Maison d'édition et librairie québécoises en ligne sur Internet

avec impression papier et numérique à la demande.

Accueil

Librairie

Maison d'édition

Nous

Contact

Recherche

Les romans de Jean-Guy Chouinard

Cliquer sur les couvertures pour découvrir chacun des livres de cet auteur

 

 

C'est la faute au méthanier, roman de science-fiction,

Jean-Guy Chouinard

Roman de science-fiction, Fondation littéraire Fleur de Lys, Lévis, Québec, 2010, 150 pages.
ISBN 978-2-89612-342-1

 

Couvertures

Présentation

Extrait

Suivi médias et Internet

Au sujet de l'auteur

Du même auteur

Communiquer avec l'auteur

Exemplaire numérique gratuit

 Partager sur Facebook

 

 

COUVERTURES

 

C'est la faute au méthanier, roman de science-fiction,

Jean-Guy Chouinard, Fondation littéraire Fleur de Lys

[ Présentation ]

[ Retour au menu ]

 

PRÉSENTATION

 

C'est la faute au méthanier, roman de science-fiction,

Jean-Guy Chouinard, Fondation littéraire Fleur de Lys

 

Ce livre de science-fiction raconte les suites d’une collision provoquée entre un pétrolier et un méthanier au-dessus d’un endroit du fleuve Saint-Laurent appelée «fosse Logan», laquelle a recueilli des milliers d’obus et autres engins militaires, contaminant ainsi son fond marin. Peut-être y trouve-t-on aussi, on ne le saura jamais, une bombe atomique des années 50 non amorcée…

 

 

[ Lire un extrait ]

[ Retour au menu ]

 

 

EXTRAIT
 

C'est la faute au méthanier, roman de science-fiction,

Jean-Guy Chouinard, Fondation littéraire Fleur de Lys

 

Premières pages du chapitre 1

 

le méthanier Roussof vient tout juste d’entrer dans les eaux territoriales canadiennes et c’est pourquoi son commandant, Alexandre Koussalev, se rapporte verbalement à la Garde côtière canadienne pour confirmer son passage dans la voie maritime du Saint-Laurent jusqu’à Lévis (Québec), endroit où il doit livrer son chargement de gaz liquide.

 

– Le Roussof appelle la Garde côtière canadienne.

 

C’est le commandant de la corvette Iroquois de la marine canadienne qui reçoit la communication, et après s’être assuré de la position du navire russe en vérifiant sur son écran radar, celui-ci s’empresse de faire rédiger le message suivant à son port d’attache de Saint-Jean de Terre-Neuve ainsi que l’oblige le règlement :

 

– Ici le commandant J. P. Legros de la corvette Iroquois. Ce message s’adresse à tous les bâtiments se trouvant présentement en eaux territoriales pour l’Est du Canada : prière de noter que le méthanier Roussof est présentement en direction de Lévis pour y transborder son chargement de gaz liquide. Il vient tout juste d’entrer dans nos eaux territoriales et sa position est à 48 degrés de latitude sud par 50 degrés de longitude nord. Vitesse approximative du navire, 18 nœuds.

 

En provenance de Mourmansk, port nordique de la Russie, le navire d’à peine dix ans d’âge est chargé de plus de 290 000 litres de gaz liquéfié et, malgré le fait que nous sommes en mars, la triple coque du navire lui permet de remonter le fleuve glacé sans danger pour sa cargaison. Propulsé par deux puissants moteurs diesel, il peut facilement atteindre la vitesse de 20 nœuds malgré ses 300 mètres de longueur et son tirant d’eau de plus de 12 mètres.

Par mesure supplémentaire de sécurité, le commandant ordonne à son préposé aux communications de confirmer, par télex, son arrivée prochaine à son armateur russe ainsi qu’à son représentant à Québec, la firme Serex. Une copie additionnelle devra être expédiée au bureau de la Garde côtière de Saint-Jean, Terre-Neuve. 

 

En ce 7 mars 2011, il est 14 heures lorsque le brise-glace Jacques-Cartier de la marine canadienne reçoit la communication de l’Iroquois alors qu’il est à dégager la voie maritime à l’ouest de l’île d’Anticosti. L’hiver 2010-2011 fut particulièrement froid et à plusieurs reprises, en janvier et février, le fleuve Saint-Laurent fut complètement recouvert d’une épaisse couche de glace. Ses moteurs ouverts au maximum, le brise-glace réussit quand même à se frayer un chemin malgré cette glace de plus de trois mètres d’épaisseur.

 

Au bureau de la Garde côtière canadienne de Québec, responsable du trafic maritime pour le fleuve et le golfe du Saint-Laurent, l’arrivée prochaine du méthanier nécessite plusieurs mesures spéciales de sécurité.

 

Une de celles-ci consiste à s’assurer qu’aucun navire ne rejoigne ou ne croise ce bateau russe pendant sa remontée du fleuve afin d’éviter d’éventuelles collisions. Après avoir fait le relevé des navires naviguant dans le golfe et sur le fleuve, il est en mesure d’imprimer que :

 

Seulement deux navires se trouvent présentement dans le golfe en direction de Saint-Romuald : le Créole, enregistré aux Bermudes, et l’autre de Rimouski, le King Whale, enregistré aux Bahamas mais appartenant à des intérêts canadiens. Il s’agit de deux pétroliers conçus pour naviguer dans les glaces. Celui en direction de Saint-Romuald est chargé de pétrole lourd (fuel) devant être traité à la raffinerie de cet endroit. L’autre est chargé d’essence pour les automobiles, en provenance de la raffinerie de la Nouvelle-Écosse pour fournir ses concessionnaires de Rimouski et de Chicoutimi.

 

D’après les évaluations de la Garde côtière, il est estimé que le pétrolier en direction de Saint-Romuald devrait précéder le méthanier de dix bonnes heures pour atteindre son point de livraison alors que ses cales sont remplies de plus de 200 000 barils de brut.

 

En ce qui a trait au pétrolier King Whale, il est déjà dans le golfe à la hauteur de Gaspé, et c’est pour lui que le brise-glace s’acharne à casser un pont de glace à l’ouest de l’île d’Anticosti avant de le précéder au port de Rimouski pour ensuite en faire autant sur la rivière Saguenay en direction de Chicoutimi.

 

Par télex, le préposé de la Garde côtière de Québec s’assure que tous ces navires sont bel et bien informés de l’arrivée du méthanier dans le golfe et en même temps, il informe Pointe-Noire que deux pilotes devront être disponibles pour monter à bord du méthanier et diriger celui-ci jusqu’à Lévis.

 

Il transmet ensuite à tout ce beau monde les prévisions météorologiques pour les quatre prochains jours :

 

– Les températures varieront de -25o à -35oC provoquant, à certains endroits où le fleuve est à eau vive, une évaporation se cristallisant à faible latitude et causant une faible neige, rendant ainsi la visibilité réduite à moins de 100 mètres. Une dépression en provenance des États-Unis et des Grands Lacs devrait apporter un réchauffement des températures au cours des journées suivantes, le tout causant par le fait même de fortes chutes de neige et des vents de plus de 80 kilomètres/heure en direction est.

 

Dès la réception du message du bureau chef de la Garde côtière, le responsable de Pointe-Noire informe les trois pilotes disponibles de se préparer; un devra diriger le pétrolier Créole jusqu’à Saint-Romuald alors que les deux autres devront servir d’escorte et de guide pour le méthanier. En ce qui a trait au pétrolier King Whale, il n’est pas nécessaire de lui fournir un pilote, car le capitaine de ce navire connaît par cœur le chenal du Saint-Laurent et il est accrédité pour se rendre, sans pilote, à Rimouski et à Chicoutimi.

 

Tout semble vouloir bien se dérouler même si de sévères règlements ont été imposés aux compagnies exportatrices de gaz liquide. Deux ports sont accrédités au Québec depuis 2008, soit Gros Cacouna et Lévis. Par mesure de sécurité, tout méthanier pénétrant en eaux territoriales canadiennes doit en informer immédiatement la Garde côtière canadienne et maintenir une communication constante, à toutes les demi-heures, avec un navire appartenant au gouvernement du Canada.

 

De plus le méthanier, dans le but d’éviter toute attaque terroriste, doit avoir à son bord au moins quatre personnes fortement armées, de façon à pouvoir repousser par les armes toute tentative de prise de possession du navire. Finalement, aucun navire de commerce ou autres, incluant les navires de la Garde côtière et de la marine, ne devra en aucun temps se trouver à moins de 5 kilomètres des méthaniers lorsque ceux-ci sont sous charge.

 

Le commandant du Jacques-Cartier connaît très bien ces règlements et c’est pourquoi il communique immédiatement avec le Créole pour l’informer qu’il a de la difficulté à briser le pont de glace à l’ouest de l’île d’Anticosti, ce qui le retardera de plusieurs heures par rapport à l’horaire prévu.

 

Tout de même, il ne voit pas la nécessité de communiquer avec le King Whale étant donné que celui-ci se trouve à environ 20 milles nautiques de Rimouski et que sans doute il bénéficie d’un passage d’eau libre, car il n’a pas demandé son assistance pour entrer à ce port et livrer son essence automobile.

 

Le King Whale est un petit pétrolier pouvant contenir environ un million de gallons de liquide. Tantôt il transporte du diesel ou du gaz léger, mais toujours des produits raffinés. Tous les mois, il fait la navette entre la raffinerie de la compagnie située en Nouvelle-Écosse et les ports de Rimouski, de Chicoutimi, de Québec et de Montréal. En période de grands froids, il se limite tout de même à livrer ses chargements à Rimouski et à Chicoutimi.

 

Sorti des chantiers maritimes de Singapour il y a plus de 12 ans, il est retourné à ce chantier maritime, il y a bientôt une année, pour faire renforcer sa coque afin de pouvoir naviguer sur le fleuve Saint-Laurent en période hivernale. Comme il arbore le pavillon de complaisance des Bahamas afin d’éviter de voir la compagnie verser des impôts au Canada, son équipage est bien entendu composé à 90 % de matelots en provenance de l’Afrique de l’Est et de l’Extrême-Orient. Le commandant Ken Black est canadien et natif de la Nouvelle-Écosse de même que son assistant et ses trois officiers de pont. Le reste de l’équipage est composé d’un cuisinier et de son assistant en provenance de l’Inde, de deux préposés à la radio en provenance de Singapour, d’un chef mécanicien canadien assisté de quatre Turcs. Quatre hommes de pont de descendance asiatique complètent l’effectif régulier de ce navire, soit 18 personnes en tout et partout.

 

Pour sa part, le pétrolier Créole est commandé par un Suédois et son assistant de même que par trois officiers de pont allemands. Le reste de l’équipage provient de l’Amérique centrale. Ce navire fut construit il y a plus de 20 ans en France et sa coque, bien que renforcée, doit nécessairement faire appel à un brise-glace lorsqu’il doit naviguer en hiver sur le fleuve Saint-Laurent.

 

Connaissant les faiblesses du Créole, le commandant du Jacques-Cartier lui demande s’il ne serait pas plus sage de sa part de demeurer en attente au large des îles Saint-Pierre-et-Miquelon pendant qu’il s’acharnera à casser le pont de glace pour laisser passer, de façon prioritaire, le méthanier. Comme il y a toujours une vive concurrence entre les commandants de navire, la réponse du Créole est négative et il informe le Jacques-Cartier qu’il a bel et bien l’intention de continuer sa route vers l’amont du fleuve et que c’est le méthanier qui devra attendre plutôt que lui.

 

Le King Whale a entendu les propos échangés entre le brise-glace et le Créole et il se fait un point d’honneur de communiquer avec le Jacques-Cartier pour l’informer qu’il n’arrive pas à entrer à Rimouski et que le brise-glace est demandé en assistance prioritaire. Pour sa part, le méthanier, étant encore trop loin, n’a pas entendu les dernières conversations radio.

 

Après avoir informé le King Whale qu’il devra attendre au large de Rimouski, le temps qu’il démolisse l’embâcle de l’île d’Anticosti, le Jacques-Cartier lance à fond ses moteurs et après trois heures de virage en rond, il réussit tant bien que mal à ouvrir un chenal dans l’amoncellement de glaces. Mais quelle n’est pas sa surprise quand son radar lui indique que le King Whale n’est plus en attente à Rimouski mais qu’il se dirige présentement vers le fiord du Saguenay.

 

Une courte conversation radio avec le pétrolier l’informe que celui-ci se dirige maintenant vers Chicoutimi, car il semblerait qu’à cet endroit le quai est à l’eau libre et qu’il pourra y laisser une partie de son chargement avant de revenir livrer le reste à Rimouski.

 

N’ayant plus à se préoccuper du King Whale, le Jacques-Cartier se contente maintenant d’ouvrir un passage au Créole qui est présentement à moins de 20 milles nautiques de lui. Bien que les brouillards de neige l’empêchent de l’apercevoir, le radar lui transmet fidèlement la position du tanker en direction de Lévis. Précédant ainsi le pétrolier, il lui ouvre difficilement la route à suivre jusqu’à Pointe-Noire afin de voir le pilote de la voie maritime monter à son bord.

 

Malheureusement, il est impossible pour le pilote de monter à bord du pétrolier, car la navette est prise dans les glaces au quai. Cet état de choses oblige le brise-glace ainsi que le pétrolier à se mettre à l’ancre dans l’attente de vent pouvant dégager le quai ou d’une accalmie de la température permettant à l’hélicoptère du brise-glace de téléporter le pilote du quai jusqu’au pétrolier.

 

Pendant ce temps, le Roussof contourne l’île de Terre-Neuve du côté Est et fait son entrée dans le golfe Saint-Laurent en naviguant de façon à passer à plus de 50 milles marins de l’archipel des îles Saint-Pierre-et-Miquelon. Maintenant toujours sa vitesse à 18 nœuds car les eaux sont libres de glace, le commandant se félicite d’être en avance de 24 heures sur l’horaire prévu.

 

Pendant que le Jacques-Cartier et le Créole sont toujours à l’ancre en face de Pointe-Noire en attente de changements de température, le King Whale, pour sa part, traverse assez facilement le fleuve pour s’engager dans le fjord du Saguenay en direction de Chicoutimi. Malheureusement pour lui, à 5 milles marins de l’embouchure de cette grande rivière, il rencontre des amas de glace qui, même si on pousse les moteurs au maximum, l’obligent à reculer pour tenter à trois reprises de briser cet embâcle.

 

Finalement le commandant du King Whale doit se rendre à l’évidence : il ne pourra réussir à se rendre à Chicoutimi sans l’assistance d’un brise-glace. Il ordonne donc à regret de jeter l’ancre pour ensuite communiquer avec la Garde côtière de Québec afin de recevoir l’assistance d’un brise-glace. La réponse qu’il reçoit le déçoit grandement; on l’informe que le Ministère ne dispose que d’un brise-glace pouvant lui venir en aide, soit le Jacques-Cartier, et il doit présentement escorter le pétrolier Créole. De plus, les deux navires sont eux aussi à l’ancre à Pointe-Noire dans l’attente d’un changement de température.
 

 

Obtenir un exemplaire

 

 

[ Suivi médias et Internet ]

[ Retour au menu ]

 

 

SUIVI MÉDIAS ET INTERNET

 

C'est la faute au méthanier, roman de science-fiction,

Jean-Guy Chouinard, Fondation littéraire Fleur de Lys

 

Cliquez sur les logotypes des médias et/ou site Internet ci-dessous

 

 

 

[ Au sujet de l'auteur ]

[ Retour au menu ]

 

 

AU SUJET DE L'AUTEUR - BIOGRAPHIE
 

Jean-Guy Chouinard

 

Jean-Guy Chouinard a fait carrière à la Sûreté du Québec, principalement au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie où, durant 27 ans, il a occupé successivement les postes de patrouilleur, enquêteur, inspecteur d’explosifs, technicien en explosifs, responsable des services technique, commandant de l’unité d’urgence et responsable de la gestion financière et matériel pour le district du Bas-Saint-Laurent à Rimouski.

 

 

[ Du même auteur ]

[ Retour au menu ]

 

 

DU MÊME AUTEUR - BIBLIOGRAPHIE

 

Jean-Guy Chouinard

 

C'est la faute au méthanier


JEAN-GUY CHOUINARD


Roman de science-fiction
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Laval, Québec, Canada,
30 avril 2010, 150 pages.
ISBN 978-2-89612-342-1


http://manuscritdepot.com/a.jean-guy-chouinard.1.htm 

La coulée des miracles


JEAN-GUY CHOUINARD


Une parodie de l’Église catholique,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, Canada,
8 septembre 2010, 356 pages.
ISBN 978-2-89612-348-3


http://manuscritdepot.com/a.jean-guy-chouinard.2.htm 

L'aire du dragon

(Le mascaret)

 

JEAN-GUY CHOUINARD


Roman de science-fiction,

Fondation littéraire Fleur de Lys,

Lévis, Québec, Canada,

Lévis, Québec, 2011, 494 pages.
ISBN 978-2-89612-342-1


http://manuscritdepot.com/a.jean-guy-chouinard.3.htm

 

[ Communiquer avec l'auteur ]

[ Retour au menu ]

 

 

COMMUNIQUER AVEC L'AUTEUR

 

Jean-Guy Chouinard

 

Jean-Guy Chouinard se fera un plaisir de lire
et de répondre personnellement à vos courriels.

Adresse de correspondance électronique : jeanguychouinard@globetrotter.net

 

 

[ Obtenir un exemplaire ]

[ Retour au menu ]

 

 

EXEMPLAIRE NUMÉRIQUE GRATUIT

 

Ce livre est uniquement disponible en format numérique (fichier PDF)

 

C'est la faute au méthanier, roman de science-fiction,

Jean-Guy Chouinard, Fondation littéraire Fleur de Lys

 

NOTE TRÈS IMPORTANTE : Il est strictement interdit d'offrir ce livre en téléchargement sur un autre site. Prière d'utiliser un lien vers cette page web.

 

 

Pour télécharger votre exemplaire numérique gratuit,

cliquez sur l'un des deux logos ci dessous.

 


 

Besoin d'aide ?

 

Courriel : contact@manuscritdepot.com   

 

Téléphone (Lévis, Québec) : 581-988-7146

 

 

[ Exemplaire numérique ]

[ Retour au menu ]

 

Fondation littéraire Fleur de Lys, 31, rue St-Joseph, Lévis, Québec, Canada. G6V 1A8

Téléphone : 581-988-7146 (interurbain gratuit pour les abonnés au service téléphonique Vidéotron)

 

Le présent site est géré par la Fondation littéraire Fleur de Lys inc.
 

La Fondation littéraire Fleur de Lys décline toute responsabilité quant au contenu

des autres sites auxquels elle pourrait se référer.