L'UNIVERS FANTASTIQUE DE
LAURENT BOISCLAIR |
LA SAGA DE L'ÉVEIL
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COUVERTURES
LA SAGA DE L'ÉVEIL - Tome 5 - Transition - La
Chronique de Mathieu de Maluin,
roman fantastique,
Laurent Boisclair, Fondation littéraire Fleur de Lys
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PRÉSENTATION
LA SAGA DE L'ÉVEIL - Tome 5 - Transition - La
Chronique de Mathieu de Maluin,
roman fantastique,
Laurent Boisclair, Fondation littéraire Fleur de Lys
Dans un monde soumis par le destin
et déchiré par les conflits
les sauveurs peuvent être
des destructeurs
La Trève Vigilante
La guerre entre le Royaume d’Estalie et le Saint
Empire de Neathar connaît une accalmie, chacun des
opposants reprenant des forces et pansant ses plaies
quand les combats reprendront de plus belle.
Né d’une famille noble, Mathieu de Maluin est un
scribe sans avenir, jusqu’au jour où il a la
possibilité de se bâtir une meilleure vie; devenir
un membre de la cour royale du roi Gavin Estal. Une
offre qu’il ne peut pas refuser.
Ainsi commence un épisode tumultueux dans la vie du
moine qui parcourra d’une extrémité à l’autre le
Vieux Monde, faisant la rencontre de peuples
différents avec leurs propres coutumes et croyances.
Sans le vouloir, il se devra aussi d’accompagner
dans leurs aventures des hommes et survivre aux
dangers qui sont tapis aux quatre coins d’Aeria.
Grands ou petits sur cette terre, ces mêmes hommes
auront marqué à leur façon l’époque dans laquelle
ils vivaient et Mathieu plus qu’il ne l’aurait
souhaité.
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EXTRAIT
LA SAGA DE L'ÉVEIL - Tome 5 - Transition - La
Chronique de Mathieu de Maluin,
roman fantastique,
Laurent Boisclair, Fondation littéraire Fleur de Lys
Prologue
(Tiré des Mémoires de Mathieu de Maluin)
Estalie
La lumière dorée de ce matin scintillait par-dessus les créneaux et les
toitures qui dépassaient de la hauteur des puissantes murailles protégeant
la cité. J’avais l’impression que La Lumière voulait souligner devant mes
yeux l’aveuglement des neathariens à vouloir impérativement détruire cette
cité et à mâter tout son peuple comme à l’époque de l’occupation impériale.
En fait, c’était un avertissement bien avant que la colère divine ne finisse
par prendre une forme matérielle pour s’abattre sur ces prétendus
unificateurs du monde, en juste châtiment pour leur orgueil exorbitant.
Hélas, lors de cette première fois, quand je posai mes yeux sur la capitale
du royaume estalien, ce n’était pas ainsi que je la perçus fugacement dans
mes pensées. Du moins, malgré le fait que j’étais un loyal serviteur de
l’Église de la Lumière, et par conséquent un supporteur du Saint Empire de
Neathar, le bras armé de ma religion, je fus légèrement ému à regarder cette
cité à partir de la proue du navire qui m’y amenait après un long voyage.
Je me souviens encore du navire marchand pénétrant dans l’embouchure du
port. Plus bas, dans un canot, des marins y avaient installé mes maigres
bagages avant de me faire franchir la dernière étape pour que je puisse
poser mes pieds sur la souillure du sol dallé de la capitale estalienne.
Ne le prenez pas mal, mes chers lecteurs, car il faut comprendre qu’à
l’époque, je croyais indubitablement que le Saint Empire de Neathar était
béni par notre Église, et à travers ces représentants de ma religion par la
Lumière même. Je ne doutais pas une seconde du bien-fondé de la cause
impériale à extirper la dissension dans le cœur des Hommes et ainsi mettre
fin à des siècles de guerres inutiles.
Moi, Mathieu de Maluin, un roturier venu des lointaines terres massiniennes,
habillé avec mon pauvre froc de moine et pourvu d’un doctorat en Histoires
des Temps Anciens (car j’avais fréquenté l’université de Gilbanor), je me
prenais à l’époque pour un grand missionnaire en arrivant sur la terre de
ces habitants que je jugeais déjà incultes et arriérés.
Tremblez, vipères rebelles ! Car vous serez tous illuminées par l’éclat du
savoir que je possède ! Le prophète que je suis vous montrera de nouveau le
chemin du salut éternel !
Aujourd’hui, après tant d’années passées, alors que je n’avais que vingt
années sur mes épaules à cette époque, je ne peux que sourire à propos du
pauvre moine ignorant que j’étais.
Jeune sot ! J’étais sur le point d’entrer dans un monde dont je n’avais
jamais imaginé l’étendue. J’allais parcourir un royaume rempli de
personnages illustres, mystérieux, nobles, cruels et parfois perfides.
J’étais perché sur un précipice où j’allais tomber dans une vie remplie
d’aventures, de misères, de menaces et de catastrophes. Elle contenait la
promesse d’une vie agitée, d’une lutte bouleversée par les passions, les
envies, les intrigues et les haines.
Une vie dans laquelle je n’allais être qu’un chroniqueur, un simple témoin,
qu’on envoyait ici et là selon l’humeur de mes mécènes du moment.
Croyez-moi, j’étais bien incapable sur cette embarcation de pressentir ce
qui m’attendrait à ce jour, mais je me souviens bien de l’esprit qui
m’habitait quand j’ai posé le pied dans la cité des Estaliens au petit
matin.
Mais voilà que je m’égare dans mon récit. Cela m’arrive souvent.
J’étais venu au monde loin de là, en un lieu assurément bien différent qu’en
Estalie. La famille des barons de Balduir, heureuse que son héritier
agrandisse les possessions familiales dans leur contrée, décida que le
benjamin d’une famille paysanne, un garçon doué d’intelligence plus que
prometteuse, irait étudier en intendance afin de servir le prochain seigneur
de leurs terres. C’est sur ma famille que le hasard tomba et l’assentiment
du paternel ne se fit pas attendre.
Malheureusement pour moi, je n’étais que le cadet de cette fortunée famille.
Cet honneur fut attribué à mon deuxième frère. Quant à moi, lié par les
chaînes de l’obligation familiale à me subvenir, je fus conduit par mon père
au monastère du clergé le plus proche.
C’était à quelques lieux de Maluin, et mon paternel ne prenait pas en compte
de la dangereuse proximité du monastère à cette cité, une demeure connue
pour les pirates maures y faisant escale ainsi que le point de départ de
plusieurs pillages numiens dans notre pays. Si ma mère en versa des larmes,
c’était bien parce qu’elle craignait que son jeune fils ne la déçoive dans
ses ambitions; compter un prêtre célèbre dans sa progéniture. Je crois même
que mes parents auraient préféré avoir parmi les leurs un missionnaire
recevant son martyr par les couteaux des infidèles !
Au cours des années qui suivirent, je parvins à supporter ce noviciat sans
trop de dommages pour mon corps. À peine devenu un scribe dans le clergé de
la Sainte Lumière, je n’eus point de mal à convaincre mon supérieur de me
trouver une place à l’université de Gilbanor, la merveille de Massina. Mon
père, rempli d’orgueil à cette nouvelle, fit engager mon frère ainé dans une
guerre sous les drapeaux de notre jeune seigneur afin de payer mes coûteux
frais d’étude avec les fruits du pillage.
Pendant que mon père étalait ainsi la piété familiale en envoyant un de ses
fils combattre un émir voisin, ma mère nourrit en son cœur l’égoïste espoir
d’assister un jour à une sorte de canonisation de son dernier enfant. Elle
accepta alors de desserrer la bourse familiale pour mes études.
Je comptais à peine seize années quand on m’expédia à Gilbanor. Douce
Lumière, quelle ville immense, et comme la vie y était chère ! Vivre de
l’aumône était une idée humiliante à mes yeux, mais l’argent familiale
fondit aussi vite que la neige au soleil. Par conséquent, j’appris à
supporter la compagnie de ceux qui entretenaient ma maigre carcasse. À
l’époque, je préférais croire qu’il s’agissait tout simplement d’un échange
de faveurs entre des partenaires consentants.
Dans une certaine mesure, je pus me soustraire à l’étude théologique en
prenant comme matière la langue numienne. Ainsi, je me préparais au cas
regrettable où un de mes supérieurs aurait un jour l’idée de m’envoyer dans
les déserts de Massina ou de Numidie.
Il fallait comprendre que ma mère ne s’abandonnerait jamais à la fatigue
pour la réussite de son ambition. Et je pensais qu’il me fallait au moins
savoir comment supplier les infidèles à me donner une gourde d’eau, à défaut
de pouvoir les convaincre de m’accorder la vie sauve, sinon d’embrasser
notre chère foi.
Ma vie prédestinée par ma famille aurait été bien brève, mais il se trouva
alors qu’au cours de mes dix-neuf printemps, Massina connut de grands
bouleversements.
De nos jours, lorsque les gens de ma patrie pensent au roi estalien, ils ne
voient plus qu’un empereur des hommes, ses terres et son palais. Ou bien ils
se représentent un glorieux chef de guerre aux innombrables victoires. Les
générations futures percevront, sans doute pour l’éternité, Sa Majesté Gavin
Estal comme le roi invincible qui tint tout l’Occident dans sa main ferme et
assurée pour nous protéger de la folie destructrice des impérialistes.
Par la Sainte Lumière, j’affirme déjà que mes contemporains le considèrent
tous comme un être divin, surgi parmi nous de la poussière. À mon vieil âge,
presque plus personne en Occident n’évoque le fait qu’il est bien venu au
monde, et qu’il a eu une enfance dans sa vie. C’est à peine s’ils le voient
comme un homme, et les ménestrels n’évoquent pas davantage la période datant
avant son règne.
À l’époque de mes dix-neuf ans, ce roi venait de terminer une des nombreuses
guerres qu’il avait menées contre le Saint Empire de Neathar. Le roi Gavin
avait vaincu l’Archiduc de Tyrios en combat singulier, unissant pour de bon
tous les gens ayant une descendance estalienne à la bannière du dragon blanc
sous un couvert vert de la dynastie des Estals.
Au cours de cet hiver passé à Massina, il se mit en quête d’un éducateur
pour lui enseigner les bases de la langue mauresque. Malgré mes doutes
initiaux à servir un renégat doublé d’un païen, j’ai voulu croire alors que
ce roi étranger désirait vraiment pouvoir être en bonne relation avec ses
voisins. Les rumeurs qu’il appuyait un émir modéré afin de régner sur
Gilbanor, ainsi qu’en faire un sultan de toutes les terres de Massina, se
répandaient comme une traînée de poudre.
Dans ma situation d’homme du clergé avec du pragmatisme pour m’assurer une
existence douce, à l’abri des ambitions familiales, ce fut un rôle qui me
convenait à merveille. Sur le plan politique, je ne voyais pas si loin et je
ne désirais pas assumer une charge en dehors de mon rôle d’enseignant. Ma
seule hésitation à me proposer pour cette charge fut qu’on n’osait pas faire
venir à la cour estalienne le vénérable maître auprès de qui j’avais appris
mon dialecte linguistique. Je ne doute pas que des agents du roi
l’approchèrent, mais sûrement l’âge avancé de mon professeur l’empêchait de
quitter son lieu de repos pour parcourir les routes.
Bref, dans la foule de prétendants, on m’avait choisi avec la conviction que
je possédais un amour particulier pour les langues, mais il n’en était rien
dans les faits.
À la cour du roi estalien, il me fut possible d’établir un horaire régulier
pour les classes et le souverain (de quelques années mon aîné) m’accorda
régulièrement une audience pour lui conter des histoires originaires de mon
pays natal.
Je passai sous silence la vérité, qui était que je n’étais qu’un simple
bachelier des langues et un scribe ordinaire avant cela. Par contre, j’avais
la chance de venir d’une famille au service des barons de Balduir et j’ai pu
satisfaire la curiosité du roi à mon sujet en racontant la longue histoire
de mon auguste famille, les défenseurs de notre chère foi contre la marée
d’infidèles qui nous entouraient.
Le roi accorda du respect pour ma famille à défendre nos terres, mais il
n’octroya aucune louange pour la ferveur de mes parents et de mes ancêtres.
Pour ma part, j’admets avec le temps que c’était en fait un sentiment mutuel
et nous étions tous deux forts heureux de cette situation.
Ce seigneur et très bienveillant souverain dut avoir une vision de l’avenir,
ou bien ce furent ses conseillers qui le harcelèrent semaine après semaine,
car il se décida un jour à enfin briser une épine récemment plantée dans le
flanc méridional de son royaume, qui était encore une fois tourmenté et
torturé par les envahisseurs du Nord et de l’Orient.
J’ignore chez quel courtisan j’ai pu faire germer de la contrariété ou de
l’envie, mais quelqu’un poussa le roi à insister pour que, par un jour
funeste, je m’éveille béni d’une grande bonté royale : pour honorer ma
famille, on m’accorda le privilège de m’associer à une entreprise contre des
barbares avec la charge de chapelain militaire pour un seigneur de province
qui, selon les rumeurs, ne désirait nullement s’encombrer d’un aumônier.
À la cour du roi, on fit diligence pour qu’on me remette sans tarder ma
lettre de nomination, afin que je me mette en route sans plus tarder.
Prévoyant un séjour monotone en rase campagne, j’emportai avec moi quelques
livres, espérant que personne ne regretterait trop leur absence dans la
bibliothèque royale. Ces manuscrits m’aideraient à combattre la probable
routine d’un campement militaire en province. Avec mes maigres possessions,
j’entrepris sans enthousiasme le voyage qui devait me mener dans les
sauvages Hautes-Terres.
Me retrouvant plongé dans le tourbillon du conflit estalo-neatharien,
j’allais sous peu me retrouver prisonnier dans les fils des Tisseuses du
Destin. Elles allaient m’entraîner avec une force vive pour me jeter dans un
monde dont je n’avais jamais imaginé l’existence. J’étais devenu de nouveau
un pion insignifiant, mais cette fois sur le gigantesque échiquier des
grands de ce monde.
Au début, je confesse avoir servi Sa Majesté Gavin Estal avec une fidélité
sans partage. Il était un bon roi; si j’avais failli à son endroit, j’en
aurais conçu toute la honte dont j’aurais été encore capable. Mais à mesure
qu’il s’éloigna de mes yeux, s’éteignit aussi en moi la candeur du
chroniqueur massinien. Il ne fut pas long pour que des forces nettement
supérieures me jettent hors du damier primitif des rois de ce monde et me
poussent jusqu’aux confins de l’univers.
Sachez-le. Tout au long de ma vie, j’ai vu et connu la vaillance des
Nordiques, ainsi que la fidélité sans réserve des nains liés à un serment.
J’ai trouvé des amis parmi les elfes sylvains et j’ai pu contempler la
terrifiante efficacité des insulaires Balgradains. J’ai souffert des effets
du poison, de la trahison et de la torture mortelle tandis que j’ai su ce
que sont amour et sacrifice. Néanmoins, aucun destin que j’ai croisé ne m’a
davantage ému que celui de trois simples paysans, ceux que j’appelle les «
Trois Grands Hommes » et les « Patriotes d’Estalie ».
Après la rencontre distincte avec chacun d’eux, je me suis tenu à être
fidèle à leurs mémoires, car j’ai fini par les voir comme des membres de ma
famille. Ils étaient des personnages de légende, porteurs d’espérance contre
des puissances impitoyables, et j’eus l’honneur distinct de pouvoir marcher
parmi ces géants. La fin ne serait-ce que l’un d’eux aurait anéanti un rêve
commun de paix et de bonheur pour le monde entier.
Quant à moi, je vous rappelle que je n’étais qu’un pion sans importance, à
qui l’on a permis de survivre. Eux, ils étaient sacrifiables depuis le début
de la partie.
C’est de ces trois hommes dont je veux vous parler.
Mathieu de Maluin
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AU SUJET DE L'AUTEUR - BIOGRAPHIE
Laurent Boisclair
Né
en 1983 à Montréal, Laurent Boisclair possède maints
passe-temps tels le dessin, la lecture et
l’écriture, ce dernier commencé à quinze ans et
qu’il continue de faire encore aujourd’hui.
À la suite de maintes études, il s’engagea dans les
Forces Canadiennes en 2005. Il accomplira son
entraînement de base, puis sa formation de sapeur de
combat. Ce métier consiste en autres à bâtir des
fortifications, des voix d’accès et de détruire
celles de l’ennemi à l’aide d’explosifs ou de tous
autres moyens. Il sera affecté par la suite au 5e
Régiment du Génie de Combat, basé à Valcartier.
À peine sa formation terminée en 2006, il sera
assigné au 53e Escadron de Génie Léger dépêché en
Afghanistan après un an d’entraînement intensif. Il
participa à l’Opération Athéna en Afghanistan durant
la FOI 3-07 en 2007-2008. Il reçut la Pièce offerte
par le Commandant de la Force Opérationnelle pour
ses actions sur le terrain, notamment pour
l’identification de sept engins explosifs
improvisés. Il participa de nouveau à l’Opération
Athéna en Afghanistan avec le 52e Escadron de Génie
de Combat durant la FOI 3-10 en 2010-11, clôturant
la mission de combat canadienne dans ce pays.
Il est actuellement basé à Valcartier.
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DU MÊME AUTEUR - BIBLIOGRAPHIE
Laurent Boisclair
LA
SAGA DE L'ÉVEIL |
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LA
SAGA DE L'ÉVEIL
Tome I -
La
rébellion
LAURENT BOISCLAIR
Roman fantastique,
Fondation littéraire Fleur
de Lys,
Laval, Québec, 2009, 302
pages.
ISBN 978-2-89612-274-5
http://manuscritdepot.com/a.laurent-boisclair.1.htm |
 |
LA
SAGA DE L'ÉVEIL
Tome 2 -
La
restauration
LAURENT BOISCLAIR
Roman fantastique,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Laval, Québec, 2010, 338 pages.
ISBN 978-2-89612-332-2
http://manuscritdepot.com/a.laurent-boisclair.2.htm
|
 |
LA
SAGA DE L'ÉVEIL
Tome 3 - Vers la liberté
LAURENT BOISCLAIR
Roman fantastique,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2011, 306 pages.
ISBN 978-2-89612-371-1
http://manuscritdepot.com/a.laurent-boisclair.3.htm |
 |
LA
SAGA DE L'ÉVEIL
Tome 4 -
LHéritage
des anciens
LAURENT BOISCLAIR
Roman fantastique,
Fondation littéraire Fleur
de Lys,
Laval, Québec, 2012, 538
pages.
ISBN 978-2-89612-423-7
http://manuscritdepot.com/a.laurent-boisclair.4.htm |
 |
LA
SAGA DE L'ÉVEIL
Tome 5 - Transition - La Chronique de Mathieu de
Maluin
LAURENT BOISCLAIR
Roman fantastique,
Fondation littéraire Fleur
de Lys,
Laval, Québec, 2015, 554
pages.
ISBN 978-2-89612-492-3
http://manuscritdepot.com/a.laurent-boisclair.5.htm
|
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COMMUNIQUER AVEC L'AUTEUR
Laurent Boisclair
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