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JEAN-CHRISTIAN
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L'ultime relique - Tome 2, Jean-Christian
Brodeur,
roman,
Fondation littéraire Fleur de Lys


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PRÉSENTATION
L'ultime relique - Tome 2, Jean-Christian
Brodeur,
roman,
Fondation littéraire Fleur de Lys
Les prodiges opérés par l’intercession de
reliques sont un fait avéré par notre
science moderne, même si elle se voit dans
l’incapacité d’en expliquer le mécanisme.
Durant tout le moyen âge, un trafic douteux
de ces précieux objets s’est maintenu pour
atteindre son point culminant à l’époque des
croisades. La fascination exercée par ces
témoins miraculeux du passé a même abouti à
d’intolérables actes de brigandage. Jusqu’où
l’appropriation d’une relique peut-elle
conduire : à apporter une preuve irréfutable
en l’existence de Dieu ?
Durant leur célèbre procès, les Templiers
furent soupçonnés d’avoir eu en leur
possession la plus parfaite, la plus
extraordinaire et la plus étonnante de
toutes les reliques. De quelle infâme «
chose » l’Ordre du Temple fut-il le
détenteur pour avoir été ainsi précipité
jusqu’à sa plus complète destruction ?
Dans son premier roman, Jean-Christian
Brodeur nous propose une piste plausible de
solution à cette déroutante énigme. Dans
leur course effrénée pour l’obtention de
reliques toujours plus convoitées, les héros
de cette histoire se retrouvent plongés au
cœur d’un terrible affrontement entre la
royauté française et la papauté protectrice
de la foi chrétienne. Une descente aberrante
dans les fondements même des dogmes
irréductibles de notre Sainte Mère l’Église.
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EXTRAIT
L'ultime relique - Tome 2, Jean-Christian
Brodeur,
roman,
Fondation littéraire Fleur de Lys
Prologue
Convaincu
d’avoir découvert l’endroit précis où repose le Témoignage de
l’alliance du peuple juif, « écrit avec le doigt de Dieu », Jérôme
de Gisors, sur l’ordre de Sa Sainteté Boniface VIII, doit se rendre
en Terre Sainte. À Venise, avant de prendre la mer, il reçoit
l’étrange avertissement d’une damoiselle, Caterina Foscarini,
l’enjoignant de renoncer à son téméraire projet, mais en vain.
À Chypre, Jérôme informe les hauts dignitaires du Temple de son
intention de procéder à des fouilles à Jérusalem, sous contrôle
ennemi. Jacques de Molay le prie instamment de repousser ses
investigations jusqu’au prochain conflit prévu avec le sultan de
Babylone. Refusant de se conformer à cette ordonnance, Jérôme
obtient la collaboration inespérée de l’informateur égyptien du
Temple, le prince Éliaquim ben Yechiel. Dissimulé au sein d’une
troupe de danseuses orientales, Jérôme retire de la piscine de
l’antique forteresse Antonia une caisse d’étain recouverte
d’inscriptions maléfiques.
Suite à une spectaculaire séance d’exorcisme dans la campagne de
Limassol, Jérôme et ses amis se retrouvent en possession de la plus
incroyable de toutes les reliques... Pour Éliaquim, seule une perfide machination ourdie par
les membres du Sanhédrin pourrait expliquer cette insolite mise au
secret. Voulant éviter à tout prix de voir une aussi épouvantable
entorse aux principes fondamentaux de la religion chrétienne devenir
publique, Jérôme tente de rapporter discrètement en France la
dépouille miraculeuse. Hélas ! Déjà les prodigieux pouvoirs de cette
incommodante relique ont commencé à susciter l’envie d’un Templier,
jugé jusque-là irréprochable, le grand visiteur de France Hugues de
Payraud.
Au même moment, par le plus parfait des hasards, l’un des
conseillers du roi de France, Guillaume de Nogaret, est mis au
courant de l’impossible découverte faite à Jérusalem. Désormais, une
lutte à finir va s’engager entre Philippe le Bel et le possesseur de
cette toute puissante relique. Réalisant la manière dont il a
déclenché, bien malgré lui, les terribles rouages d’une implacable
concupiscence, Jérôme doit tenter de renverser l’inévitable décret
du destin pour empêcher l’effondrement annoncé de toute la
chrétienté.
Extrait du chapitre 1
Grâce
à ce signe tu vaincras
Au son des fifres et des clairons, des tambours
et des trompettes, sous le pur ciel d’azur du mois de juin 1301, un
imposant cortège quitta le palais royal pour emprunter le Grand Pont
de Paris et se rendre, en grandes pompes, dans les jardins de la
forteresse du Louvre. Au premier rang se trouvaient Philippe le Bel
et son épouse Jeanne de Navarre, accompagnés de leur fils aîné,
Louis, âgé de onze ans. Derrière eux, paradaient les Grands de
France exhibant les couleurs vives de leur maison : Godefroi, duc de
Brabant ; Othon V, comte de Bourgogne ; Jean II de Trie, comte de
Dammartin ; Raoul II, seigneur de Nesle et connétable de France ;
Louis I, seigneur de Vaud et comte de Savoie ; Jean II de Brienne,
comte d’Eu et bouteiller de France ; Hugues de Chimay, comte de
Soissons ; Jean IV, comte de Dreux et de Roussy ; Aimerie, comte de
Tancarville ; et Robert II le Bon, comte d’Artois. Cette splendide
cohorte composée de la fine fleur du royaume emprunta l’Escolle de
St-Germain pour parvenir à la porte de la tour du Coin. Là, avaient
été aménagées de nombreuses estrades de bois, recouvertes de
confortables coussins sur lesquels les dames et leurs époux purent
prendre place. Au centre de cette arène improvisée, les attendaient,
en grande tenue d’apparat, les écuyers, les palefreniers, les
porte-étendards et les armuriers. Du haut de sa tribune, le héraut
d’armes proclama avec solennité le début des joutes équestres devant
affronter les chevaliers de toute la noblesse française.
Ce genre de rencontres était devenu nécessaire
pour déterminer qui, en cas de conflit, pouvait prétendre à la
préséance d’occuper le centre et l’avant de la ligne d’attaque ; la
vaillance et l’adresse n’allant pas forcément de pair avec le titre
et le rang. C’était très important, car livrer bataille n’était
nullement une chose aisée à faire. Le grief principal en revenait à
cet encombrant vêtement défensif dont le combattant se trouvait
inéluctablement recouvert. Sous sa brillante cotte de mailles
appelée haubert, de plus en plus compacte en raison de la force
accrue des arbalètes, le chevalier enfilait préalablement un épais
corselet de feutre le protégeant contre le lancé de trait. Le
destrier sur lequel il se tenait était également protégé de la même
manière par un caparaçon richement coloré. Sur le champ de bataille,
le chevalier était ainsi en mesure d’essuyer le tir de nombreux
archers sans sourciller. À la fin d’un affrontement, il pouvait très
aisément se retrouver couvert de flèches à la manière d’un hérisson.
Ainsi, la meilleure méthode pour abattre un
chevalier adverse consistait à le désarçonner. Pour ce faire, la
tactique utilisée visait à lancer au galop son cheval en direction
de son ennemi tout en levant sous le bras une longue pique de bois.
Une fois jeté à bas de sa monture, le chevalier se trouvait
habituellement dans l’incapacité de se relever par ses propres
moyens : le haubert, les chausses, le heaume, le bouclier, la masse
d’arme, l’épée, tout cela accumulait un poids trop considérable pour
accomplir une telle prouesse sans le secours essentiel d’un écuyer.
L’art de la guerre s’enseignait donc lors de ces tournois courtois
où l’on évitait les blessures graves ou les mortalités en sciant au
préalable, dans le sens de la longueur, les tiges de bois sur
lesquelles les participants devaient forcément s’empaler.
Pour la circonstance, Philippe le Bel avait
revêtu ses plus beaux atours : une cotte d’armes en soie écarlate,
enfilée sur un surcot de pourpre de Tyr, le tout somptueusement
rehaussé par un manteau de velours bleu royal décoré de fleurs de
lys brodées de fil d’or. Sur sa tête, le roi portait une légère
couronne en métal repoussé dont les pointes évoquaient toujours le
lys et sertie de brillantes escarboucles rouges. Sa magnificence ne
lui cédant en rien, la fille d’Henri I de Navarre s’était glissée
dans une lourde robe de brocart cramoisi agrémenté d’orfroi
difficilement discernable en raison de sa longue cape de samit crème
entièrement doublée de vair et d’hermine. Sa coiffe s’ornait d’un
admirable diadème paré d’une multitude de petites perles marines.
Sous le dais royal, assis à la droite du roi, se
trouvaient Enguerrand de Marigny, Pierre Flote et Guillaume de
Nogaret ; à la gauche de la reine prenait place l’héritier au trône,
le prince Louis, puis le confesseur du roi, Philippe de Marigny,
frère d’Enguerrand, venait ensuite l’évêque de Paris, monseigneur
Simon de Bussy et plusieurs de ses clercs. Le tournoi débuta par de
fracassantes épreuves entre chevaliers, entrecoupées de jongleries
et de prestations de ménestrels. Un peu avant l’heure de none,[1]
la chaleur du jour ayant considérablement monté, la reine,
regrettant de s’être si lourdement vêtue, se retira avec l’héritier
au trône et l’évêque de Paris. Les compétitions se poursuivirent
durant encore de longues minutes lorsqu’un page de la cour vint
avertir le roi de l’arrivée à son palais d’un important personnage
sollicitant d’être entendu. Comme les tournois devaient s’étirer
encore pendant plusieurs jours, Philippe s’enquit de l’identité de
l’individu en question dans l’idée de le recevoir sur-le-champ.
— Il s’agit du récent évêque de Pamiers, répondit
le page, monseigneur Bernard de Saisset, légat officiel du pape en
France.
Le roi détourna son regard bleuté de la joute
pour le poser sur ses trois conseillers. La seule mention du nom du
légat venait de raviver chez Philippe de sourdes blessures ; ce
simple titre lui écorchait viscéralement les oreilles. Ayant accédé
à ce poste prestigieux sans la moindre intervention de sa part, ce
prélat avait la prétention de venir lui faire des remontrances
devant sa propre cour. Seul maître en son royaume, Philippe
s’ingéniait à comprendre ce pape obstiné à vouloir nommer des
évêques en terre française sans son approbation préalable, cela
tenait de la tyrannie !
— Voilà l’occasion rêvée pour attaquer Sa
Sainteté, souffla Nogaret à ses deux voisins de siège.
Enguerrand de Marigny transmis le message au roi
dont la mine réjouie parut approuver le stratagème de ses habiles
conseillers. À la manière d’un prince, l’évêque de Pamiers se
présenta selon l’habit dévolu à sa charge, c’est-à-dire vêtu d’une
somptueuse pèlerine violette, entouré de ses nombreux clercs et de
ses domestiques. Il tenait à la main les lettres apostoliques
remises par le pape Boniface VIII faisant suite aux demandes
répétées du roi de France, sept mois plus tôt, « de lui restituer
l’objet en sa possession revenant de plein droit à la monarchie
française ». L’attitude hautaine et le ton méprisant du légat
fournirent une réponse sans équivoque :
— Le souverain pontife, commença monseigneur de
Saisset, est profondément chagriné par la manière dont le roi de
France s’obstine à régenter son royaume. Il est irrité par les
nombreuses plaintes lui provenant de son clergé insatisfait des
interventions répétées de Sa Majesté dans les affaires
ecclésiastiques et voudrait voir son digne fils spirituel fait
montre de meilleures dispositions envers les fidèles serviteurs de
son Église. Grande est également sa déception concernant les
constantes modifications à la monnaie ayant cours au royaume de
France, Sa Sainteté s’interroge sur la moment où prendra fin de
telles pratiques.
À ces mots, le roi sentit son principal
conseiller responsable en cette matière, Enguerrand de Marigny,
s’agiter sur son siège. Cet imperceptible mépris fit d’un seul coup
sortir Pierre Flote de ses gonds :
— Depuis quand les politiques financières d’un
royaume concernent-elles le pape ? vociféra furieux le conseiller de
Philippe le Bel, seriez-vous en train d’accuser notre roi de
malversation ? Battre monnaie n’est-il pas un droit inaliénable à
tout suzerain d’un royaume ? Sa Sainteté éprouverait-elle des
difficultés financières pour se plaindre de la sorte ? Pourtant on
la dit en possession des moyens nécessaires pour produire de l’or à
volonté. Le conspirateur ici ne serait-ce pas plutôt vous ? Nous
devrions à l’instant vous faire arrêter et jeter en geôle pour être
au service d’un tel maître !
Depuis des mois, les politiques monétaires de
Philippe le Bel avaient grandement perturbé les finances du
Saint-Siège. Pour juguler les transferts financiers en direction de
Rome, le roi avait fait frapper des pièces d’argent de plus en plus
légères ; cette dévaluation soutenue des revenus de l’Église avait
provoqué la frustration du pape et celle du collège des cardinaux.
Ignorant tout de la découverte de la sainte relique, Bernard de
Saisset sembla surpris par les allusions du conseiller de Philippe
le Bel, mais voyant ainsi attaquer sa propre personne, le légat
poursuivit son entretient sur un ton plus acerbe.
— Ma présence ici concerne uniquement le
bien-être de Sa Majesté, vilipenda l’évêque de Pamiers, Sa Sainteté
tient également à rappeler au roi de France que les sommes prévues
pour son expédition en Terre Sainte ne doivent en aucune manière
être employées à un autre usage. Quant en ce qui me concerne, si le
roi de France prétend me menacer par l’entremise de ses conseillers,
j’évoque le pouvoir bien réel du Siège apostolique de déposer un
monarque dans le cas où il persisterait dans son refus d’obéissance
envers la Sainte Église catholique romaine.
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Jean-Christian Brodeur
La totalité des individus faisant parti de
l’humanité occupant actuellement cette planète n’est
pas toute issue de notre Soleil. Une partie d’entre
elle, environ cinquante millions, provint d’autres
systèmes stellaires. Selon l’expression consacrée
par les voyants extralucides, ces individus
possèdent une « vieille âme ». Ils ont voyagé à
travers l’espace sidéral enveloppés dans l’aura
d’entités supracosmiques. Jean-Christian Brodeur est
l’un de ceux-là. Très tôt dans sa jeunesse, un
message prophétique, communiqué durant son sommeil,
lui a confirmé sa mission. De régulières
communications télépathiques l’ont ensuite
graduellement conduit à consacrer sa vie à l’étude
du monde invisible. Guidé par les grands maîtres de
lumière, il est devenu leur interprète. Messager de
l’au-delà, ses romans constituent un fervent
plaidoyers en faveur du monde surnaturel dont il
nous dresse un portrait à grand spectacle. Non… nous
ne sommes pas seuls dans l’Univers !
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