Pionnier québécois de l'édition en ligne avec impression à la demande. À VOTRE SERVICE DEPUIS 2003 |
NOUVEAUTÉ
Le petit-fils du sorcier Tome IV – Le Mage blanc Littérature Jeunesse, Collection Le Peuple en écriture Pâquerette Béland, Fondation littéraire Fleur de Lys, Lévis, Québec, 2020, 152 pages. ISBN 978-2-89612-597-5 Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible : 24.95$PRÉSENTATION Alban, devenu architecte, s’installe à Rimouski. Il ignore encore les visées de l’Évêque à son égard et répond à ses demandes avec méfiance. Cependant, son véritable ennemi, celui de son enfance, reste tapi quelque part et attend le moment propice. Alban réussira-t-il à le vaincre ? Le jeune Mage a aussi une autre tâche à réaliser. Il a jadis juré à Lamurmurante, son amie la dragonne d’eau, de tenir la promesse de son autre grand-père : la raccompagner Ailleurs, dans sa mer d’origine. Il était loin de réaliser que cette entreprise mal préparée le propulserait hors des limites de son monde, sur une terre où ses habitants l’attendaient. En reviendra-t-il indemne ? Et pourra-t-il y retourner ? Vous le saurez en suivant les aventures d’Alban dans ce quatrième volet. TABLE DES MATIÈRES Note
Première partie 1 – La journée des surprises 2 – Vos projets 3 – De longues vacances 4 – Je dois repartir 5 – Celui venu d’Ailleurs 6 – Un homme libre 7 – Racontez-moi 8 – Je peux faire quelque chose 9 – Mon chez-moi 10 – Je suis architecte 11 – Qui vous envoie ? 12 – Un Mage blanc
Deuxième partie 13 – Des Licornes 14 – Et leur chaman ? 15 – Quelle magie ? 16 – Elles n’étaient pas mortes 17 – Des êtres vivants 18 – Complices 19 – Quelque chose à cacher 20 – La prêtresse Tréla 21 – La main magique 22 – Paix à sa magie 23 – Un Pur Personnages Les peuples de la Terre Magique Remerciements Au sujet de l'auteure Communiquer avec l'auteure EXTRAIT Chapitre 1 LA JOURNÉEE DES SURPRISES Rimouski Alban descendit du train à Rimouski. Il récupéra ses deux malles et chercha du regard une voiture pour se rendre chez lui. Il avait acheté, rue Saint-Germain, une maison qui, jadis, abritait un commerce et une fabrique de chaussures. Elle lui avait plu au premier coup d’œil. Et même s’il s’était endetté pour cinq ans, il considérait cette acquisition comme un investissement. — Bonjour Alban ! Je suis content de votre retour définitif dans la région. — Père Antoine ! s’exclama-t-il surpris par cette rencontre inopinée sur le quai de la gare. Il lui tendit la main. « Vous allez toujours bien à ce que je vois ? » — Ah ! Je vieillis comme tout le monde. Cherchiez-vous une voiture ? La mienne est de l’autre côté du chemin. Je peux vous conduire, si vous voulez. — J’en serai honoré. Et vous allez visiter mon nouveau chez moi. Vous êtes mon premier invité. Il empila ses malles à l’arrière et grimpa à côté du père sur le banc de coche. Ils descendirent vers le fleuve jusqu’à la croisée des routes et bifurquèrent sur la rue principale, achalandée à cette heure du jour. — C’est ici, montra Alban. Antoine héla son cheval qui s’arrêta face à l’édifice et il l’attacha à une clôture. Il tendit une valise à Alban et s’empara de l’autre. Clés en main, Alban allait ouvrir quand il s’aperçut qu’il avait déjà reçu du courrier. — Ma première lettre ! attesta-t-il en la levant sous le nez du père. Et je ne suis pas encore installé, poursuivit-il, heureux. — Si j’étais vous, je ne m’en réjouirais pas aussi vite, lui conseilla Antoine. Alban baissa les yeux sur le nom de l’expéditeur. — L’Évêché de Rimouski ! Leurs regards se croisèrent. Pendant un court instant, le mot méfiance prit tout son sens dans l’esprit d’Alban. « Vous avez raison. » Il inspira avant de poursuivre. « Entrez, mon père. Laissez la malle ici, dit-il en lâchant également la sienne. Excusez l’état actuel des lieux, ce n’est que temporaire. Je rénove tout. Vous voyez cet espace libre derrière le comptoir, il servira de réception et de secrétariat. » Il avança dans la pièce. « Je vais monter un mur ici, indiqua-t-il, il y aura alors de la place pour deux bureaux, le mien et celui d’un apprenti ou d’un futur associé. Derrière, là où se situait la fabrique de chaussures, ajouta-t-il, ce sera l’atelier de dessin et la salle de rencontre avec les gens de la construction. Venez voir comme c’est grand. De plus, un accès donne sur l’extérieur. » Il poussa ensuite une porte qui camouflait un étroit escalier. « Suivez-moi à l’étage. La famille du marchand y habitait. C’est vieillot, mais très convenable. » Ils débouchèrent dans la cuisine. Elle se situait, avec le salon, au-dessus du commerce; à l’arrière, deux chambres complétaient le logement. — C’est déjà meublé, s’étonna Antoine. — Oui. La maison était vendue ainsi. J’ai déposé le peu que je possédais au grenier, il est assez haut pour être habitable, je le finirai peut-être, plus tard. — Je suis heureux de votre réussite, Alban. — Vous y êtes pour quelque chose, père Antoine. Je ne vous remercierai jamais assez. Si vous ne m’aviez pas proposé une bourse d’études, je ne sais pas ce que je serais devenu. C’est dommage, je ne peux rien vous offrir, mes tablettes sont vides. — En êtes-vous certain ? répliqua le père avec un sourire moqueur. Regardez bien ! — Le frère Nicolas peut user de ses pouvoirs ici ? interrogea le jeune homme en se dirigeant vers l’armoire. — Pas lui, Alban. Vous ! Vous en êtes capable. Alban figea momentanément. Il n’avait pas encore le réflexe d’utiliser ses dons. — Vous avez raison, père Antoine. Il ouvrit une porte. « J’ai justement du thé de l’Inde, il s’en saisit machinalement, que nous allons savourer, il emplit sa bouilloire, dès que cette eau sera chaude. » — En attendant, j’ai ceci à vous remettre. Il déposa un carton sur la table, à côté de l’autre lettre. — Décidément, c’est la journée des surprises ! — Surtout en ce qui concerne l’Évêque. Moi, il s’agit seulement d’une invitation à assister au Conseil général des Eudistes qui se tiendra la semaine prochaine à notre Monastère d’Aquila. — En Italie ? Sitôt lancée, il regretta sa question. « Ah oui ! Le Chemin de Travers ! J’irai. Vous pouvez compter sur moi. » — J’en étais sûr. Voulez-vous qu’on fasse route ensemble ? — Avec plaisir. — Je vous rejoindrai ici avant le départ. Et ce thé, il vient ? — Oh ! Excusez-moi ! Après en avoir humé les vapeurs et goûté une première gorgée trop chaude, Alban tira de sa poche le poignard de Malvais, hérité d’Aérane, ses anciens maîtres. Il s’empara de la lettre de l’Évêché, trancha le pli et en sortit l’unique feuille qu’il déplia. Il la consulta avant de la lancer sur la table. — Il désire me rencontrer... — Précise-t-il un moment de rendez-vous ? — Pas vraiment. Il écrit : dès que vous serez parmi nous. — N’oubliez surtout pas que vous avez encore un dossier archivé quelque part. Plus vite vous entendrez ses dires et détecterez ce qu’il veut, plus vite vous serez à même de réagir. — Je n’aime pas ça ! — Je vous comprends. Ayez confiance ! AU SUJET DE L'AUTEURE PÂQUERETTE BÉLAND
Il y longtemps déjà, Pâquerette est née à Sayabec, un village de la Matapédia. Elle fréquenta l’école des Filles de Jésus où des cours de piano lui permirent de découvrir l’amour de la musique. Quand elle entra au secondaire, une autre passion l’attendait, celle de la littérature. Et c’est celle-ci qui influença son choix d’études collégiales. À la fin de son Cégep, elle décida d’aller sur le marché du travail, un an ou deux, pour enseigner le piano. Une parenthèse qui se solda dix ans plus tard par un retour à l’Université de Rimouski en études littéraires, suivi d’une maîtrise en Bibliothéconomie, à Montréal. Cette nouvelle profession lui permit de travailler dans des milieux différents (Rimouski, Jonquière, St-Hubert) et l’amena aussi à rencontrer plein de gens intéressants (libraires, éditeurs et bien sûr écrivains). Mais ce fut surtout la présence continuelle des livres autour d’elle et de tous les mondes qu’ils renferment qui déclenchèrent son envie d’écrire. Et comme source d’inspiration, rien de mieux que la vallée qui l'a vue grandir et les pays qu’elle a visités. Elle se mit à la tâche en février 2001 et depuis, l’écriture fait partie de son quotidien pour son plus grand plaisir. COMMUNIQUER AVEC L'AUTEURE PÂQUERETTE BÉLAND Courriel
OBTENIR
UN EXEMPLAIRE Le petit-fils du sorcier Tome IV – Le Mage blanc Faites un don à la Fondation littéraire Fleur de Lys pour obtenir votre exemplaire numérique du livre annoncé sur cette page.
Instructions çi-dessous
Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible
Paiement en ligne PayPal - Ailleurs dans le monde Commande par la poste : EXEMPLAIRE NUMÉRIQUE
Paiement en ligne PayPal - Partout dans le monde BESOIN D'AIDE ? Courriel : contact@manuscritdepot.comTéléphone (Lévis, Québec) : 581-988-7146 (13H00 À 17H00)
Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible
Carte de crédit ou transfert bancaire avec
CANADA
24.95$ CAD
Tout inclus
Livraison : 21 jours ouvrables
AILLEURS DANS LE MONDE
Écrivez à l'adresse suivante
car des frais de
postes s'appliquent.
EXEMPLAIRE NUMÉRIQUE
Carte de crédit ou transfert bancaire avec
PayPal
Partout dans le monde
PDF
Livraison en pièce jointe à un courriel dans les 48 heures
Commande postale
UNIQUEMENT POUR LES EXEMPLAIRES PAPIER
ÉTAPE 1 Indiquez sur un papier Le titre du livre et le nom de l'auteur Votre nom (prénom et nom de famille) Votre adresse postale complète Votre adresse électronique Votre numéro de téléphone ÉTAPE 2 Complétez votre chèque payable à l'ordre de Fondation littéraire Fleur de Lys inc. ÉTAPE 3 Précisez le montant sur le chèque Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible Canada 24.95$ canadiens Tout inclus Livraison : 21 jours ouvrables
Commande d'Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible Écrivez à l'adresse suivante pour connaître le montant du don demandé car des frais de poste s'appliquent : renee-fournier@mamuscritdepot.com ÉTAPE 4 Adressez-le tout à Fondation littéraire Fleur de Lys 31, rue St-Joseph, Lévis, Québec, Canada. G6V 1A8
Fondation littéraire Fleur de Lys, 31, rue St-Joseph, Lévis, Québec, Canada. G6V 1A8 Téléphone : 581-988-7146 Courriel : contact@manuscritdepot.com La Fondation littéraire Fleur de Lys décline toute responsabilité quant au contenu des autres sites auxquels elle pourrait se référer.
MENU DE CE SITE WEB |