|
|
COUVERTURES
Corona, ma mère, roman,
Jeanne Jutras
Fondation
littéraire Fleur de Lys |
|
|
|
PRÉSENTATION
Corona, ma mère, roman,
Jeanne Jutras
Fondation
littéraire Fleur de Lys
D’abord exclusivement privés
et thérapeutiques, mes écrits se mouillèrent souvent
de larmes : je guérissais de mon père en ravivant
des souvenirs douloureux. Puis, inconsciemment , je
me mis à nourrir l'idée de changer le destin de
maman par le biais d'un roman.
L’héroïne de ce roman vivote sur une terre de
colonisation, en Abitibi, au début des années
quarante. Sur une période de deux ans, une tranche
de la vie colorée de Corona dévoile toutes les
nuances de son faisceau de sentiments
contradictoires à l’âme du lecteur. Voilà d’abord un
plongeon dans l’histoire de la colonisation où on
est catapulté dès la mise en situation. Une étrange
visite bouscule soudain la vie de cette jeune femme
battue par son mari. La connivence de Corona avec ce
bon vieux temps que l’on dit paisible l’entraîne
dans un long suspense aux répercussions imprévues.
Les cinquante-cinq courts scénarios de ce roman
conjuguent les aventures de Corona et de ses proches
à tous les temps dont les deux principaux
s’interpénètrent : le présent et l’imparfait de sa
vie.
Ma propre mère se prénommait Corona et a
effectivement habité Évain, en Abitibi, de 1944 à
1950. Par le truchement de ce roman, je la
ressuscite et l’incite à se soustraire, grâce à la
magie des mots, à la dure réalité que fut sa vie.
Jeanne Jutras
|
|
TABLE DES MATIÈRES
Corona, ma mère, roman,
Jeanne Jutras
Fondation
littéraire Fleur de Lys
PREMIÈRE PARTIE
LE PRÉSENT QUOTIDIEN |
9 |
Chapitre 1 ─ Une femme en pays de
colonisation |
11 |
Chapitre 2 ─ Le Gagne-pain |
19 |
Chapitre 3 ─ La solitude |
25 |
Chapitre 4 ─ Une étrange visite |
29 |
Chapitre 5 ─ Madame Brûlé |
35 |
Chapitre 6 ─ L’hiver abitibien |
41 |
Chapitre 7 ─ Des hommes dans sa vie |
47 |
Chapitre 8 ─ Le sapin |
55 |
Chapitre 9 ─ Philippe |
61 |
Chapitre 10 ─ La source |
69 |
Chapitre 11 ─ L’injustice |
75 |
Chapitre 12 ─ L’accident |
83 |
Chapitre 13 ─ Les blessures |
91 |
Chapitre 14 ─ Blanche |
95 |
Chapitre 15 ─ L’intimité |
105 |
Chapitre 16 ─ La soupape |
113 |
Chapitre 17 ─ Le hasard |
117 |
Chapitre 18 ─ Un autre départ |
121 |
Chapitre 19 ─ Le rêve |
123 |
Chapitre 20 ─ Lettre à Laurette |
131 |
Chapitre 21 ─ L’homme à gages |
135 |
Chapitre 22 ─ Un autre homme |
143 |
Chapitre 23 ─ Au secours ! |
149 |
Chapitre 24 ─ Flagrant délit |
155 |
Chapitre 25 ─ La chute de Corona |
161 |
Chapitre 26 ─ De la grande visite |
173 |
Chapitre 27 ─ Le cauchemar de
Blanche |
179 |
Chapitre 28 ─ Un bouton de rose |
191 |
Chapitre 29 ─ Le doute |
195 |
Chapitre 30 ─ Un intrus |
199 |
Chapitre 31 ─ La promesse |
207 |
Chapitre 32 ─ Plaisirs ludiques |
217 |
DEUXIÈME PARTIE
L’IMPARFAIT S’INSTALLE |
225 |
Chapitre 33 ─ Le voile déchiré |
227 |
Chapitre 34 ─ Les patates |
231 |
Chapitre 35 ─ Sauvée par ses muses |
239 |
Chapitre 36 ─ On fait boucherie |
245 |
Chapitre 37 ─ Noël de bénédictions |
251 |
Chapitre 38 ─ Le plus qu’imparfait |
255 |
Chapitre 39 ─ Espoir |
261 |
Chapitre 40 ─ Vengeance |
265 |
Chapitre 41 ─ Odeur des événements |
271 |
Chapitre 42 ─ Au loup ! |
279 |
Chapitre 43 ─ Imprévu |
289 |
Chapitre 44 ─ La confirmation |
299 |
Chapitre 45 ─ Feux d’abattis |
309 |
Chapitre 46 ─ Le trop-plein du cœur |
315 |
Chapitre 47 ─ L’impensable |
323 |
Chapitre 48 ─ Fin d’année scolaire |
331 |
Chapitre 49 ─ Toute une nouvelle |
337 |
Chapitre 50 ─ Confidences |
341 |
Chapitre 51 ─ Du monde charitable |
347 |
Chapitre 52 ─ Revirement de
situation |
353 |
Chapitre 53 ─ La fatalité bifurque |
361 |
Chapitre 54 ─ Face à face |
369 |
ÉPILOGUE |
381 |
* * *
|
Au
sujet de l’auteure |
389 |
Communiquer avec l’auteure |
393 |
|
|
EXTRAIT
Corona, ma mère, roman,
Jeanne Jutras
Fondation
littéraire Fleur de Lys
PREMIÈRE PARTIE - LE PRÉSENT QUOTIDIEN
Chapitre 1 (intégral)
Une femme en pays de colonisation
Voici l’Abitibi des années 40 : terre de défrichage, terre d’accueil des
pauvres, terre de prédilection des familles nombreuses, terre des déserteurs
de la conscription, explosif mélange de fol espoir et de misère noire. Les
lointains échos de la Seconde Guerre mondiale qui ravage l’Europe
parviennent en sourdine au pays par l’unique biais de la radio que les
familles écoutent religieusement le soir, après les durs labeurs. On est à
la ration, côté vivres, mais, un peu partout entre les colons et les
marchands, le troc s’exerce au noir, adoucissant les effets néfastes de la
guerre.
Au pied d’une colline jaunie par l’automne se dresse une minuscule maison de
colon. À perte de vue, le ciel déroule sa limpidité bleue, car aucun
obstacle ne vient obstruer la visibilité des nuages étalés en strates
régulières aujourd’hui. L’électricité avec son polluant cortège de poteaux
entortillés de fils n’a pas encore pénétré dans la campagne d’Évain sise à
quelques milles de la ville de ROUYN. La pureté de l’air est toute relative
cependant, compte tenu du fait que, certains jours, le vent apporte de
fortes odeurs de souffre de la mine NORANDA et cela, depuis plus de dix ans.
Ces émanations laissent dans la gorge un goût âcre, révélateur du risque
qu’on prend à les respirer. Inconscients du danger, les habitants détournent
le visage, souhaitant que le vent vire de bord. Ici, on ne parle de
pollution que dans les rares dictionnaires réservés aux mieux nantis du
village : le curé et les religieuses. La route qui mène aux rangs six et
sept sera bientôt fermée par la neige durant quelque six mois. Mais, pour
l’instant, engageons-nous sur un chemin étroit clairsemé de cailloux et
envahi ici et là par les pousses robustes du plantain, de la camomille et de
nombreuses herbes sauvages. Des vaches lourdes ruminent paisiblement à
l’ombre d’une vieille grange qui s’allonge à droite de la maison. La
chaumière s’élève étroite, pointue, fière sous ses bardeaux noircis par le
temps. Dans le but de conserver la chaleur, lors de la rude saison, on a
soigneusement recouvert de terre le solage de bois. Ce renchaussement, comme
on le nomme, est soutenu par des planches de croûte; il forme un amas
insolite où croissent librement des touffes de foin qui mûrissent au soleil.
Sans même l’intermédiaire d’une galerie, on accède directement aux planches
rudimentaires qui tiennent lieu de pas de porte.
Une délicieuse odeur de soupe aux pois parfume l’air en s’échappant par la
fenêtre ouverte en avant de la maison. Soudain, des voix d’enfants fusent
dans une agréable cacophonie. Quatre bambins blonds : trois fillettes et un
garçonnet font cercle autour de quatre bols de granit bleu foncé déposés
sans cérémonie sur une vieille table sombre. En concert, ils piochent
allègrement sous cette table défraîchie. L’aîné, Cyrille, a huit ans
aujourd’hui. Comme le dit un vieux refrain du terroir, ici, les enfants
poussent comme des champignons et ce n’est donc pas coutume de célébrer les
anniversaires… Les enfants se chamaillent pour deviner lequel d’entre eux
sera servi le premier. Du fond de la cuisine, Corona, la mère, intervient de
sa voix lasse :
– La simple logique veut que je commence toujours par la plus jeune. Vous le
savez, voyons ! Maman vous l’a souvent expliqué, bonyenne ! Taisez-vous !
Ils se calment un peu, mais Cyrille, l’aîné, rouspète tout de même derrière
son coude replié sur la bouche pour assourdir le son. Sa sœur cadette le
rappelle à l’ordre d’un retentissant :
– Chut !
Il obtempère au désir de Jeanne en baissant les bras. Quatre paires d’yeux
ronds se lèvent vers le gros chaudron en fonte noire rempli de la soupe
bouillante que Corona apporte avec précaution. Durant un bref silence, les
enfants joignent les mains en attendant presque religieusement la pitance
que leur mère partage toujours dans un grand souci d’équité.
L’air avenant, imposante tant par son langage châtié que par sa haute
taille, la grande Corona est plantée sur ses longues jambes déjà striées de
varices. Son ventre porte encore un léger gonflement de sa grossesse du
printemps dernier dont le fruit masculin dort à poings fermés dans la
chambre parentale. Pas le temps de s’appartenir pour Corona : ses deux
derniers sont nés à un peu plus de dix mois d’intervalle ! Malgré tout, ses
yeux sombres et perçants pétillent de malice. Ce matin, elle a attaché en
chignon ses cheveux noirs qui portent la vague trace d’une lointaine
permanente. Une petite robe de coton noir fait ressortir son teint pâle. On
doit reconnaître que Corona est racée et que son port altier lui confère une
beauté très spéciale. Elle fait bien quarante-cinq ans cependant, mais, peu
lui importe ! À moins de s’arrêter pour y réfléchir, elle ne sait plus très
bien si elle a eu trente-cinq, trente-six ou, peut-être, trente-sept ans, en
septembre. Par contre, ce qu’elle sait avec une certitude angoissante, c’est
qu’elle est toujours en âge de procréer. Cette réalité l’obsède. La pauvre
femme se demande avec désarroi comment faire cesser le cycle infernal de ses
grossesses sans entrer en conflit avec les règles contraignantes de la
religion catholique. Il n’y a pas si longtemps, elle en discutait avec son
confesseur qui lui rappela les engagements pris lors de son mariage :
– Vous appartenez corps et âme à votre mari à qui vous avez promis
obéissance et soumission. L’œuvre de chair doit s’accomplir dans le seul but
de procréer.
– Mais, M. le Curé, il me semble plus péché de mettre des enfants au monde
dans la misère noire que d’empêcher la famille…
– Taisez-vous, malheureuse ! Vous blasphémez ! Réjouissez-vous et acceptez
d’être cocréatrice avec Dieu. Quelle grande tâche ! Et quelle récompense
vous recevrez là-haut ! … Dans le cas contraire, si vous profitez du plaisir
de la chair sans en assumer les responsabilités, vous brûlerez dans les
éternelles flammes, Corona ! Ne refusez jamais de faire votre devoir envers
votre mari. Évitez le plus possible le plaisir malsain de la chair quand
vous répondez au désir bien naturel de votre époux. La volonté de Dieu
s’accomplira… Les voies de Dieu sont impénétrables aux pauvres humains, vous
savez… Repentez-vous, maintenant, de tous vos péchés accusés. Pour votre
pénitence, vous réciterez un chapelet, ma fille.
Mais Corona n’avait pas écouté jusqu’à la fin. Elle avait baissé la tête,
récité son acte de contrition et fléchi le genou droit avant de quitter
l’église en vitesse car elle suffoquait ! C’en était trop : ma fille ! Elle
avait bien entendu : ma fille ! Elle ne se sentait pas du tout d’affinité
filiale avec cet homme glacial. Malgré les menaces du prêtre, elle allait
faire à sa tête, selon sa propre conscience. La femme, blessée dans sa
fierté, voyait comme de l’ingérence l’intrusion d’un autre homme dans sa vie
intime, cet homme fut-il même le curé de la paroisse !
– Maman, on aimerait ça aller jouer dehors : veux-tu ? supplie la petite
Pauline en tirant sur le bas de la robe de sa mère, ce qui ramène aussitôt
Corona à la réalité de l’instant.
– Oui, oui ! Profitez de la tiédeur de l’automne; ça sent si bon dehors ces
jours-ci !
Elle accompagne leurs cris joyeux d’un grand geste de soulagement. Enfin !
Elle pourra se reposer en dînant, pourvu que son bébé, le petit Michel, lui
laisse quelques minutes de répit. Sa grosse théière bosselée l’interpelle
sur le réchaud du poêle à bois :
– M’arrêter un peu, juste un peu…
Nonobstant son rêve de repos bien légitime, Corona est brutalement
interrompue par l’intrusion de Colette, la cadette de ses filles, qui entre
en pleurant, faisant sursauter le bébé. Le temps de changer de couche les
deux petits derniers, d’embrasser le gros bobo de Colette, d’avaler en
vitesse quelques bouchées et… que le thé attende ! Soudain, Corona vacille…
Une nausée sournoise accompagne cet étourdissement inopportun.
– Ah, non ! Bonyenne !… pas encore tombée enceinte ?
Une vague d’inquiétude la submerge subitement. Des grosses larmes roulent
sur sa joue et s’écrasent sans bruit sur son vieux soulier brun tout élargi.
Corona touche délicatement son ventre qui n’a pourtant pas grossi.
– Mon Dieu, faites que ce ne soit pas vrai !
L’expression désespérée tomber enceinte ne traduit que l’une des multiples
facettes de l’ampleur du drame sous-jacent que vit présentement la pauvre
Corona.
Obtenir un
exemplaire
|
|
AU SUJET DE L'AUTEURE
Jeanne
Jutras
Jeanne
Jutras fut enfant de l’Abitibi mais elle habite la
région de Saint-Jérôme depuis plus de 30 ans.
Romancière, elle s’adonne aussi à la poésie avec
grand bonheur. Madame Jutras est retraitée de
l’enseignement au secondaire où, à Amos, elle a
exploité la poésie de Félix Leclerc, celle de Gilles
Vigneault et celle de Jacques Michel, entre autres,
en initiation poétique avec ses élèves. Elle a aussi
enseigné au secondaire à Saint-Jérôme, durant
plusieurs années.
Membre de l’Association des auteurs des Laurentides,
elle a publié deux romans : Corona, ma mère (2010),
Lucie l’enfant étrange (2013) et un recueil de
poésie : La Quintessence de ma vie (2011), à La
Fondation littéraire Fleur de Lys de Lévis, Québec
Madame Jutras fut coordonnatrice pour Poésie
Académie qui offre encore avec grand succès un micro
ouvert aux poètes adolescents et adultes de la
région, à Saint-Jérôme, depuis le 19 mars 2013.
« Ma poésie s’avère réponse à un élan naturel du
cœur jumelé à un jaillissement imprévisible de
l’âme. Chaque prise de conscience de la beauté et de
la bonté du monde me procure un état de gratitude
sans borne à l’égard du Grand Programmeur de la vie
», avoue madame Jutras.
|
|
De la même auteure
 |
La quintessence de ma vie
Poésie
Jeanne Jutras
Poésie,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2011, 172 pages.
ISBN 978-2-89612-374-2
Couverture souple couleur
Format 6 X 9 pouces
Reliure allemande
Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible
Exemplaire numérique (PDF): 7.00$ canadiens
Cliquez ici pour en savoir plus |
 |
Lucie, l'enfant étrange
Roman fantastique
Jeanne Jutras
Roman fantastique
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2012, 232 pages.
ISBN 978-2-89612-428-2
Couverture souple couleur
Format 6 X 9 pouces
Reliure allemande
Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible
Exemplaire numérique (PDF): 7.00$ canadiens
Cliquez ici pour en savoir plus |
 |
Corona, ma mère
Roman
Jeanne Jutras
Roman,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2010, 408 pages.
ISBN 978-2-89612-353-7
Couverture souple couleur
Format 6 X 9 pouces
Reliure allemande
Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible
Exemplaire numérique (PDF): 7.00$ canadiens
Cliquez ici pour en savoir plus |
 |
Corona au Lac Castagnier
Roman
Jeanne Jutras
Roman
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2020, 382 pages.
ISBN 978-2-89612-584-5
Couverture souple couleur
Format 6 X 9 pouces
Reliure allemande
Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible
Exemplaire numérique (PDF): 7.00$ canadiens
Cliquez ici pour en
savoir plus |
|
|
COMMUNIQUER AVEC L'AUTEURE
Jeanne Jutras
Jeanne Jutras se fera un plaisir de lire
et
de répondre personnellement à vos courriels.
Adresse de correspondance électronique :
jeannejutras@hotmail.com
|
|
OBTENIR UN EXEMPLAIRE NUMÉRIQUE OU PAPIER
Corona, ma mère, roman,
Jeanne Jutras
Fondation
littéraire Fleur de Lys
Faites un don à la Fondation littéraire Fleur de Lys
pour obtenir votre Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible
ou numérique du livre annoncé sur cette page.
NOTRE MISSION - On trouve plusieurs éditeurs
libraires en ligne sur Internet. Leur mission est strictement
commerciale et vise à enrichir leurs actionnaires. Il s'agit
d'entreprises « à but lucratif ». Ce n'est pas notre cas. Notre maison
d'édition en ligne est la première au sein de francophonie qui soit
« à
but non lucratif », c'est-à-dire administrée par des bénévoles
qui
tirent aucun profit financier personnel de leur travail. Autrement
dit,
nous ne sommes pas là pour nous enrichir personnellement. Toutes les
recettes en sus de nos dépenses sont réinvesties dans nos activités.
Et
chacune de nos activités doit s'inscrire dans notre mission purement
humanitaire et socioculturelle.
Lire la suite |
Faites votre choix :
Versement de
votre don en ligne avec le service PayPal (carte de
crédit)
Versement de votre
don par la poste (chèque ou mandat poste en dollars
canadiens)
Besoin d'aide ?
Courriel :
contact@manuscritdepot.com
Téléphone (Lévis, Québec) : 581-988-7146
Carte de crédit ou transfert bancaire avec Internet
Versement de votre don en ligne avec le
service PayPal |
Exemplaire papier |
Exemplaire numérique |
Résidents du
Canada
24.95$ CAD
Tout inclus
Livraison : 21 jours ouvrables
|
Résidents
ailleurs dans le monde
Écrivez à l'adresse suivante car des frais de
postes s'appliquent.
renee-fournier@bell.net |
Résidents du
partout dans le monde
7.00$ CAD
Tout inclus
Livraison : 72 heures
|
Commande postale |
1 |
2 |
3 |
Indiquez sur un papier
Le titre du livre
et le nom de l'auteur
Votre nom
(prénom et nom de famille)
Votre adresse postale complète
Votre adresse électronique
Votre numéro de téléphone
|
Complétez votre chèque payable à l'ordre
de
Fondation littéraire
Fleur de Lys inc. |
Précisez le montant
sur le chèque
Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible
Canada
24.95$ canadiens
Tout inclus
Livraison : 21 jours ouvrables
Ailleurs dans le monde
Écrivez à l'adresse suivante pour connaître le montant du
don demandé car des frais de poste s'appliquent :
renee-fournier@manuscritdepot.com
Exemplaire numérique
Partout dans le monde
7.00$ canadiens
Tout inclus
Livraison : 72 heures
|
4 |
Adressez-le tout à
Fondation littéraire Fleur de Lys
31, rue St-Joseph,
Lévis, Québec,
Canada.
G6V 1A8 |
|
|
Fondation littéraire Fleur de Lys, 31, rue St-Joseph,
Lévis, Québec, Canada. G6V 1A8
Téléphone : 581-988-7146
Courriel :
contact@manuscritdepot.com
Le présent site est géré par la Fondation littéraire Fleur de
Lys inc.
La Fondation littéraire Fleur de Lys décline toute
responsabilité quant au contenu
des autres sites auxquels elle pourrait se référer.
|
|
|
|