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COUVERTURE
Pour en finir avec
le mythe de la Révolution tranquille,
recueil d'essais,
Jean-Claude Dupuis, Ph.D., Fondation littéraire Fleur de Lys. |
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RÉSUMÉ & PRÉSENTATION
Pour en finir avec
le mythe de la Révolution tranquille,
recueil d'essais,
Jean-Claude Dupuis, Ph.D., Fondation littéraire Fleur de Lys.
RÉSUMÉ
La Révolution tranquille
(1960-1970) est le mythe fondateur du Québec
contemporain. Ce mythe glorifie la destruction
de l’ancienne identité nationale
canadienne-française, fondée sur la religion
catholique, au profit d’une nouvelle identité
québécoise, axée sur la philosophie libérale.
Mais nos manuels d’histoire présentent une
fausse image de la Révolution tranquille, et,
plus encore, du Québec duplessiste qui l’a
précédée. La Révolution tranquille n’a pas été
un mouvement de modernisation et de
démocratisation, car le Québec d’avant 1960
était déjà moderne et démocratique. La
Révolution tranquille a plutôt été un phénomène
de « dépersonnalisation » collective. En 1960,
le Québec se sentait trop minoritaire en
Amérique du Nord. Il admirait et enviait
secrètement son
colonisateur anglo-saxon. Il a choisi de
s’auto-acculturer, d’assimiler certains éléments
de la mentalité anglo-protestante pour « mieux
relever le défi économique ». Le Rapport Parent
rejeta la pédagogie française traditionnelle au
profit de la nouvelle pédagogie américaine.
L’esprit utilitaire du High School a
remplacé l’esprit humaniste du collège
classique. Les Canadiens français sont
alors devenus des Québécois, c’est-à-dire
des Américains francophones. Jean Lesage l’avait
promis : « Québec sera une province comme les
autres. »
Ce recueil d'essais pourfend
l’histoire officielle de la Révolution
tranquille. La Grande Noirceur du régime
Duplessis n’a jamais existé. Jean Lesage n’a pas
modernisé le Québec; il l’a seulement
américanisé. Paul Gérin-Lajoie a démoli l’un
des meilleurs systèmes d’éducation au monde. Le
cardinal Léger aura été l’idiot utile
de l’anticléricalisme. L’Église défendait la
classe ouvrière. La grève d’Asbestos a été une
entreprise de subversion. Les curés n’ont jamais
forcé les femmes à avoir des enfants à chaque
année. Le nouvel « historien national », Maurice
Séguin, n’était pas aussi nationaliste qu’on le
pense. La culture québécoise est définitivement
plus matérialiste que l’ancienne culture
canadienne-française.
Malgré tout, le pays réel
survit sous le pays légal. Le jeune Québécois
contemporain garde encore quelque chose de son
ancêtre canadien-français. La patrie pourrait
renaître et apporter un « supplément d’âme » à
l’Amérique du Nord. Nous sommes un peuple qui ne
sait pas mourir, écrivait Félix-Antoine Savard.
Mais la renaissance nationale exige une révision
de l’histoire, car celui qui contrôle
l’histoire, disait George Orwell, contrôle le
présent.
PRÉSENTATION
Ce recueil d’essais s’inscrit à contre-courant de
l’histoire officielle en s’attaquant au mythe
fondateur du Québec contemporain, la Révolution
tranquille (1960-1970). Ce mythe glorifie la
destruction de l’ancienne identité nationale
canadienne-française, fondée sur la religion
catholique, au profit d’une nouvelle identité
québécoise, axée sur la philosophie libérale. Mais
nos manuels d’histoire présentent une fausse image
de la Révolution tranquille, et, plus encore, du
Québec duplessiste qui l’a précédée. La Révolution
tranquille n’a pas été un mouvement de modernisation
et de démocratisation, car le Québec d’avant 1960
était déjà moderne et démocratique. La Révolution
tranquille a plutôt été un phénomène de «
dépersonnalisation » collective. Le Québec a choisi
de s’auto-acculturer, d’assimiler certains éléments
de la mentalité anglo-protestante pour « mieux
relever le défi économique ». Le Rapport Parent a
rejeté la pédagogie française traditionnelle au
profit de la nouvelle pédagogie américaine. L’esprit
utilitaire du High School a remplacé l’esprit
humaniste du collège classique. Les Canadiens
français sont alors devenus des Québécois,
c’est-à-dire des Américains francophones.
Et pourtant, le pays réel survit sous le pays
légal. Le jeune Québécois d’aujourd’hui garde
quelque chose de son ancêtre canadien-français. La
patrie pourrait renaître, mais à condition de
revisiter son histoire, car « celui qui contrôle
l’histoire contrôle le présent », disait George
Orwell.
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SOMMAIRE
Pour en finir avec
le mythe de la Révolution tranquille,
recueil d'essais,
Jean-Claude Dupuis, Ph.D., Fondation littéraire Fleur de Lys.
RÉSUMÉ
PRÉSENTATION
PARLONS DE MAURICE DUPLESSIS
LA RÉVOLUTION TRANQUILLE : MODERNISATION OU
ACCULTURATION?
PAUL GÉRIN-LAJOIE ET L’AMÉRICANISATION
PÉDAGOGIQUE
LE CARDINAL PAUL-ÉMILE LÉGER : DE L’ÉGLISE
TRIOMPHANTE À L’APOSTASIE TRANQUILLE
L’ÉGLISE ET LA TROISIÈME VOIE ÉCONOMIQUE
LA VÉRITÉ SUR LA GRÈVE D’ASBESTOS
LA LÉGENDE NOIRE DU CLÉRICO-NATALISME
MAURICE SÉGUIN ET L’HISTOIRE NÉONATIONALISTE
LE CODE QUÉBEC : QUE SOMMES-NOUS DEVENUS?
AU SUJET DE L’AUTEUR
DU MÊME AUTEUR
COMMUNIQUER AVEC L’AUTEUR
TABLE DES MATIÈRES
ÉDITON ÉCOLOGIQUE
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EXTRAIT
Pour en finir avec
le mythe de la Révolution tranquille,
recueil d'essais,
Jean-Claude Dupuis, Ph.D., Fondation littéraire Fleur de Lys.
PARLONS DE MAURICE DUPLESSIS
Transcription de l’entrevue radiophonique
réalisée à CKAJ par Louis Champagne avec Jean-Claude
Dupuis au sujet de Maurice Duplessis
(Saguenay, 23 août 2016).
http://www.tradition-quebec.ca/2016/08/conference-duplessis-grande-noirceur-ou.html
Louis Champagne : Je vais recevoir l’un des rares
historiens qui défend la mémoire du « cheuf », de
Maurice Duplessis, et qui viendra faire une
conférence à ce sujet dans notre région. C’est exact
Monsieur Dupuis?
Jean-Claude Dupuis : Effectivement, je ferai une
conférence à Jonquière où je vais poser la question
à savoir si l’époque de Maurice Duplessis a été une
période de « grande noirceur », comme on le dit
habituellement, ou, au contraire, une période «
d’âge d’or » de l’histoire du Québec. Je pense que,
globalement, l’époque de Duplessis a plutôt été une
période de progrès pour le Québec.
Louis Champagne : Vous savez, vous êtes l’un des
rares à dire cela (rire).
Jean-Claude Dupuis : Je ne suis pas le seul. Je
pense qu’on a un peu plus de recul par rapport à
Duplessis, et le discours antiduplessiste, que l’on
tenait dans les années 1960 et 1970, est un peu
obsolète. Les historiens commencent à réviser cela
et ils trouvent des bons points à Maurice Duplessis,
surtout sa belle défense de l’autonomie provinciale.
Je pense que c’est le grand legs qu’il a donné à la
province de Québec.
Louis Champagne : On a surtout retenu de
Duplessis qu’il mêlait la politique et la religion.
Il allait à la messe, il prenait ses décisions le
mercredi (jour de saint Joseph). On associe les
soutanes à la grande noirceur, à tort ou à raison.
Jean-Claude Dupuis : Oui, effectivement, c’est
aujourd’hui le genre de choses qu’on lui reproche.
Mais à l’époque, on ne lui reprochait pas ça, car le
Québec était catholique. Au contraire, on l’admirait
pour cela. Et il ne faut pas se faire d’illusions.
Ses adversaires libéraux allaient, eux aussi, à la
messe. Le premier ministre du Canada, le libéral
Louis Saint-Laurent, avait un frère prêtre. Lui
aussi avait été élevé dans la religion catholique.
C’était le Québec de ce temps là.
Louis Champagne : Si vous dites qu’il avait
d’autres qualités, moi je pense surtout au fait que
Duplessis a laissé le Québec sans dette. Et
aujourd’hui, on ne pense même plus à cela. C’est
tout un héritage.
Jean-Claude Dupuis : Un des reproches que l’on
fait aujourd’hui à Duplessis, c’est de ne pas avoir
embarqué dans le mouvement de l’État-Providence.
Lors de la Révolution tranquille des années 1960, on
aurait fait un « rattrapage » à ce niveau. Mais il
faut comprendre que le développement des années 1960
n’aurait pas été possible si Duplessis n’avait pas
laissé le Québec dans une aussi bonne situation
financière. Au temps de Duplessis, le Québec était
la province la moins taxée au Canada. Aujourd’hui,
je ne sais pas si le Québec détient encore le
record, mais c’est certainement l’une des provinces
les plus taxées. Maintenant, on admire l’Alberta
parce que c’est la province la moins taxée, mais
dans les années 1950 c’était le Québec.
Louis Champagne : Vous avez raison. Mais on a
aussi reproché à Duplessis d’avoir laissé les écoles
aux congrégations religieuses. Il s’opposait à la
création d’un ministère de l’éducation. Jean Lesage
a même été obligé d’attendre un peu avant de le
créer, car le monde n’était pas prêt.
Jean-Claude Dupuis : On affirme souvent que le
Québec avait un « retard » dans le domaine de
l’éducation au temps de Duplessis. Moi, je soutiens
que ce n’est pas vrai. Il faudrait revoir toute
cette question. En 1959, Duplessis avait dit que
nous avions le meilleur système d’éducation au
monde. Il avait peut-être raison. Dans les années
1950, nous avions développé un réseau d’écoles de
métiers. Et lorsque le gouvernement allemand a voulu
réformer son propre système d’écoles de métiers, il
a envoyé des fonctionnaires au Québec pour étudier
comment fonctionnaient nos écoles. Si les Allemands
venaient au Québec pour étudier notre système
d’éducation, il ne devait pas être si mauvais que
ça. Quand on sait, qu’aujourd’hui, l’Allemagne a
l’un des meilleurs systèmes d’écoles de métiers au
monde, et c’est l’une des raisons qui explique son
succès économique. Et ces mêmes Allemands nous
prenaient comme modèle dans les années 1950.
Maintenant, parlons de nos collèges classiques.
C’est dans les années 1950 qu’ils ont atteint leur
sommet. Et si l’on compare les collèges classiques
aux cégeps d’aujourd’hui, je pense que les collèges
classiques l’emportent.
Ce qui a été surtout important au temps de
Duplessis, c’est le développement des écoles
primaires. En 1936, lorsqu’il prend le pouvoir, il
n’y a pratiquement pas d’écoles au Québec. On était
encore à l’époque des « écoles de rangs », qui
étaient des espèces de cabanes de bois avec une
maîtresse sous-payées qui enseignait à toutes les
classes primaires, de la première à la septième
année. Quand Duplessis meurt, en 1959, il y a de
belles écoles, très modernes, avec des professeurs
qui ont été formés dans des écoles normales. Or les
écoles normales des années 1950 formaient, à mon
avis, de meilleurs enseignants que nos actuelles
facultés de pédagogie. Quand on regarde toutes les
absurdes réformes de l’éducation que l’on a depuis
quelques années, on n’a pas de leçons à donner au
Québec de Duplessis. Je vais vous donner un exemple.
Prenez un ancien manuel de français des Frères des
Écoles chrétiennes et comparez-le aux manuels
d’aujourd’hui. Vous me direz lequel est le plus
clair, et avec lequel on peut le mieux apprendre le
français.
Louis Champagne : L’une des choses que l’on a le
plus reprochée à Duplessis, dans d’histoire, c’est
un peu son anti-syndicalisme, les grandes grèves,
l’intervention de la police. Ne pensez-vous pas que
c’est surtout cela qui a nuit au souvenir que l’on a
de lui.
Jean-Claude Dupuis : Nos livres d’histoire ont
beaucoup retenu le point de vue des syndicats sur
Duplessis. Mais lorsque l’on regarde cela de près,
c’est Duplessis qui a adopté en 1945 le Code du
Travail du Québec, qui avait satisfait les syndicats
à l’époque. C’est vrai que Duplessis était dur
envers les grèves illégales. Mais une grève
illégale, c’est illégal. Vous vous souvenez de la
grève d’Asbestos, par exemple, qui avait été assez
violente. C’était une grève illégale. Et ce n’était
pas une grève qui était tellement dans l’intérêt des
travailleurs. Il faut comprendre le contexte. Les
syndicats catholiques voulaient montrer qu’ils
pouvaient être aussi revendicateurs que les
syndicats internationaux, en fait américains. La
grève d’Asbestos doit se comprendre dans le contexte
d’une lutte entre des centrales syndicales. Le
syndicat faisait venir des fiers à bras de Montréal.
Ils ont même séquestrés quelques policiers. Il
fallait bien que la Police provinciale inter¬vienne.
C’était normal.
Louis Champagne : Le livre que vous avez écrit se
vend-t-il bien? Quel genre de personnes va à vos
réunions? Je me demande si les jeunes savent encore
qui était Maurice Duplessis?
Jean-Claude Dupuis : Je crois que Duplessis reste
un nom assez connu au Québec. Les gens qui viennent
à nos réunions, organisées par un groupe que l’on
appelle Tradition Québec, et qui est un groupe de
catholique traditionalistes, ce sont des jeunes
essentiellement…
Louis Champagne : Ah oui? (L’air surpris.)
Jean-Claude Dupuis : On ne voit pas beaucoup de
têtes grises. Ce sont des jeunes qui ont un esprit
critique, et qui ne gobent pas d’un seul coup tout
ce qu’on leur enseigne dans les cégeps et les
universités. Ce sont des gens qui lisent beaucoup,
ils font beaucoup de recherches sur internet, ils
découvrent une espèce de « contre-discours », un
discours dissident. Ils sont en recherche et ils
sont intéressés à ce qu’on leur offre un discours
différent du « politiquement correct », ce discours
qui est aujourd’hui assez étouffant. Vous savez,
l’on a parlé de la « Grande Noirceur » de Duplessis,
on disait qu’il réprimait la liberté de pensée. Tout
cela est complètement faux. Je pense qu’aujourd’hui
au Québec, vous avez plus de chances d’avoir des
problèmes si vous critiquez ouvertement, par
exemple, la politique d’immigration de nos
gouvernements, que si vous aviez, en 1950, critiqué
Duplessis ou l’Église catholique. Je me demande si
la « Grande Noirceur », ce n’est pas aujourd’hui.
Louis Champagne : Je vous remercie beaucoup,
Monsieur Dupuis, de votre présence…
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le mythe de la Révolution tranquille,
recueil d'essais,
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AU SUJET DE L'AUTEUR - BIOGRAPHIE
Jean-Claude Dupuis, Ph.D.
Né
en 1961, Jean-Claude Dupuis a étudié au Collège de
L’Assomption, au Cégep de Saint-Jérôme, à
l’Université de Montréal et à l’Université Laval.
Diplômé en histoire, en droit et en pédagogie, il
fut procureur de la couronne pendant quelques années
avant de faire une maîtrise sur
L’Action française de Montréal
(1917-1928),
sous la direction de Pierre Trépanier, et un
doctorat sur
Mgr
Elzéar-Alexandre Taschereau et le catholicisme
libéral au Canada français (1820-1898),
sous la codirection de Brigitte Caulier et Nive
Voisine. Spécialisé en histoire intellectuelle et
religieuse du Québec des XIXe et XXe
siècles, boursier du Fonds FCAR et du CRSHC, il a
présenté plusieurs communications dans les sociétés
savantes et publié des articles dans diverses
revues, notamment la
Revue d’histoire de l’Amérique
française, L’Action nationale, Études d’histoire
religieuse et
Le Sel de la Terre.
Il a remporté le Prix Guy-Frégault (1994), décerné
par l’Institut d’histoire de l’Amérique française,
pour son article sur “La
pensée économique de L’Action française”.
Il enseigne présentement l’histoire et la
géographie, ainsi que l’éthique et culture
religieuse à l’École Sainte-Famille (Lévis), une
institution catholique traditionnelle liée à la
Fraternité Saint-Pie X. Se considérant comme un
héritier du nationalisme groulxien, il n’hésite pas
à critiquer le bilan de la Révolution tranquille et
les valeurs matérialistes du Québec contemporain. En
accord avec la doctrine sociale de l’Église, il
prône un humanisme chrétien fondé sur l’enracinement
national et communautaire dans un esprit d’ouverture
aux différenciations culturelles. En tant
qu’historien catholique, il entend défendre la
mémoire de l’Église, qui est si malhonnêtement
discréditée par un certain anticléricalisme
médiatique. Résolument hostile au modernisme de
Vatican II, il pense qu’il faut “tout instaurer dans
le Christ”, suivant le mot du pape saint Pie X (Omnia
instaurare in Christo).
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DU MÊME AUTEUR - BIBLIOGRAPHIE
Jean-Claude Dupuis, Ph.D.
Ouvrages numériques à
téléchargement gratuit
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UN COMBAT IDENTITAIRE
L'ACTION FRANÇAISE DE MONTRÉAl
(1917-1928)
Essai
Jean-Claude Dupuis, Ph.D.
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2013, 117 pages.
ISBN 978-2-89612-437-4
Téléchargement gratuit
http://www.manuscritdepot.com/a.jean-claude-dupuis.1.htm |
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LE CARDINAL TASCHEREAU
ET LE CATHOLICISME LIBÉRAL
(1820-1898)
Condensé - Thèse de doctorat
Jean-Claude Dupuis, Ph.D.
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2014, 316 pages.
ISBN 978-2-89612-468-8
Téléchargement gratuit
http://www.manuscritdepot.com/a.jean-claude-dupuis.2.htm
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LE SIECLE DE MGR BOURGET
(1840-1960)
Recueil d’essais sur l’histoire
politico-religieuse du Québec
Jean-Claude Dupuis, Ph. D.
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2016, 492 pages.
ISBN 978-2-89612-503-6
Téléchargement gratuit
http://manuscritdepot.com/a.jean-claude-dupuis.3.htm
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AU TEMPS DE
JEUNE NATION
Les écrits polémiques
d'un contre-révolutionnaire tranquille
Jean-Claude Dupuis, Ph. D.
Histoire - Recueil de textes
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2017, 298 pages.
ISBN 978-2-89612-528-9
Téléchargement gratuit
http://www.manuscritdepot.com/a.jean-claude-dupuis.4.htm
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POUR EN FINIR AVEC LE MYTHE
DE LA RÉVOLUTION TRANQUILLE
Jean-Claude Dupuis, Ph. D.
Histoire - Recueil d'essais
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2019, 202 pages.
ISBN 978-2-89612-564-7
Téléchargement gratuit
http://www.manuscritdepot.com/a.jean-claude-dupuis.5.htm
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Thèses et mémoires
Mgr Elzéar-Alexandre
Taschereau et le catholicisme libéral au Canada
français (1820-1898),
thèse de Ph.D. (histoire), Université Laval, 2006,
415 p. Codirection : Brigitte Caulier et Nive
Voisine.
https://www.erudit.org/
Nationalisme et
catholicisme. L’Action française de Montréal
(1917-1928), mémoire
de M. A. (histoire), Université de Montréal, 1992,
329 p. Direction : Pierre Trépanier.
« Réformisme et catholicisme.
La pensée sociale d’Arthur Saint-Pierre »,
Bulletin du regroupement des chercheurs-chercheures
en histoire des travailleurs et des travailleuses du
Québec, vol. 17, no 1 (hiver 1991),
p. 25-61.
« Pour une éducation
nationale. La pensée pédagogique de L’Action
française (1917-1928) », Cahiers d’Histoire
de l’Université de Montréal, vol. XIII, no
1 (printemps 1993), p. 34-47.
« La pensée économique de
L’Action française (1917-1928) », Revue
d’histoire de l’Amérique française, vol. 47, no
2 (automne 1993), p. 193-219.
« La pensée religieuse de
L’Action française (1917-1928) », SCHEC :
Études d’histoire religieuse, no 59
(1993), p. 73-88.
« La pensée politique de
L’Action française de Montréal (1917-1928) »,
Les Cahiers d’histoire du Québec au XXe
siècle, no 2 (été 1994), p. 27-43.
« La revue Relations et
le Concile Vatican II », Les Cahiers d’histoire
du Québec au XXe siècle, no
6 (automne 1996), p. 33-50.
« L’appel au chef. Lionel
Groulx et l’action politique », Les Cahiers
d’histoire du Québec au XXe siècle, no
8 (automne 1997), p. 94-99.
« Antonio Perrault et le
nationalisme juridique », L’Action nationale,
vol. 81, no
7 (septembre 1991), p. 1007-1009.
« Le retour de Cité Libre »,
L’Action nationale, vol. 81, no 8
(octobre 1991), p. 1043-1052.
« Histoire de la Ligue : la
pédagogie française », L’Action nationale,
vol. 81, no 8 (octobre 1991), p.
1114-1119.
« Histoire de la Ligue : le
problème économique », L’Action nationale,
vol. 82, no 1 (janvier 1992), p. 98-102.
« Histoire de la Ligue : le
nationalisme de L’Action française », L’Action
nationale, vol. 82, no 2 (février
1992), p. 229-234.
« Histoire de la Ligue :
nationalisme et catholicisme », L’Action
nationale, vol. 82, no 4 (avril
1992), p. 526-532.
« Défense de l’Inquisition »,
Le Sel de la Terre, no 29 (été
1999), p. 154-168.
« Mgr Ignace Bourget et
l’ultramontanisme canadien-français (1799-1885) »,
Le Sel de la Terre, no 38 (automne
2001), p. 137-166.
« Nationalisme, catholicisme
et séparatisme dans l'entre-deux-guerres », dans
Michel SARRA-BOURNET et Jocelyn SAINT-PIERRE, dir.
Les nationalismes au Québec du XIXe au
XXIe siècles, Québec, Presses de
l'Université Laval, 2001.
« Remarques sur le crédit
social », dans Gilles Gagné, dir.
L’antilibéralisme au Québec (Les séminaires
Fernand-Dumont), Québec, Nota Bene, 2003, p. 33-39.
« Télévision et éducation »,
Le Sel de la Terre, no 51 (hiver
2004-2005), p. 128-134.
« Au cœur de la Révolution
tranquille, la réforme scolaire au Québec
(1960-1970), Le Sel de la Terre, no
72 (printemps 2010), p. 169-194.
« Le Frère André de Montréal,
apôtre de saint Joseph et thaumaturge (1845-1937) »,
Le Sel de la Terre, no 76
(printemps 2011), p. 56-69.
« Histoire de la survivance
canadienne-française », Civitas, no
34 (décembre 2009), p. 47-51.
« Lionel Groulx (1878-1967) et
le combat identitaire canadien-français »,
Civitas, no 38 (janvier 2011), p.
61-65.
«Entrevue : La pensée
politique de l’abbé Groulx », Présent
(France), 6 février 2016, p. 6-7.
Articles numériques
Que penser de Pierre Karl
Péladeau? (17 février 2015) :
http://www.tradition-quebec.ca/2015/02/que-penser-de-pierre-karl-peladeau.html
Le chanoine Lionel Groulx et
le combat identitaire canadien-français » (23 mars
2015) :
http://www.tradition-quebec.ca/2015/03/le-chanoine-lionel-groulx-et-le-combat.html
Donald Trump vu de droite (15
novembre 2016) :
http://www.tradition-quebec.ca/2016/11/donald-trump-vu-de-droite.html
Un regard critique sur Paul
Gérin-Lajoie (3 juillet 2018) :
https://www.cqv.qc.ca/l_historien_jean_claude_dupuis_un_regard_critique_sur_paul_gerin_lajoie
Pour qui voter lors de cette
élection? (21 septembre 2018) :
https://www.cqv.qc.ca/les_chroniques_de_jean_claude_dupuis
Chroniques hebdomadaires sur
le site de Campagne Québec-Vie (2018-2019) :
https://www.cqv.qc.ca/les_chroniques_de_jean_claude_dupuis
Les Patriotes de 1837 et le
nationalisme canadien-français (11 avril 2015) :
http://www.lebonnetdespatriotes.net/lbdp/index.php/component/k2/item/2231-les-patriotes-de-1837-et-le-nationalisme-canadien-français-entretien-avec-jean-claude-dupuis
https://www.youtube.com/watch?v=hBm-pEzgUhs&feature=youtu.be
La Révolution tranquille et la
destruction de la société canadienne-française (15
mai 2015) :
http://www.tradition-quebec.ca/search/label/Conf%C3%A9rences
https://www.youtube.com/watch?v=ri7lSsxary8
Qu’est-ce qu’un Canadien
français? (21 novembre 2015) :
http://www.tradition-quebec.ca/2015/12/video-conference-de-jean-claude-dupuis.html
https://www.youtube.com/watch?v=JVJoTMY7rnU
Le Christ-Roi dans l’histoire du Québec (5 septembre
2015) :
https://www.youtube.com/watch?v=j8fbfBSF36M
Libéralisme et antichristianisme (5 septembre
2015) :
https://www.youtube.com/watch?v=D0078yzsoAs
Dollard des Ormeaux (23 mai 2016) :
https://www.youtube.com/watch?v=jtKDz_Fg7RE
Charles Maurras : Nationalisme et monarchie (18 juin
2016) :
https://www.youtube.com/watch?v=N4OQvJ_uPCU
Entrevue sur Duplessis avec
Louis Champagne, CKAJ Saguenay (23 août
2016) :
https://www.youtube.com/watch?v=Js7Jz9y-xYQ
Maurice Duplessis : grande noirceur ou âge d’or du
Québec ? (29 août 2016) :
https://www.youtube.com/watch?v=AcSx3f_OxFQ
Duplessis : grande noirceur ou
âge d’or du Québec? (1er décembre 2016) :
https://www.youtube.com/watch?v=0r3Ya6Cvp9g&feature=youtu.be
L’épopée de Ville-Marie (8 octobre 2016) :
https://www.youtube.com/watch?v=cMEl-0NLV10
Présentation du livre
numérique : Au temps de Jeune Nation (2 mars
2017):
https://www.youtube.com/watch?v=bc7vy9AVmrA
Histoire du Canada français,
10 conférences audio (1997-1998) :
https://www.youtube.com/watch?v=5UffbGO1mLI&spfreload=5
Histoire du Canada français :
les temps héroïques 1534-1663 :
https://www.youtube.com/watch?v=UoW03fRqOhU
Histoire du Canada français :
la colonie royale 1663-1760 :
https://www.youtube.com/watch?v=XeUEUsmzJMQ
La Réforme Parent, 1963-1968
(11 mai 2017) :
https://www.youtube.com/watch?v=sGt3yOLGJbs&t=1910s
Louis de Buade comte de
Frontenac (22 mai 2017) :
https://www.youtube.com/watch?v=PJ8-8L6Pxhg
Le Code Québec (7 septembre
2017) :
https://www.youtube.com/watch?v=bhcytbuxcWg
Pie X, un grand et saint pape
(9 septembre 2017) :
https://www.youtube.com/watch?v=aqWZv16f0W8&t=1035s
La légende noire du
clérico-natalisme (4 novembre 2017) :
https://www.youtube.com/watch?v=qP1e0B8eOCo
Le marquis de Montcalm et la
bataille des plaines d’Abraham, 1759 (21 mai 2018) :
https://www.youtube.com/watch?v=QcyG9lO0obg&feature=youtu.be
Le syndicalisme québécois :
table ronde avec Éric Duhaime (22 mars 2018) :
https://www.youtube.com/watch?v=EhDFWi9Y8lo&t=162s
DVD
des Journées québécoises du Christ-Roi (FSSPX)
en vente aux Éditions Nova Francia :
- Le Christ-Roi dans
l’histoire du Québec (septembre 2015).
- Libéralisme et
Antichristianisme (septembre 2015).
- L’épopée de Ville-Marie
(octobre 2016).
- Le cardinal Paul-Émile Léger
(octobre 2016).
- Le pape Saint Pie X
(septembre 2017).
- L’Église et l’Économie
(septembre 2018).
- La Grève d’Asbestos
(septembre 2018).
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le mythe de la Révolution tranquille,
recueil d'essais,
Jean-Claude Dupuis, Ph.D., Fondation littéraire Fleur de Lys.
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