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Muse de lierre, poèmes et prose,
Michel Breuleux,
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PRÉSENTATION
Muse de lierre, poèmes et prose,
Michel Breuleux,
Fondation
littéraire Fleur de Lys
« Ma muse, dit le poète, est un lierre. Elle se
défait des muselières, fraie son chemin contre les
aspérités et défie les plus effarantes forces de la
physique. Rien ne peut l’entraver, elle qui pour
s’élancer vers le ciel enlace la pierre et perce le
roc. Petite plante acrobate, elle rampe, grimpe et
s’accroche, discrète, et là où on ne l’attendait pas
elle s’installe. Nichée sur les murs, elle les
transforme en murales. Et cela est du plus bel effet
: simple et jolie, on la voit recouvrir des villages
abandonnés, orner des maisons de pauvres ou de
riches. Et la masure s’enorgueillit de cette
présence luxuriante. Ignorée, elle est la plus
grande décoratrice de maisons tristes. Nul artiste
ne peut représenter sa persévérance, car la semence
dont elle est issue est aussi petite que le grain de
sénevé. Minuscule, elle a le destin d’une grande et
noble tapisserie de bon goût. Inspirante de sa grâce
de clématite, de sa ténacité de liane, de sa vigueur
de vigne, elle me parle à l’oreille depuis toujours,
et avec le temps je pousse et dérange avec elle pour
accomplir promesse et mission. Ce qui est petit
progresse sans qu’on s’en aperçoive. Ainsi d’elle et
de moi qui cheminons ensemble pour livrer ce
recueil. »
Muse de lierre : jamais titre n’aura si
fidèlement épousé le sens, donc, mais aussi la forme
du livre qui le porte. Ce jeu de mots de Michel
Breuleux est annonciateur de l’usage qu’il fait des
calembours dans ses pages, également fleuries
d’allégories, de métaphores, d’assonances et
d’allitérations. Précédés d’aphorismes de l’auteur
et accompagnés de ses dessins, les poèmes, signés de
la vie même avant d’être mis en recueil, ont été
répartis en sept chapitres qui auraient pu s’appeler
Entrée en matière, Poésie, Vie, Amour, Vins de
bosses et d’oubli, Sans concession et Conclusion.
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TABLE DES MATIÈRES
Muse de lierre, poèmes et prose,
Michel Breuleux,
Fondation
littéraire Fleur de Lys
DROITS D’AUTEUR
DÉDICACE
ÉPIGRAPHE
CHAPITRE I – LE LIVRE
CHAPITRE II – S’ARRIMER À LA
RIME
Tant et tant coule le ruisseau…
Mots, cortège des maux
L’orchestre
Écrire une chanson…
Fondre le verbe…
La poésie si maltraitée
L'eau, tome un
Ma poésie ressemble à un arbre
Les arbres ont une poésie
Rage d'écrire pour la paix
Que durent le sacrement et le
fumier des ressentiments
À cause des mots…
Chanter sans faire attention
Un homme assis dans une salle…
CHAPITRE III – À VIE ON PLANE, À
TERRE RIT LA VIE
Au détour des sommeils
Faudrait reprendre la vie sans
la décrire
Un jour vécu
Un enfant quelque part
La tristesse se lève tôt
Avec toutes les larmes…
Et vint le las temps
Le sombre escalier…
Comment décrire le soleil…
Je suis ce que j'essuie
Cime d'hier
Faim de la fin
Le temps que l'on souffre
Où est passée ma jeunesse?
J'étais las, et pourtant affamé
À quoi cela sert-il d'avoir
rancune
Que ma crinière blanchisse…
Les millions d'horloges
détraquées
Prairies d’autrefois, souvenirs
Chanson du temps
Gestes sur une toile
L'âme en voyage
Tunnel au bout de la nuit
Je vous le dis par ce poème
CHAPITRE IV – ICI LES CYPRÈS
Premier amour
Le coeur a ses saisons
Tu fais de beaux gâteaux Anna
belle
À ton bras
Si mon cœur
Le ciel retrouvé
L'enfer froid
Accroché à l'accroc
Si tu es la femme…
Je t'ai connue comme on oublie
En ouvrant les bras…
CHAPITRE V – INFIRME HIER,
DEBOUT AUJOURD’HUI
Où vas-tu donc vie aimante et
douce
Donnez-moi du vin
Je bois le vin
À quoi ça sert le vin
C'est pour lui le vin
Quand un homme perd un pied
L'homme touche la poche cœur
Lorsque mots abondent
Rock and Truck
Salut mon petit soleil de nuit
Dames de lits doux
Une et seule dans le train…
J'avais plafonné une soirée…
Nuit Saint-Denis
Une pauvre maison titubait
La lune
Rentrer si tard
CHAPITRE VI – L’INSULTE, L’AUTRE
Pourquoi parler de sang
N'y a-t-il de poète que la foule
Sombre héros
Quelque part il marche
Cent sans-abri silencieux…
Je ne construis rien ni ne
démolis
Fable de l'abreuvoir
Que reste-t-il de nos vingt ans…
Cherchez la vérité et voilà…
Vos propos confus furent d’une
telle confiture
D'avoir souillé son âme…
Ivre de tendresses possibles
Qu'est-ce qu'un pays?
Avoir mal
Vilaine tu n'es pas une ville
chantée
Je te hais confort
Hères nobles, nobles humbles
Terre, il n'y a de cieux
cléments…
À ton avis il est mort?
La peste silencieuse et tenace…
Des quatre coins du monde
sphérique
La ferme de métal au loin
s'étale
Être avec le plus fort
aujourd'hui
Il en est qui entretiennent la
misère
Là où est ton cœur sera ta
maison
Je me suis assis devant le
tabouret
La sottise sautille
Le tous frères et en prison
J'aime quelquefois
l'indifférence
Que les témoignages prissent de
l'âge
Écrire les accords d'une
nouvelle guerre
Méchants, vous êtes devenus mes
champs
CHAPITRE VII – NOUS SOMMES DE
BOUE
Écrire pour rien…
Qu'ai-je à dire ou à penser
L'homme ordinaire qui est franc…
J'ai parlé et déparlé
J'ai mal aux chansons
Si les mots ne suffisent plus
ÉPILOGUE
COULEURS
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EXTRAIT
Muse de lierre, poèmes et prose,
Michel Breuleux,
Fondation
littéraire Fleur de Lys
N'y a-t-il
de poète que la foule
ou celui qui prétend l'être
et la défoule?
Peuple de raisins que les pieds de l'indifférence foulent
c'est l'un d'eux qui parle de levain,
de gestes aigres, de mauvais vin
un cep parmi les devins
qui ne se laissera point fouler en vain |
Extrait du chapitre I :
Je suis un livre. J’ai mal partout. Les yeux aigus de ta faim ont
réveillé une soif de Dieu car je suis orphelin et écrit de travers,
là où l’âme n’a pas d’espoir. Et lorsque dansent les dunes et les
oasis dans le désert, je cherche l’oiseau solitaire que j’aurais pu
être. À de telles faims on cherche la nourriture de Dieu. Vous avez
écrit en moi ce qui survivait à l’Apocalypse. Je suis un livre dont
les pages ressemblent à la saison qui nous fuit et fait mourir. J’ai
trouvé en toutes choses l’écriture comme une chose passagère qui ne
laisse que des traces visibles pour une âme qui va mourir. Quelle
hâte peut-il y avoir qui ne soit incompatible avec l’impatience!
C’est pour cela que le livre de vos regards ne sera pas une passion
terminée. |
Nuit
Saint-Denis
Un matin mat hautain blafard
donnait sa crème en calotte
sur mon café tard de nuit pâlotte
Les yeux en guise de passe-port
ma misaine en monnaie forte
je passais la douane des heures
Tous les silences en porte-voix
je vivais enfin mon malheur
enrobé de mystérieuses stridences
Les mal aimés nous marchions
tous ensemble en cadence
au sortir de ce café
Ce matin mat misère humaine
fut ce haut perché
d'où l'on voit solitude
et ronronnante pestilence
Je m'y suis endormi une fois
dans la cale noire et odorante
d'un espresso
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Gestes
sur une toile
Peindre d'un trait l'orbe des gestes sereins
aux paupières du souvenir
Dessin dans l'aube de nuage ou d'oiseau
Doucement quérir
Fatigue de guerrier au seuil de la joie,
n'avoir guerre gagnée que sur soi
L'orbe des années comme un arc-en-ciel
au-dessus des yeux
Les rides de chemins sur le visage des vieux.
Ha doucement périr
oublier ce cri de naître
qui pour certains va renaître
L'orbe des lunes ou celle des étoiles
chute des baisers et cascades de rires
torrent de larmes aux éclairs de l'esprit,
nuage de paix pour les peintres du désir
Image de néants fauves
Orbe sillonnant des espèces trébuchantes.
Cris de bêtes assoiffées envers l'autre qui passe outre
Vins de bosses et d'oubli pour le peintre des démunis
L'orbe à l'angle des poutres, corde roide et sourde
pour le peintre des angoisses, pour le poète de la sueur froide
Ah doucement guérir vers l'orbe des gestes sereins
Rester cette fleur au cœur de lion
que seuls Dieu et ses enfants au jardin peuvent cueillir
Peindre d'un trait le dernier tableau
des réconciliations infinies
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AU SUJET DE L'AUTEUR - BIOGRAPHIE
Michel Breuleux

Né poète, c’est près du ciel que Michel Breuleux,
d’origine jurassienne par son père, a vu le jour en
1943, dans les Alpes valaisannes de Monthey, en
Suisse.
L’enfant commença tôt ses pérégrinations. En 1945,
dans les bras de sa mère partie à la recherche de
son époux, il parcourut des régions d’Europe qui
vivaient la fin de la guerre. Bambin, il fut confié
à une pension suisse-allemande, dans les hauteurs de
Saint-Gall. À six ans, avec sa mère, Irène Bernheim,
ainsi que sa sœur et son frère cadet, il embarqua
sur un bateau en direction du Canada où, dans une
maison nichée dans les nuages et récemment acquise,
les attendait son père, Jean-Paul, arrivé au Québec
en éclaireur un an plus tôt. Celui-ci leur présenta
Hubert, son compagnon de traversée, un Français de
sang noble qui ne devait plus jamais les quitter.
Le jeune Michel passa le reste de son enfance dans
les Cantons-de-l’Est, sur une montagne paradisiaque
dominant Glen Sutton. Il y pêcha la truite dans le
ruisseau avec une épingle à couche comme hameçon,
attrapa des grenouilles dans l’étang, tendit des
pièges faits de morceaux d’étoffe, se régala de
mûres, de framboises et de fraises sauvages, fit
l’étude des champignons, dévala quotidiennement la
côte jusqu’à l’école de la vallée deux kilomètres
plus bas et devint une légende selon laquelle il
était le plus rapide coureur des environs. Il eut
pour voisins et amis André Vachon, grâce à qui
l’école fut pour lui sans embûches et sans dangers,
et toute cette famille nombreuse dont sont issus les
célèbres lutteurs Maurice (Mad Dog) et Paul.
Il était petit, le clan d’immigrants
Breuleux-Bernheim. Même si Jean-Paul et Irène ont eu
quatre filles et quatre garçons, dont Michel,
l’aîné, Irène n’avait qu’une sœur au Québec, Andrée,
mère d’un unique fils, Jean-Claude Bernheim. De son
côté, Jean-Paul avait un seul frère, Pierre
Breuleux, que Glen Sutton a connu comme le beau
vieillard aux yeux bleus vivant sur la montagne, et
qui avait deux enfants.
À 16 ans, Michel Breuleux quitta ses parents, Hubert
et ses sept frères et sœurs pour travailler chez des
fermiers, puis sauter dans un train et suivre un
cirque jusqu’en Ontario. Il arriva sans bagages à
Toronto où il dormit à la belle étoile et sous des
balcons, travailla deux mois dans une entreprise de
nettoyage et démissionna lorsque le patron voulut
lui faire épouser sa fille. Sans abri ni ressources
et grelottant, il fut hébergé par un retraité, Alex
Robb. Il dénicha un boulot de livreur d’épicerie,
chuta à cause d’une bicyclette de travail
défectueuse et se perfora l’abdomen. Grâce à
l’adresse du vieil homme trouvée dans sa poche, on
put identifier l’adolescent et, après son séjour à
l’hôpital St. Michael, le rendre à sa famille, qui
entre-temps était déménagée à Bedford, sur une ferme
au bout d’un rang, dans la douce lumière d’un
microclimat.
Vers la vingtaine, le jeune homme repartit pour
l’Ouest canadien où il travailla au chemin de fer,
d’abord à enfoncer des piquets puis comme
aide-ingénieur et cuisinier. Mais une grève des
cheminots le força, pour gagner sa croûte, à se
tourner vers le chantier du pipeline, à Brooks en
Alberta. De retour au Québec, il fit plusieurs
séjours en Ontario pendant la saison de la
cueillette du tabac.
Le point déterminant dans sa vie fut la rencontre
des poètes, dont Gaston Miron, Gilbert Langevin et
Michel Bujold. Avec plusieurs d’entre eux, il fut
des Lundis de la poésie à la Casa Pedro, rue
Sherbrooke, participa à de nombreuses rencontres et
lectures de textes, et bien que peu soient toujours
vivants, ces frères résident toujours dans son âme.
Dessinateur et portraitiste ne pouvant vivre sans
plume ou crayon, ses tablettes à dessin regorgeaient
d’écrits. À l’âge de la maturité, cet homme délicat
mais doté d’une grande force physique est retourné
vivre à Glen Sutton pendant plus d’une décennie.
Bien que depuis quelques années la maladie ne lui
laisse pas de répit, sa muse est toujours avec lui
et l’inspiration est intacte. Il est un
improvisateur de chansons intarissable, un créateur
inépuisable, et sa verve, son éloquence et son
expressivité sont hors du commun.
Ce fils d’un important chef syndicaliste des années
1967-1973 a eu à son tour un fils, Yan, vidéaste
renommé, qui a fait de lui le grand-père d’une
magnifique petite fille, Marguerite. C’est à elle
qu’il dédie son livre et aussi son cœur, ainsi qu’à
André Vachon et Georges Bobeau, deux amis qui ont
laissé à jamais leur empreinte dans sa vie.
Aujourd’hui, à 67 ans, Michel Breuleux continue son
chemin de poète avec une jambe en moins. « Mais
maintenant je sais sur quel pied danser », dit-il
philosophe, même si depuis deux ans il attend
toujours une prothèse digne de ce nom et qui ne le
ferait pas souffrir…
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Michel
Breuleux
Veuillez prendre note que monsieur Michel Breuleux
est décédé le 14 décembre 2012 à Montréal. Vous
pouvez toujours communiquer avec son fils à
l'adresse courriel suivante:
ybreuleux@gmail.com
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