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L’Épopée des Contrées Ancestrales
Les Bâtons de Pouvoir, Fantasy, Martin Bettez
 

Fondation littéraire Fleur de Lys, Lévis, Québec, 2011, 366 pages.
ISBN 978-2-89612-393-3

 

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Martin Bettez

Montréal, Québec

 

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L’Épopée des Contrées Ancestrales - Les Bâtons de Pouvoir,

Fantasy, Martin Bettez, Fondation littéraire Fleur de Lys

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PRÉSENTATION

 

L’Épopée des Contrées Ancestrales - Les Bâtons de Pouvoir,

Fantasy, Martin Bettez, Fondation littéraire Fleur de Lys

 

Les royaumes des Contrées Ancestrales vivent en paix depuis des siècles, isolés des autres mondes par d’importants obstacles géographiques : les glaciers au nord, le désert à l’ouest, la mer à l’est et d’imposantes montagnes au sud. Mais cette quiétude sera bientôt perturbée : des forces maléfiques chercheront à s’emparer des Bâtons de Pouvoir conservés dans chacun des quatre royaumes composant les Contrées Ancestrales.

Aiden et Kieran, les princes héritiers du royaume de Terre, joueront chacun à leur façon un rôle prédominant dans l’issue de cet affrontement. Sauront-ils guider les troupes jusqu’à la victoire? La destinée de tout un peuple en dépend.
 

 

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EXTRAIT
 

L’Épopée des Contrées Ancestrales - Les Bâtons de Pouvoir,

Fantasy, Martin Bettez, Fondation littéraire Fleur de Lys

 

Chapitre 1 - L'insulte

(texte intégral)

 

 

Aiden se sentait faiblir… Il savait qu’il ne tien­drait plus très longtemps. Et pourtant, il ne pouvait choisir un plus mauvais moment pour laisser tomber sa protection magique. L’écran d’invisibilité qui le proté­geait commencerait à faiblir bientôt; ce n’était plus qu’une question de quelques minutes avant que sa pré­sence ne soit révélée à son poursuivant. Ce dernier, tous sens aux aguets, réussissait à garder la trace de sa proie; Aiden savait trop bien que les pouvoirs du poursuivant égalaient au moins les pouvoirs du poursuivi… Pour espérer s’échapper et mettre un terme à l’exercice, il devait penser rapidement à une façon plus tradition­nelle de se soustraire à celui qui le pourchassait. Au début de l’adolescence, ne maîtrisant toujours pas parfaitement les stratégies de combat, il ne pouvait se permettre d’af­fronter en face-à-face l’homme qui le traquait.

 

Manquant de temps pour élaborer un plan de fuite efficace, Aiden s’en remit à ce qu’il faisait de mieux : il décida de grimper à l’arbre le plus près. Cette stratégie pouvait fonctionner, mais elle comportait au moins deux faiblesses. Tout d’abord, il fallait faire vite; très vite. Mais surtout, il fallait agir silencieusement. Le moindre bruit allait fournir au traqueur des indices qu’il ne manquerait pas d’exploiter afin de localiser encore plus précisément la position du jeune garçon. Tout en maintenant tant bien que mal son écran d’invisibilité, Aiden agrippa doucement la branche la plus basse d’un grand érable rouge. Solide, touffu et de grande taille, cet arbre constituerait un refuge adéquat… si l’ascen­sion se déroulait comme prévue. Le garçon banda alors ses muscles dans ce qui allait s’avérer la phase cruciale de cette chasse qui durait depuis plusieurs minutes déjà : les dernières énergies d’Aiden allaient être dévolues à la réalisation simultanée de deux tâches fort exigeantes. D’une part, il devait conserver son attention au maintien de son écran d’invisibilité, ce qui, dans des conditions beaucoup plus aisées, constituerait déjà une réalisation fort louable pour un adolescent de son âge. Mais en plus, il devait parvenir à se hisser aux branches d’un arbre, lequel constituait son dernier espoir.

 

Aiden prit une profonde inspiration, puis entre­prit de se hisser sur la première branche. En temps normal, il grimperait tout au haut de l’arbre en un tour­nemain, même s’il revêtait sa cuirasse et qu’il portait son épée à la ceinture. Mais à ce moment-ci, trop de facteurs entraient en ligne de compte pour tenter une ascension rapide de l’arbre : l’épuisement, d’abord et avant tout, mais aussi la nécessité de minimiser le bruit des vêtements frottant sur le grand érable comptaient parmi les raisons qui militaient pour une progression soignée de cet abri de fortune. Dès que ses pieds eurent quitté le sol, le jeune homme savait que la partie était perdue : ses muscles répondaient lentement et son pouls s’accélérait jusqu’à vouloir faire exploser sa poitrine. Et pourtant, il fallait tout tenter, ou la chasse allait bientôt prendre fin… Faisant fi de la douleur causée par les toxines qui s’accumulaient dans son corps, Aiden mit encore plus d’énergie dans la réalisation de sa tâche. Lorsqu’il parvint enfin au niveau de la fameuse pre­mière branche, il la saisit sans attendre avec ses jambes et s’étendit à l’horizontale sur elle.

 

Aiden savait que la jouissance qui le gagnait, issue du contentement profond de ne plus sentir ses muscles souffrir, n’était qu’une illusion. En fait, la réa­lité était plutôt que le prédateur avait profité de cet épisode pour se rapprocher encore plus inexorablement. Mais il y avait un petit quelque chose de fort attrayant dans la perspective d’oublier la précarité de la situation dans laquelle il se trouvait, pour relâcher sa vigilance et sombrer dans une transe réparatrice qui lui ferait le plus grand bien… Des images de plage, de chaleur et de sable brûlant envahissaient son cerveau; ces images enivrantes, si elles devaient continuer de s’imposer trop fortement, risquaient de s’enraciner et de causer sa perte…

 

Des bruits de pas rapprochés le tirèrent alors de ses rêveries. Doucement, il tourna la tête vers la droite et revit celui qui le pourchassait. Celui-ci s’arrêta tout près de l’arbre auquel Aiden était juché. Lentement, avec une grande patience, le chasseur scrutait les envi­rons à la recherche d’un indice : des feuilles piétinées ou un simple bruit insolite lui seraient assurément suffisants pour poursuivre ses recherches. Il inspira lentement et ferma les yeux; différentes images se formaient dans son esprit – la plupart représentaient des animaux de la forêt qui devaient passer par là régulière­ment – mais aucun signe de sa proie. Ou bien celle-ci n’était jamais passée ici, ce qui n’était guère plausible, ou bien elle se dissimulait dans les alentours, ce qui allait certes représenter un défi passionnant… Il fouilla donc les environs immédiats, mais sans succès. « Il a poursuivi son chemin sans laisser d’indice : ni traces physiques, ni traces d’énergie laissées derrière lui… » pensa-t-il, tout juste avant de poursuivre son parcours vers l’ouest.

 

Aiden réussit à conserver son écran magique encore quelques secondes, mais l’épuisement finit par prendre le dessus. Ne pouvant plus se nourrir de la vitalité de son auteur, la protection disparut subitement. Aiden sentit une grande énergie le quitter et ses yeux se brouillèrent rapidement. Il ne pouvait plus maintenir l’équilibre précaire qui lui permettait de demeurer suspendu à l’endroit où il se trouvait. Le jeune homme tomba de quelques mètres seulement, mais il ne sentit jamais le sol : le sommeil qui le gagnait le plongea rapidement dans l’inconscience et le choc qu’il subit en heurtant le sol ne fut pas suffisant pour le réveiller…

 

 

* * *


 

– Aiden! Tu te sens bien?

 

L’adolescent sentit de l’eau fraîche couler sur son front. Tranquillement, il laissait derrière lui d’épais nuages opaques pour reprendre contact avec la réalité. Il ne réussissait pas à évaluer le laps de temps écoulé depuis sa chute. Devait-il estimer cette période en se­condes, en minutes ou même en heures? De toute façon, cette précision l’importait peu. Les muscles endoloris, la mémoire chancelante et les habiletés cognitives enrhumées, il avait d’autres priorités à assumer. Il se sentait tellement mal qu’il n’osait pas même tenter de se lever. Il ouvrit les yeux, mais la lumière – dont il était bien incapable d’identifier la source pour l’ins­tant – était trop intense. Il les referma sans attendre.

 

– Aiden, tu es vivant? Je t’ai vu cligner des yeux… Dis-moi que tout va bien!

 

Le jeune homme se surprit lui-même à sourire. Il n’avait pas la force de se lever, ni même de garder les yeux ouverts, mais pourtant, il avait eu le réflexe de sourire. Il faut dire que la remarque de son interlocuteur ne manquait pas d’ironie. « Dis-moi que tout va bien… » songea-t-il… « Et si je te dis oui, on fait quoi? On reprend la poursuite? Ça va tellement bien, que je ne suis même pas capable de te le dire! » Aiden prit encore quelques secondes pour reprendre ses esprits, puis parvint à ouvrir les yeux et à s’asseoir. Il reconnut son frère aîné, Kieran, le visage inquiet.
 

– Cette fois, tu as bien failli m’échapper! Je te poursuivais depuis plus d’une heure lorsque j’ai perdu ta trace ici même, au pied de cet érable. Puis, quelques secondes après m’être redirigé vers l’ouest, j’ai ressenti une vive sensation de détresse m’envahir… Je savais que quelque chose t’arrivait. Par chance, j’ai aussi entendu le bruit sourd qui a accompagné ta chute, et j’ai su que je n’avais qu’à revenir sur mes pas quelque peu pour te retrouver. »

 

Les souvenirs revenaient rapidement à Aiden. Tout de suite après le déjeuner, Kieran avait invité son frère cadet à exercer ses pouvoirs magiques. « Prends quelques secondes d’avance, et je tenterai de te re­trouver. » Aiden n’était pas aussi travaillant que son frère, mais il adorait jouer à la cachette dans les bois. C’était pour lui une façon intéressante de mettre en pratique les pouvoirs qui lui avaient été octroyés. Après plusieurs minutes à s’échapper, sentant que son frère réduisait l’écart qui les séparait, il dut recourir à un écran d’invisibilité pour tenter de se soustraire à la vigilance de Kieran. Il savait que ce stratagème con­sommerait une grande énergie en peu de temps, mais il ne pouvait espérer que son frère, plus expérimenté et possédant un flair incomparable, ne perde sa trace autrement. L’écran ne pouvant être maintenu éternel­lement, il avait en désespoir de cause opté pour un refuge en hauteur, duquel il devait finalement tomber quelques instants plus tard.

 

– Tu t’améliores, continua Kieran. Mais de toute évidence, tes réserves d’énergie ne te permettront jamais de pouvoir te mesurer à moi! Fais attention à la façon dont tu utilises ta force vitale : si tu avais été traqué par un ennemi réel, tu serais mort à l’heure qu’il est. »

 

Ces sermons, fréquents chez son grand frère, faisaient toujours bouillir Aiden de l’intérieur. Son frère ne pouvait-il pas se contenter de lui faire part des améliorations à apporter? Bien sûr que non! Monsieur devait terminer en précisant qu’il ne serait jamais rejoint et que Aiden serait constamment deuxième… Et pourtant, cette fois-ci, il était vraiment passé tout près de réussir à lui tenir tête…

 

– Viens vite! Nous devons retourner à la cour afin de compléter quelques exercices avant le dîner. Allons, presse-toi!

 

Kieran marchait déjà en direction du château lorsqu’Aiden, péniblement, entreprit de se relever. Une fois cet objectif atteint, il fit lentement quelques pas, avant de prendre une pause. Il s’assura que ses sens étaient fonctionnels – pas entièrement, il n’en espérait pas tant – et se dirigea vers le palais royal.

 

Il accéléra la cadence, lentement mais sûrement, jusqu’à rejoindre Kieran, qui maintenait un rythme de marche rapide. Le frère aîné ne semblait plus s’in­quiéter outre mesure de l’état de santé de son frangin. Nul doute qu’il avait eu une formidable frayeur, mais il possédait une grande faculté de détachement qui lui permettait de garder la tête froide en toute circonstance. Malheureusement, cette impassibilité ne lui donnait que rarement l’occasion de s’émouvoir. Même si Aiden tentait résolument de se convaincre que son frère avait vraiment eu peur pour lui, il savait bien qu’au fond, Kieran s’en faisait pour une autre raison : ce dernier, de par son rang dans la famille, était responsable de veiller sur son cadet. S’il était arrivé un événement regrettable, il aurait dû affronter la colère de son père. Maintenant que tout danger était écarté, pour Aiden comme pour lui, il ne craignait plus de rentrer à la maison, impatient de raconter à tout le voisinage comment il avait pu retracer la bête qu’il traquait, le tout grâce à ses pou­voirs immenses, mais aussi grâce à sa grande expé­rience et à son instinct infaillible. Car en plus d’être effectivement doué pour les arts de la guerre, Kieran adorait raconter des histoires, et particulièrement celles qui le mettaient en vedette. Il n’hésitait jamais à se montrer sous son meilleur jour, amplifiant les bons coups et minimisant les conséquences de ses – ô com­bien peu nombreuses – erreurs. Plus souvent qu’autre­ment, il lui arrivait même de rajouter un ou deux détails croustillants issus de sa vaste imagination : un jour, il s’agissait d’une paroi rocheuse escarpée qu’il avait dû gravir tout en risquant de s’écraser au fond de la vallée; à un autre moment, il avait affronté une bête tellement irréaliste, que seule la classe la moins instruite du royaume, qui composait cependant la majeure partie de la population paysanne, pouvait donner la moindre crédibilité à son récit.

 

Les deux hommes continuèrent à marcher pen­dant un moment. En silence. Kieran faisait défiler les événements du matin, tentant de comprendre comment il avait pu perdre la trace de son frère. « Il grandit vite, et ses pouvoirs aussi… Je dois absolument travailler plus fort, ou je devrai bientôt me rendre à l’évidence : ce petit va me dépasser… » pensa Kieran. Puis, il s’interrompit. Kieran, le fils aîné du monarque du royaume de Terre, voyait émerger des doutes quant à sa capacité à faire face à la montée vertigineuse des réalisations de son petit frère. Impossible. Il n’avait tout simplement pas le droit de laisser ces sentiments en­vahir ses pensées. Il risquait d’y laisser une grande part de confiance en lui. Cette confiance fragile, qui était entretenue – quelque peu artificiellement – par la recon­naissance que les paysans lui manifestaient. Pour conserver ce niveau d’estime, il devait à tout prix maintenir dans la population la perception de sa supé­riorité. Car il n’importait pas tant qu’il soit le meilleur; ce qui était par contre primordial, c’était que la majorité des habitants du royaume le perçoivent comme tel. Il n’était pas seulement membre de la noblesse; il était le fils aîné de la famille royale. Cette position enviable devait incontestablement s’accompagner d’une aura forte et d’une réputation sans tache.

 

Aiden respecta le silence de son frère. Du moins, pendant un moment. Puis, alors qu’ils appro­chaient de l’orée du bois et que les imposantes tours du château commençaient à poindre à l’horizon, il tenta une percée dans la carapace spirituelle de son compa­gnon de marche :

 

– Nous avons bien travaillé ce matin, n’est-ce pas?

 

– Ce n’était pas du travail. Une simple partie de cache-cache.

 

– Mais nous avons fait travailler notre raisonne­ment, notre capacité d’analyse et nous avons même dû recourir à nos facultés magiques. Nous avons puisé au fonds de nos ressources et nous avons repoussé encore un peu plus les limites de nos pouvoirs!

 

– Parle pour toi.

 

– Que veux-tu dire? Tu veux me faire croire que ces dernières minutes n’ont pas été exigeantes pour toi? Que ces instants, quoiqu’amusants, n’ont pas nécessité d’efforts?

 

– Disons que je suis encore capable de marcher. Moi.

 

C’en était assez. Aiden était trop fatigué pour s’aventurer dans une explication fastidieuse des raisons qui justifiaient sa définition, certes plus nuancée que celle de son interlocuteur, du travail. Il se contenta de suivre Kieran pas à pas, disposant lui-même d’une certaine dose de fierté qui l’obligeait à ne pas révéler la douleur qui continuait de la tenailler. Il n’était pas blessé gravement, mais son dos demeurait meurtri. Chaque pas le lui rappelait.

 

Aiden décida d’orienter son esprit ailleurs. Il laissa les échos de la forêt pénétrer en lui. Ceux-ci s’infiltrèrent par l’ensemble des pores de sa peau et rejoignirent prestement ses entrailles. Ces sons magi­ques – le chant des oiseaux et le vent dans les feuilles – ne faisaient pas qu’apaiser son esprit, ils réchauffaient aussi son cœur. Cette détente en nature, particulière­ment lorsqu’elle suivait un effort marqué, était ce qui lui semblait le plus près de sa perception du paradis. Le repos après le combat; le calme après la tempête… Malheureusement, ces échos enchanteurs n’allaient pas durer longtemps. En effet, les deux jeunes hommes atteignaient maintenant la vaste prairie où s’éta­blissaient les paysans et leur famille. Ça et là, de nombreuses chaumières, modestes, mais qui recelaient de trésors à découvrir. Ces hommes, qui vivaient à l’extérieur des fortifications royales, détenaient une fonction primordiale dans le maintien de l’équilibre économique et social du royaume. En effet, ce sont eux qui fournissaient les produits agricoles essentiels à la survie de la population, mais aussi à la préparation des repas gastronomiques servis au château. Ce sont eux aussi qui fournissaient la plus grande partie de la dotation royale, ces redevances périodiques que les paysans et les nobles remettaient au roi en compen­sation des services reçus, dont le moindre n’était pas la protection offerte par la garde royale.

 

Aiden et Kieran déambulèrent sans s’attarder dans les étroites rues du village et aboutirent au château quelques minutes plus tard. Puisqu’ils se trouvaient au beau milieu de l’avant-midi, et a fortiori parce qu’ils étaient en temps de paix avec les royaumes avoisinants, les deux frères ne furent aucunement surpris de constater que le pont-levis était abaissé, leur laissant tout le loisir de pénétrer sans autre formalité. Après une brève salutation aux gardes postés de chaque côté, ils firent leur entrée à l’intérieur des fortifications.

 

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AU SUJET DE L'AUTEUR - BIOGRAPHIE
 

Martin Bettez

 

Depuis son plus jeune âge, l’auteur est un passionné de lecture. Martin adorait tous les genres littéraires, mais il se passionnait tout particulièrement pour les « Livres dont vous êtes le Héros ». Chaque fois qu’il en avait l’occasion, il se rendait à la bibliothèque pour trouver une nouvelle série de ce genre bien particulier. Cette passion l’a amené au début de l’adolescence à débuter l’écriture d’un scénario de « Livre dont vous êtes le Héros » avec un ami.


La lecture est toujours demeuré au cœur des passe-temps de Martin. Parmi ses séries préférées, de grands classiques tels Harry Potter et Le Seigneur des Anneaux. Ses auteurs préférés sont Dan Brown et John Grisham.


Puis, les années ont passé et le goût pour l’écriture est revenu. Martin se plaît à dire qu’il n’a pas de mérite pour l’écriture de sa première œuvre : les idées se bousculaient tellement dans sa tête qu’il n’a eut d’autre choix que de les mettre sur papier. C’est son explication très terre-à-terre de ce qu’on appelle communément l’inspiration.


Aujourd’hui âgé de 37 ans et père de deux magnifiques jeunes filles, Martin continue d’avoir des idées pour de nouvelles aventures. Il utilise une partie de ses temps libres à jeter les bases d’un autre roman.
 

 

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