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LES ŒUVRES DE PÂQUERETTE BÉLAND

 

Pâquerette est native de la Matapédia. Après des années d’études en piano, elle décida de l’enseigner un an ou deux. Ce fut une longue parenthèse qui se solda dix ans plus tard par un retour à l’Université en Études littéraires, suivi d’une maîtrise en Bibliothéconomie. Lire la suite

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Le petit-fils du sorcier

LES TROIS VALLÉES

LA SAGA DES PRADOV

LE CYCLE DE THÉO

 

 

LE CYCLE DE THÉO - TROISIÈME VOLET

LES TRACES D'UN DIEU

PÂQUERETTE BÉLAND

Roman fantastique, Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec,
2009, 262 pages.
ISBN 978-2-89612-422-0

 

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Pâquerette Béland

 

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Les traces d'un dieu, roman fantastique,
Pâquerette Béland,
Fondation littéraire Fleur de Lys

 

 

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PRÉSENTATION

 

Les traces d'un dieu, roman fantastique,
Pâquerette Béland,
Fondation littéraire Fleur de Lys

 

Deux hommes différents. Une seule et même quête : retrouver Théo disparu lors d’une irruption volcanique.


Katavsky navigue sur les traces de cet homme qui n’existe plus et se retrouve seul, face à lui-même, avec des peurs à vaincre et des faiblesses à accepter.


Carlos, en suivant les indices laissés par Théo à travers le temps et l’espace, découvre que l’estime de soi et l’amour valent plus que les richesses et la conquête de nouveaux mondes.


Lors de leur périple, tous deux se retrouveront liés de façon tout à fait inattendue.
 

 

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EXTRAIT
 

Les traces d'un dieu, roman fantastique,
Pâquerette Béland,
Fondation littéraire Fleur de Lys

 

KATAVSKY

 

Chapitre 1 (Intégral)

 

Katavsky avait ancré son bolide dans une petite baie à une centaine de kilomètres au nord de Tankan et il s’était improvisé un abri temporaire. Il avait l’intention d’y passer quelques jours à pêcher avant de retourner à l’île de l’Oeil pour ramener Théo.

 

Le sommeil tarda à venir. Et dès que les premiers engourdissements le saisirent,

 

…il se retrouva enseveli sous des mètres cubes d’eau. Le liquide salé affluait dans ses narines, pénétrait dans ses poumons. Il mourait. Noyé.

 

« Non », cria-t-il à tue-tête en se relevant d’un bond, effrayé. Puis il réalisa que ses pieds foulaient solidement la terre ferme. « Quel cauchemar », souffla-t-il après une longue inspiration.

 

La vue de son bateau dansant doucement sur la marée le rasséréna. Juste un peu. Il leva la tête vers le ciel étoilé et figea d’étonnement : « Qu’est-ce qui se passe ? Je n’ai encore jamais vu ça ! » La position de l’étoile du Nord ne concordait pas avec celle de la lune et les autres étoiles n’étaient pas dans leur axe habituel. « Je fais mieux de retourner à Roumoutou tout de suite », se dit-il. Il ramassa sa tente en vitesse, largua les amarres et s’enfuit direction nord en longeant la côte ouest de Tou pour éviter l’alizôhn. « Je reviendrai plus tard pour récupérer Théo. »

 

Au lever du soleil, il avait atteint le passage navigable entre la côte du continent et l’archipel des Môropés. Il s’y engagea plein soleil avant et vent léger arrière.

 

Comme tout allait bien, il détourna son attention momentanément pour faire bouillir de l’eau. Il en mouilla ses feuilles de thé, attendit quelques secondes et emplit sa théière. Il allait reposer sa bouilloire quand il suspendit son geste. Il ne bougeait plus ? Il regagna sa cabine pour constater le désastre. Une mer d’huile !

 

Son trimaran possédait un système de propulsion solaire mais il ne l’avait pas activé la veille, et avant que les piles aient accumulé assez d’énergie, la moitié de la journée serait passée. « Maudit sois-tu capitaine d’eau douce », morigéna-t-il entre les dents. Il n’avait jamais commis une telle erreur sur son vieux rafiot.

 

Après avoir attendu quelques heures qui lui parurent interminables, il perdit patience. Et avant que ses accumulateurs soient complètement chargés, il décida d’avancer.

 

Le ciel se couvrit peu à peu. Et n’ayant plus suffisamment de soleil, son système planta.

 

Il n’avait plus d’autres choix.

 

Attendre.

 

Il ballottait comme une vieille coquille de noix. L’inquiétude lui serrait la gorge. Plus il essayait de se raisonner, plus il sentait l’urgence d’avancer et de trouver un abri.

 

Les heures passaient.

 

Malgré le fait que le jour soit encore haut, le ciel s’assombrissait de plus en plus.

 

Quand enfin une légère brise lui effleura le visage, il n’en fallut pas plus pour l’alerter. Il prépara sa mâture et s’installa aux commandes. Un vent d’ouest de force légère le poussa. Ce n’était pas commun dans ce secteur, mais sans y prendre gare et trop pressé pour rejoindre le port, il ne diminua pas l’ouverture de ses vantaux. Et plus la force de poussée augmenta, plus il vogua à folle allure. « Oui, vas-y mon bon, s’exclama-t-il. À ce rythme-là, je serai bientôt à Roumoutou. »

 

Mais le vent tomba. Instantanément. « Quel temps pourri ! » Il jeta un regard panoramique. « L’œil d’une tornade ? » Pourtant, il l’avait expérimenté et ça ne se présentait pas ainsi. « Prudence, Kata », s’ordonna-t-il. Il ferma plus de la moitié de ses vantaux et tout en maintenant le gouvernail d’une main ferme, il se prépara à subir l’assaut d’une tempête.

 

Elle ne vint pas.

 

« Ce n’est pas normal », siffla-t-il entre ses dents. Il resta en alerte, tous sens aiguisés. Il se passait quelque chose. Mais quoi ?

 

Quand le trimaran bougea sous ses pieds, il était prêt à tout.

 

Ce fut l’eau elle-même qui le poussa. De plus en plus vite. Et de plus en plus haut.

 

Tout en jurant contre la diablesse des eaux, il maintint son gouvernail pour rester aligné sur la poussée.

 

Il accélérait. Encore. Trop. Un craquement sourd. Il perdit un morceau. Mais les coques, dérives et mâts tenaient bon. La puissance de l’eau le soulevait. Il filait plein est entre les îles et le continent. Laissant Roumoutou loin derrière lui, il dépassa Kontouban. Combien de temps tiendrait-il sur le sommet de cette vague ?

 

Une heure plus tard, il surfait encore. Repoussé de plus en plus loin. Vers la Grande mer. Et pour rester vivant, il savait qu’il devait conserver ce cap peu importe la distance qu’il aurait à parcourir pour revenir.

 

Son inquiétude s’en était allée en même temps que ses espoirs de rejoindre la terre ferme. Le froid le gagnait petit à petit, mais il tenait bon. Il se rendrait au bout.

 

Au centre de cette vaste mer sur laquelle il n’avait jamais navigué.

 

Sur cette vague qui mourrait bien un jour.

 

Le soir tomba.

 

Il tenait encore la barre, les doigts gelés, les muscles tendus, le regard fixé sur une ligne d’horizon qu’il ne pouvait plus qu’imaginer.

 

La nuit fut longue. Une éternité à se maintenir debout.
 

Et pendant que son corps épuisé s’offrit quelque répit et que son esprit sombra dans l’inconscience, Théo prit les choses en main ? La poussée ralentit. La vague s’affaissa.

 

Le trimaran avançait toujours, mais lentement. Et c’est ce qui l’éveilla. Il ouvrit les yeux sur la lueur matinale qui se reflétait sur les eaux. Il inspira longuement tout en lorgnant ses écrans. Le pilote automatique veillait. Pourtant il ne se rappelait pas l’avoir enclenché. Il se frotta vigoureusement les mains et enfila les manches du caban qui lui recouvrait miraculeusement les épaules. Un manteau qui ne lui appartenait pas ! Il s’assit pour analyser sa situation.

 

D’après les données de bord, il était à environ une semaine de Roumoutou. Son bateau était en état de naviguer même s’il devait changer un gréement et effectuer quelques soudures. En ménageant l’eau potable, il pouvait tenir le coup.

 

Avec un copilote, il aurait pu avancer de nuit et arriver plus vite, « mais seul » réfléchit-il en regardant bizarrement le siège qu’avait occupé Théo pendant qu’il se reposait…

 

Il sortit inspecter les coques. Il grimaça en y notant une usure prématurée : « Elles peuvent encore flotter ! »

 

Il ouvrit la cale qui contenait un coffre à outils et des pièces de rechange et se mit au travail. Il trima trois longues heures avant de se sentir satisfait. Comme la faim le tenaillait, il se hâta de tout ranger, même les morceaux défectueux, et il se prépara un repas digne d’un roi avec tout ce qui lui restait et en concédant que ce serait le seul avant longtemps.

 

Et il reprit la route. Vers l’ouest.

 

Un temps maussade, aucun soleil pour alimenter son système d’urgence, un léger crachin humidifiant tout ce qu’il touchait. Mais il s’en foutait. Il était vivant. Il chanta à tue-tête dans sa minuscule cabine, heureux du bon vent d’est qui le poussait vers Roumoutou.

 

 

* * *

 

 

Il filait à vive allure quand enfin il aperçut au loin des mâts de chalutiers de haute mer.

 

Il ne les approcha que plusieurs heures plus tard. Et quand les pêcheurs le saluèrent de la main, il y vit une invitation à les aborder.

 

Ceux-ci, indécis et abasourdis par l’arrivée de cet homme aux yeux de chat, se consultèrent du regard pendant qu’il leur lançait ses amarres, grimpait rapidement l’échelle de cordes et sautait sur le pont. Faisant trêve de politesse inutile, il chercha du regard le commandant :

 

      Je suis le capitaine Katavsky. J’ai été entraîné par un raz-de-marée qui m’a projeté en un rien de temps sur les eaux de la Grande mer. J’en reviens. Je navigue depuis trois jours.

 

      Et vous êtes vivant, s’exclama l’un des pêcheurs.

 

      Comment avez-vous fait, demanda un autre.

 

      Tous les bateaux de ceux qui sont restés en mer malgré les conseils reçus en songe ont chaviré à ce moment-là et les hommes se sont noyés.

 

      Tous ? s’inquiéta Katavsky.

 

En réponse à son interrogation, les pêcheurs racontèrent des histoires tristes qu’il écouta avec attention. Comme ceux-ci semblaient connaître plusieurs capitaines de caboteurs, il leur demanda des nouvelles de Henko et de son vieux rafiot : « Il porte le même pavillon que mon trimaran », précisa-t-il. Mais ils ne savaient rien.

 

Au fil de la conversation, il apprit que ces pêcheurs de race bleue, comme Toukouline, venaient d’une petite ville portuaire nichée sur un pic rocheux entre Kontouban et Moubousafié. Et que c’était grâce à ce rocher que leur ville n’avait pas subi les assauts de la mer en furie.

 

L’un d’eux affirma :

 

      Toute la côte a été dévastée.

 

      Oui, capitaine, confirma un autre. De Tankan à Kontouban. Plusieurs villages ont disparu. On dit aussi que c’est Roumoutou qui fut la plus touchée.

 

Kata réfléchit quelques secondes avant de répondre d’une voix rauque :
 

      Ouais ! C’est justement là que je m’en vais. Je vous remercie pour les nouvelles. À la prochaine. Il s’apprêtait à les quitter quand le plus âgé des pêcheurs l’arrêta.

 

      Partez-pas comme ça ! Partagez notre dîner. Vous devez mourir de faim !

 

      Oui, et vous pourrez nous raconter comment vous avez fait pour survivre sur vos coques en étant repoussé par un tel monstre.

 

Deux heures plus tard, il regagna ses fameuses coques laissant ces marins abasourdis par son histoire. Ils lui avaient donné de l’eau potable en abondance, du pain et du poisson pour quelques jours.

 

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Les traces d'un dieu, roman fantastique,
Pâquerette Béland,
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AU SUJET DE L'AUTEUR - BIOGRAPHIE
 

Pâquerette Béland

 

Pâquerette est native de la Matapédia.


Après des années d’études en piano, elle décida de l’enseigner un an ou deux. Ce fut une longue parenthèse qui se solda dix ans plus tard par un retour à l’Université en Études littéraires, suivi d’une maîtrise en Bibliothéconomie.


Cette nouvelle profession lui permit de travailler dans différents milieux et l’amena à rencontrer plein de gens intéressants.


Mais ce fut surtout la présence continuelle des livres autour d’elle et de tous les mondes qu’ils renferment qui déclencha son envie d’écrire. Et comme source d’inspiration, rien de mieux que la vallée qui l’a vue grandir et les nombreux pays qu’elle a visités.


Elle se mit à la tâche en février 2001 et depuis, l’écriture fait partie de son quotidien.
 

 

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DU MÊME AUTEUR - BIBLIOGRAPHIE

 

Pâquerette Béland

 

 

LE CYCLE DE THÉO

Sakpédiak, mission de routine

Premier cycle de Théo


PÂQUERETTE BÉLAND


Roman, fantastique, Fondation littéraire Fleur de Lys,
Laval, Québec, 2009, 322 pages.
ISBN 978-2-89612-278-3

 

http://manuscritdepot.com/a.paquerette-beland.1.htm

À la rencontre d'Ôhn Ké Tou

Deuxième cycle de Théo


PÂQUERETTE BÉLAND


Roman, fantastique, Fondation littéraire Fleur de Lys,
Laval, Québec, 2009, 322 pages.
ISBN 978-2-89612-278-3

 

http://manuscritdepot.com/a.paquerette-beland.1.htm

Les traces d'un dieu

Troisième cycle de Théo


PÂQUERETTE BÉLAND


Roman, fantastique, Fondation littéraire Fleur de Lys,
Laval, Québec, 2009, 322 pages.
ISBN 978-2-89612-278-3

 

http://manuscritdepot.com/a.paquerette-beland.1.htm

LA SAGA DES PRADOV

La saga des Pradov

Tome I - Un héritage envoûtant

PÂQUERETTE BÉLAND

Roman, Saga familiale, Fondation littéraire Fleur de Lys,
Laval, Québec, 2009, 274 pages.
ISBN 978-2-89612-291-2


http://manuscritdepot.com/a.paquerette-beland.2.htm 

La saga des Pradov

Tome II - Le chant du coucou

PÂQUERETTE BÉLAND

Roman, Saga familiale, Fondation littéraire Fleur de Lys,
Laval, Québec, 2009, 274 pages.
ISBN 978-2-89612-291-2

 

http://manuscritdepot.com/a.paquerette-beland.3.htm

La saga des Pradov

Tome III - Le nid de l'étranger

PÂQUERETTE BÉLAND

Roman, Saga familiale, Fondation littéraire Fleur de Lys,
Laval, Québec, 2009, 274 pages.
ISBN 978-2-89612-291-2

-

http://manuscritdepot.com/a.paquerette-beland.4.htm

La saga des Pradov

Tome IV - Le Roussaillon

PÂQUERETTE BÉLAND

Roman, Saga familiale, Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2012, 286 pages.
ISBN 978-2-89612-404-6

-

http://manuscritdepot.com/a.paquerette-beland.5.htm

Les trois Vallées

Tome I - Vallée de Flavia

PÂQUERETTE BÉLAND

Roman - Série fantastique, Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2014, 336 pages.
ISBN 78-2-89612-459-6

-

http://manuscritdepot.com/a.paquerette-beland.8.htm

Les trois Vallées

Tome II - Vallée d'Angéla

PÂQUERETTE BÉLAND

Roman - Série fantastique, Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2015, 416 pages.
ISBN 978-2-89612-471-8

-

http://manuscritdepot.com/a.paquerette-beland.9.htm

 

 

 

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Pâquerette Béland

 

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