Les livres de Pierre Crépeau
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COUVERTURES
Xylophonie sur mes vieux os, essai, Pierre
Crépeau,
Fondation littéraire Fleur de Lys |
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PRÉSENTATION
Xylophonie sur mes vieux os, essai, Pierre
Crépeau,
Fondation littéraire Fleur de Lys
Dans un style servi par un humour subtil, ces
variations xylophoniques présentent, dans une
perspective strictement personnelle, comme vus du
dedans, les souvenirs et les rêves d’un vieillard
qui sent sa vie s’effilocher petit à petit chaque
jour. Prenant assidûment le contre-pied du discours
de bon aloi contemporain face au vieillissement, à
la maladie, à la mort et à l’après-tout-ça, l’auteur
nous livre en arrière-fond quelques appels de
détresse, un fol espoir de sérénité et surtout une
touchante tendresse envers l’humanité. On entendra
son âme vibrer sur ce xylophone de ses vieux os.
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EXTRAIT
Xylophonie sur mes vieux os, essai, Pierre
Crépeau,
Fondation littéraire Fleur de Lys
Ouverture
O ui,
qu’on rêve encore !
Sur ce
clavier de mes vieux os, on entendra
quelques airs lugubres, il le faut
bien, mais davantage de doux adagios pleins
de tendresse et aussi quelques gais rondos.
J’y chanterai des choses tristes sur un air
joyeux et des choses drôles sur un ton
mélancolique. Aux délicates mélodies de
l’amour, succéderont parfois des rythmes
qui détonnent, des coups de mailloche
effrénés. Les choses
futiles
seront parfois prises au sérieux et les
choses sérieuses traitées à la
légère. Déraisonner à propos fait toujours
un peu de bien à l’âme.
Rien n’est plus sot que de traiter avec
sérieux de choses frivoles ; mais rien n’est plus spirituel que de faire
servir les frivolités à des choses sérieuses.
Érasme : Éloge de la folie.
Les choses sérieuses ont presque toujours un
côté amusant qui inspire lazzi, commentaires insolites et parfois rire
grêle. Se moquer des autres amuse, se louer soi-même énerve. Mais, comme
nous l’enseigne un vieil adage, on a raison de se louer soi-même quand on
n’a personne d’autre pour le faire.
On raconte que, au XIIIe siècle de
notre ère, vivait quelque part au Moyen-Orient, un personnage loufoque, du
nom de Nasr Eddin, dit Hodja, célèbre par ses facéties où se mêlaient la
raison la plus éclatante et l’absurdité la plus déroutante. Ce héros
légendaire s’est fait construire à Akshehir en Turquie, un mausolée composé
d’une simple coupole soutenue par quatre piliers dont la façade seule est
murée et percée d’une porte solidement cadenassée, tandis que les trois
autres côtés restent ouverts à tous vents. Au centre de ce bizarre édifice,
se trouve la tombe du Hodja, percée d’une petite ouverture qui lui permet de
regarder encore le ciel et le monde qu’il a tant ridiculisés par ses propos
dérisoires.
Je tape sur ce clavier de mes vieux os au gré
de mes souvenirs, sans tirer l’œuvre au cordeau. Sous un regroupement assez
lâche autour des trois saisons, l’automne, l’hiver et le printemps, je tisse
des souvenirs et des rêves, sautant d’un sujet à un autre sans chercher le
lien qui les unit.
Les fleurs au printemps, la lune en automne,
La brise fraîche en été, la neige en hiver.
Débarrasse ton âme de toute pensée vaine
Chaque saison sera pour toi un enchantement.
Wumen Huikai,
poète chinois de l’école Chan, XIIIe siècle.
La logique, souvent mise à mal, surprend et
fragilise les frontières du raisonnable. Dans une vaine tentative de dire
l’indicible, mes envies de me rendre au bout de la route sont souvent
contrées par des chemins de traverse. Ma prose regorge de si, de
peut-être, de pourquoi, d’à-quoi-bon, dans un lacis de
points d’interrogation. Les réponses sont souvent simples ; ce sont les
questions qui nous compliquent la vie. Le lecteur ne trouvera pas ici
l’essai longuement réfléchi d’un philosophe, ni le récit solidement
documenté d’un mémorialiste, ni l’autobiographie d’une personne en mal de
célébrité, ni les interminables mémoires d’un garant de l’Histoire, mais une
série de variations, encore chaudes de la forge, sur les thèmes du
pendant-que-ça-dure, du vieillissement, de la mort et de l’après-tout-ça,
souvenirs en vrac, pensées éphémères comme le nuage qui change de forme rien
que le temps d’un coup d’œil. La critique aura tôt fait d’en recenser les
contradictions qui pourtant sont à
l’image de la vie et de l’expérience humaine.
Un censeur y trouvera matière à diatribe, un avocat matière à
harangue, un juge matière à sentence, un psychologue matière à vésanie, un
prêtre matière à confession. Seul le poète y trouvera matière à rire et à
pleurer.
Le monde se métamorphose par le souvenir. Le
vieillard ne se rappelle pas bien le passé, il
le rafistole du mieux qu’il peut, comme ces chansons depuis longtemps
oubliées dont l’air se met à nous trotter timidement dans la tête et que
nous essayons de reproduire, non sans peine, vers par vers, couplet par
couplet. La mémoire vieillissante devient diffuse,
toute en demi-teintes, lourde des choses lointaines, mais ayant peu de prise
sur les événements récents, contrairement à la
mémoire d’adolescent qui est courte, compacte et sans nuance, passant vite à
autre chose. En somme, je refais, sur mon clavier, les choses et les
événements de sorte qu’il est difficile de démêler ce qui relève du rêve de
ce qui relève de la réalité. Je finis par ne plus savoir si
tout ce que je prétends me rappeler s’est effectivement produit. Un abîme
sépare parfois la réalité dont je me souviens de la reconstruction que j’en
fais. Je me crois fidèle à l’événement, puis me demande soudain si je ne
laisse pas galoper la folle du logis. Je ne me rends pas toujours compte du
moment où je commence à broder de nouvelles fantaisies sur un canevas déjà
effrangé. Et mes souvenirs deviennent
ce que les vieux en font
(Jacques Brel). Je songe à longueur de jour, fourgonnant dans
mes souvenirs, conscient tout de même que tout songe est mensonge. Mais il
arrive que le mensonge mette sur la
voie de la vérité, et le rêve sur la voie de la réalité. Le rêve est aussi
réel que l’iris sur une peinture, que la pleine lune sur la calme surface
d’un lac, qu’un visage radieux dans un miroir. Réelles ou oniriques, mes
histoires sont significatives de ce que je fus et de ce que je suis devenu.
Je me situe aujourd’hui entre deux temps, un jadis et un maintenant. Entre
deux espaces aussi, un ailleurs et un ici. Ma souvenance vacille, ballottée
par tant de changements que je ne sais plus si je suis encore l’homme que je
fus. Peut-être suis-je un peu des deux, à la fois un peu l’homme que je fus
et un peu l’homme que je suis devenu. Qui peut me dire qui je suis ?
Ces variations ostéophoniques essaient de
présenter non le point de vue social, celui des autres vis-à-vis des vieux,
mais une vue du dedans, une perspective strictement personnelle, ce que ça
fait à un vieillard, un malade ou un moribond de voir s’effriter sa vie.
Pas d’affrontements dans mon œuvre
C’est une œuvre frileuse
Peureuse comme moi…
Rangez-moi avec les musiciens
Les outardes
Les innocents
Les contemplatifs
Toute ma vie loin de la foule
Mais aussi toute ma vie
Seul en face d’elle
À défaire des nœuds.
Félix Leclerc.
Ce que ça comporte au point de vue social, on
a les géronteux pour ça et les nombreux livres et revues qui
proposent des recettes pour bien vieillir et prétendent tout savoir de l’art
de bien mourir. Ici, on entendra, en vrac, en mode mineur, mes
incompréhensions, mes entêtements, mes petites vanités, mes grands orgueils,
mes tartarinades, mes ambiguïtés, mes inconstances, mes foucades, mes
fragilités, mes doutes, mes hantises, mes peurs, mes regrets, un peu de
colère il en faut pour bien vivre mais aussi, en mode majeur, mes
espoirs, mon désir de tolérance, mon penchant pour la diversité et les
différences, ma fièvre de justice, mes élans vers la beauté, la délicatesse
et l’amitié. Vision solitaire davantage que solidaire. Ce sont mes gestes
que j’écris ; c’est moi, c’est mon essence
(Montaigne : Essais, II, vi).
Avec une certaine irrévérence et parfois même
un peu de perversité, j’essaie de dire des choses qui dérangent dans une
langue affranchie du sens imposé par l’ordre établi. Je ne m’insurge contre
personne en particulier, mais il m’arrive de prendre le contre-pied du
discours de bon aloi, lorsqu’il s’agit de notre monde contemporain face au
vieillissement, à la maladie et à la mort. On sait que certains
mots font peur, les mots de l’arrogance, du mépris, de l’exclusion, de la
haine, de l’incertitude, mais que d’autres sont ravissants, les mots de la
beauté, du respect, de la tendresse, de l’amour et de la sérénité. Aucun ne
nous est indifférent. Sonores ou furtifs, précis ou obscurs, lourds ou
subtils, les mots sont l’écho de notre âme.
Mes souvenirs serviront de support à un cœur plein de
tendresse envers cette humanité qui est aussi la mienne. On entendra mon âme
vibrer sur ce xylophone de mes vieux os.
Comme l’abeille, j’ai butiné sur mille fleurs
et pris mon bien là où j’ai estimé le trouver, surtout chez les poètes et
les philosophes, ces doux rêveurs de l’humanité, et aussi chez quelques
hommes de science dont certains sont d’admirables poètes, tous gens que je
cite abondamment, souvent de mémoire, quelques fois peut-être sans même
m’en rendre compte.
Est-ce que j’écris pour être lu ? Je n’en
sais rien et ça n’a pas d’importance. Horace écrivait pour ne pas mourir
tout à fait. On peut se chercher bien des raisons d’écrire. Ma principale
raison à moi, c’est que ça me fait du bien. J’y trouve un moyen d'échapper
au syndrome de la décrépitude. Ça me procure une heureuse vieillesse.
Dernièrement
que je me retirai chez moi, délibéré autant
que je pourrais, ne me mêler d’autre chose, que de passer en repos, et à
part, ce peu qui me reste de vie : il me semblait ne pouvoir faire plus
grande faveur à mon esprit, que de le laisser en pleine oisiveté,
s’entretenir soi-même, et s’arrêter et rasseoir en soi.
Montaigne :
Essais I, viii.
J’ai le sentiment que mes écrits ne feront
pas vieux os. Un écrit n’est pas une marchandise. Ce sont les éditeurs et
les distributeurs commerciaux qui en font une marchandise dont la valeur se
mesure en termes de profits. Mais alors on sort de l’ordre culturel pour
entrer dans le monde des affaires qui m’est totalement étranger. Au plan
culturel, je m’en remets au jugement de mes pairs et des éditeurs
scientifiques et culturels qui m’ont toujours traité avec respect.
Tu as signé dans le sable
Tu as écrit sur la mer
Il ne reste que la peine.
Camus.
Non, il ne reste pas que la peine. J’éprouve
un certain bonheur à piocher sur mon xylophone et, dois-je l’avouer, un peu
de vanité devant l’œuvre accomplie.
Le meilleur est ce qui n’est pas noté, ce
qui a été créé et qui a disparu, qui s’est dilué sans trace aucune, et seule
cette joie de la création qu’il ressent (le poète) prouve qu’un poème a été
composé, que le merveilleux a été créé.
Varlam Chalamov :
Les récits de la Kolyma.
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Xylophonie sur mes vieux os, essai, Pierre
Crépeau,
Fondation littéraire Fleur de Lys
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AU SUJET DE L'AUTEUR - BIOGRAPHIE
Pierre Crépeau
Élevé
au sein d’une famille de cultivateurs, Pierre
Crépeau fréquente l'école du rang et obtient son
certificat d'études primaires à l'âge de 13 ans.
Après avoir travaillé sur la ferme familiale durant
cinq ans, il entreprend, à l'âge de 18 ans, ses
études classiques au Séminaire du Sacré-Cœur, à
Saint-Victor de Beauce et obtient son baccalauréat
ès Arts de l'Université Laval en 1953. À l’automne,
il entre au noviciat des Dominicains à
Saint-Hyacinthe. Après deux années d'études
philosophiques au Collège dominicain d'Ottawa, il
entre en Faculté de théologie à l'Université
Saint-Thomas d'Aquin à Rome, dont il obtient en 1961
la licence et le lauréat en théologie ainsi que le
baccalauréat ès Sciences bibliques. Suit un stage de
six mois en archéologie palestinienne et histoire du
Moyen Orient ancien à l'École française
d'Archéologie à Jérusalem.
Arrivé au Rwanda en janvier 1962, il est délégué dès
le mois de septembre par le gouvernement rwandais à
la conférence de l'UNESCO sur l'enseignement
supérieur en Afrique tenue à Tananarive au
Madagascar, dans le but de préparer le terrain pour
la création de l’enseignement supérieur au Rwanda.
De 1962 à 1969, il est employé par le Bureau d’Aide
Extérieure et l'ACDI pour la planification, la
fondation et l'organisation de l'Université
nationale du Rwanda. Outre ses charges
d’administrateur académique de cette université, il
enseigne l'anthropologie au grand séminaire local et
à l'Université nationale du Rwanda tout en
poursuivant des recherches sur les proverbes
rwandais.
Au terme d'un séjour de deux ans au pays, il obtient
sa maîtrise en anthropologie de l'Université de
Montréal en 1972. De 1972 à 1974, il complète ses
recherches sur le terrain et la mise au point du
manuscrit sur les proverbes du Rwanda. En 1978, il
obtient son doctorat en anthropologie de
l'Université de Montréal.
De retour au Canada en 1975, il quitte les ordres et
entre au Musée national de l'Homme à Ottawa, devenu
depuis le Musée canadien des civilisations à
Gatineau, comme chargé de la gestion et de
l'administration du programme franco-roman du Centre
canadien d'études sur la culture traditionnelle. Ses
recherches portent surtout sur les traditions orales
populaires, les histoires de vie et l'art populaire.
De 1977 à 1991, il est l'éditeur de la Série Mercure
du Centre, dont il fut le chef de 1978 à 1983. À la
retraite depuis mars 1991, il a produit une
adaptation française d'un imposant recueil de contes
rwandais et publié quelques nouvelles et romans.
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|
DU MÊME AUTEUR - BIBLIOGRAPHIE
Pierre Crépeau
 |
Le novice malgré
lui
PIERRE CRÉPEAU
Roman
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, 2005, 306 pages.
ISBN 2-89612-112-9
http://manuscritdepot.com/a.pierre-crepeau.1.htm
|
 |
Cent
contes du Rwanda
PIERRE CRÉPEAU
Contes - Histoires
Fondation littéraire Fleur
de Lys,
Lévis, Québec, 2006, 494
pages.
ISBN 2-89612-142-0
http://manuscritdepot.com/a.pierre-crepeau.2.htm |
 |
Amadou
PIERRE CRÉPEAU
Roman
Fondation littéraire Fleur de Lys
Lévis, Québec, 2008, 300 pages
ISBN 978-2-89612-346-9
http://manuscritdepot.com/a.pierre-crepeau.3.htm
|
 |
Xylophonie sur mes
vieux os
PIERRE
CRÉPEAU
Essai,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis,
Québec, 2012, 264 pages.
ISBN
978-2-89612-396-4
http://manuscritdepot.com/a.pierre-crepeau.4.htm |
Autres titres
-
Classifications raciales populaires et
métissage : essai d'anthropologie cognitive. Centre de recherches caraïbes,
Université de Montréal, 1973.
-
«La définition du proverbe», Fabula 16
(1975) : 287-304.
-
«La variation dans les proverbes du
Rwanda», Anthropos, Vienne, 72 (1977): 413-432.
-
«The Invading Guest : Some Aspects of Oral
Trans-mission», The Yearbook of Symbolic Anthropology, E. SCHWIMMER éd., C.
Hurst & Company, Londres, 1978 : 11-29. Repris dans The Wisdom of Many :
Essays on the Proverb, Wolfgang MIEDER, & Alan DUNDES éd., Garland
Publishing Inc., New York, 1981 : 86-110
-
Voyage au pays des merveilles : quatre
autobiographies d'immigrants. Collection Mercure No. 25, CCECT, Musée
national de l'Homme, Ottawa, 1978
-
Proverbes du Rwanda (en collaboration avec
Simon Bizimana). Annales du Musée Royal de l'Afrique Centrale, Tervuren,
Belgique, 1979. Ouvrage qui s'est mérité le prix Georges Bruel 1980 de
l’Académie des Sciences d’Outre-Mer de Paris
-
Du fond du coeur : l'art populaire au
Canada. Musée national de l'Homme, Ottawa, 1983 , en collaboration et sous
ma direction
-
From the Heart : Folk Art in Canada.
National Museum of Man, Ottawa, 1983 (version anglaise du précédent)
-
Parole et sagesse : valeurs sociales dans
les proverbes du Rwanda. Annales du Musée Royal de l'Afrique Centrale,
Sciences humaines, No 118, Tervuren, Belgique, 1985
-
Médecine et religion populaires. Folk
Medicine and Religion (éditeur). Coll. Mercure, No 53, CCECT, Musée national
de l'Homme, Ottawa, 1985.
-
«La mythologie selon Lévi-Strauss et
Dumézil», Canadian Folklore Canadien 5 (1983 ):
21-37
Danseries. Portrait de notre culture. En
collaboration avec Carmelle Bégin. Musée canadien des civilisations, Hull,
1989
Dance. Roots, Ritual and Romance. With
Carmelle Bégin. Canadian Museum of Civilization, Hull, 1989 (version
anglaise du précédent).
Signes des Vents. La collection de
girouettes du Musée canadien des civilisations. Musée canadien des
civilisations, Hull, 1990
Pointing at the Wind. The Weather-Vane
Collection of the Canadian Museum of Civilization. Canadian Museum of
Civilization, Hull, 1990 (version anglaise du précédent)
Jeux de vent. La collection des vire-vent
du Musée canadien des civilisations. Musée canadien des civilisations, Hull,
1991
Playing with the Wind. The Whirligig
Collection of the Canadian Museum of Civilization. Canadian Museum of
Civilization, Hull, 1991 (version anglaise du précédent)
− «Le Credo de la Quasimodo». Nouvelle
publiée dans Les Saisons littéraires, Solstice d’été 1995, Guérin, Montréal,
171-180.
Rwanda : le kidnapping médiatique. Vents
d’Ouest, Hull, 1995
KAMI : mémoires d’une bergère teutonne. Les
Éditions David, Orléans, 1999
Le grand livre des patiences. Les Éditions
de l’Homme, Montréal, 1999
The Complete Book of Solitaire. Firefly
Books, Willowdale, Ontario, Buffalo et New York, 2001 (traduction anglaise
du précédent)
Paroles du soir. Contes du Rwanda. Les
Éditions David, Orléans, 2000 (adaptation française de contes rwandais).
Le novice malgré lui. Fondation littéraire
Fleur de Lys, Québec, 2005
Cent contes du Rwanda. Fondation littéraire
Fleur de Lys, Québec, 2005 (adaptation française de contes rwandais).
Madame Iris et autres dérives de la raison.
Les Éditions David, Orléans, 2007
Préfaces, recensions et articles divers.
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