartement parisien de Bernadette. Elle me le prêta pour écrire.
Voisin de palier, designer ingénieux, cet homme qui n’en fut point un dans
l’âme, a su raviver en moi des goûts et des plaisirs déchus. La gastronomie,
les vins, la décoration, les vêtements, les sorties nocturnes, tous des
joies de la vie redécouvertes avec la touche fantaisiste de Paolo. À cet ami
irréprochable, pas banal, je lui devais le renouveau de ma personnalité,
jadis peu colorée.
─ Laisse la tisane Cécile! On vient d’annoncer ton embarquement, m’informa
soudain Paolo.
─ Pas trop tôt! Encore un espoir d’arriver à l’heure et de ne pas décevoir.
Je file. Merci de m’avoir accompagnée Paolo. Tu es extra! Lui déclarais-je
en lui faisant une bise amicale.
─ Cela fut un plaisir chérie. Je penserai très fort à toi. N’oublie pas! Tu
es magnifique et ton bouquin on se l’arrachera me dit-il en refermant ses
mains autours des miennes.
─ Merci Paolo, je t’adore. Je pris mon sac à main, puis fila.
─ Ciao! Bella. À bientôt!
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AU SUJET DE L'AUTEUR
Isabelle Couture Vézina
Née
à Montréal, Isabelle C. Vézina a complété des études
universitaires à la faculté des Sciences politiques
à l’Université du Québec à Montréal (1987-1990).
Elle se spécialisa dans le domaine des relations
internationales en 1992 et suivit jusqu’en 1997
diverses formations notamment en sociologie (mass-médias,
société nord-américaine), en psychologie
(psychologie de l’immigration), en journalisme et en
langues (espagnol et italien). Elle écrivit
régulièrement durant son séjour universitaire des
articles politiques dans un journal citadin :
Contre-Courant, tiré à 30 000 exemplaires, et
acheva aussi la rédaction d’un essai politique.
Isabelle C. Vézina se consacra ensuite, pendant quelques années, au commerce
international. En tant que conseillère en relations
internationales, la recherche de la documentation
pertinente, l’établissement de contacts, l’ouverture
de marchés et la négociation d’ententes commerciales
se sont avérés les principales activités effectuées.
En 1999, elle décida de s’associer juridiquement.
SEIA, une société canadienne d’expertise en
relations internationales, fut ainsi mise en
opération. Isabelle C-Vézina effectua alors divers
travaux de rédaction (rapports, recherches,
discours…) et ce, pour son plus grand plaisir.
En l’an 2000, Isabelle C.
Vézina s’est mariée et installée en France pour une
période de trois ans. Elle donna naissance à son
premier enfant, assouvit sa passion des voyages à
travers le monde et, son attrait prononcé pour les
activités littéraires l’incita à participer à divers
ateliers d’écriture. De retour à Montréal, elle
devient chef d’entreprise puis donne naissance à un
deuxième enfant en 2005. Elle termine alors la
rédaction de son premier roman : « Encore un
ragot de femme », construit à partir de sa
propre conception de la réalité. Cet écrit concerne
le pouvoir le plus mythique de notre époque : le
pouvoir des femmes.
À l’automne 2011, de
retour d’un séjour en sol américain, énergisée par
la nature luxuriante d’Hawaii, des villes de San
Diego, Los Angeles et Philadelphie, Isabelle Couture
Vézina ose un second roman. Elle nous présente cette
fois, Petit pommier, un roman dédié à son
père. Avec le goût de l’écriture, Isabelle Couture
Vézina, s’assure encore de communiquer son espoir.
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Isabelle Couture Vézina
Isabelle Couture Vézina se fera un plaisir de lire
et
de répondre personnellement à vos courriels.
Adresse de correspondance électronique :
icouture_seia@yahoo.fr
Site Internet personnel de l'auteur :
http://www.wix.com/cvezinabella/isabellecouturevezina
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