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Ma bague de fiançailles, roman, Prince
Menyu M’Ewondo,
Fondation littéraire Fleur de Lys
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PRÉSENTATION
Ma bague
de fiançailles..., roman, Prince Menyu M’Ewondo,
Fondation littéraire Fleur de Lys
Ma Bague de Fiançailles
est en poils d’Éléphant
Mlle de Jupon de la Perelle est une jeune
fille aux origines qui ne sauraient souffrir
d’aucune contestation dans cette France du
troisième millénaire. Par son élégance vient
s’ajouter une carrière professionnelle
florissante dans un cabinet d’avocat qu’elle
dirige avec une amie ; Nelly. Sa vie
sentimentale est cependant un véritable
désert, faite de rencontre sans lendemain où
se succèdent amants d’un instant jusqu’au
jour où sans l’avoir cherché, elle tombe sur
l’Amour.
Cet amour va malheureusement mettre la jeune
femme en face d’une société aux prises avec
le démon du racisme et de la xénophobie ;
l’auteur parle en des mots simples de la
France « d’en Haut » celle qui par des lois
sourdines et savamment pensées résiste à la
nouvelle réalité sociologique de la France «
d’en bas ».
Livre violent mais vrai, d’une sensualité
effrénée, dont la progression dramatique est
admirablement ménagée.
Entre recherche d’affection et engagement
pour une cause, Ma Bague de Fiançailles…
est le couronnement d’un amour au delà des
clichés raciaux. En fait c’est à la culture
de haine entretenue par les hommes
politiques et certains médias qu’il s’en
prend ; il a voulu, selon ses propres termes
« démasquer les usurpateurs des symboles de
la République » pour les restituer à la
population véritable héritière. C’est la
rencontre des descendants des Plantagenêt
avec les fils naturels de la Reine de Saba.
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TABLE DES MATIÈRES
Ma bague de
fiançailles..., roman, Prince Menyu M’Ewondo,
Fondation
littéraire Fleur de Lys
Du même auteur
A paraître
Un choix politique ?
Est-ce l’homme de ma vie ?
Un nouveau départ
Confidences féminines
Un si long voyage
Premières impressions
Yaoundé
Les criminels à col blanc
Le Village
« Veux-tu qu’on s’épouse ? »
Post-scriptum
Au sujet de l’auteur
Communiquer avec l’auteur
Édition écologique |
8
9
13
37
63
73
87
95
101
117
129
137
157
159
163
171
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EXTRAIT
Ma bague de fiançailles..., roman, Prince
Menyu M’Ewondo,
Fondation littéraire Fleur de Lys
Extrait du chapitre 1
Un choix politique ?
« − Pour qui allons-nous voter cette année? Avouez que nous
devons nous poser la question ! » Cette question aussi vieille
que le monde a une saveur toute particulière dans la bouche de
ma tante. Nous déjeunons depuis 13 heures, quand tante Joséphine
décide de mettre le sujet sur la table. A ma montre il est 17
heures et nous ne sommes pas encore passés au fromage ! Le menu
est composé des plats traditionnels bretons, des galettes
sucrées et salées, par respect pour la chasse, autre tradition
familiale, on y a ajouté le sanglier, les faisans et des
légumes. Les réunions de famille du mois d’avril sont un rituel
dans le château familial de Thionville. La ville est sinistrée
depuis la fin de la Grande Guerre, la frontière proche du duché
du Luxembourg ne fait pas de cette bourgade une ville pour
autant. Thionville se dresse fièrement entre l’Allemagne et le
duché du Luxembourg, ses fils et filles ont résisté à plusieurs
sièges, ni Diedenhofen allemand ni diddenuewen luxembourgeois
mais simplement théodonis villa.
Sur le mât central du château, le sceau tréflé des Jupon de la
Perelle est hissé et l’ensemble de la famille est réuni. Nous venons
de tous les coins de France, le pays qui nous a engendrés, de
l’Europe qui nous accueille et des Amériques qui nous hébergent
aujourd’hui. Depuis les origines, ma famille est royaliste et
bourbonnaise; et pour cause ! C’est à contre-cœur que nous avons
intégré la République avec sa carte d’identité et sa laïcité nous
gardons l’espoir de voir un jour un Bourbon prendre en main les
destinées de la Gaule. Le bicentenaire de la révolution, nous
l’avons appelé bisanguinaire, et ce, à juste titre !
Plusieurs de nos aïeuls furent décapités ! La douce France de Hugues
Capet, fut décapitée, la catholique France de Clovis fut foulée au
pied par des sanguinaires. Est-il possible d’oublier que la
meilleure de notre noblesse a été hachée et ses restes promenés dans
les rues de Paris par des sauvages à soif du sang de l'aristocratie
et de la noblesse ?
Nos arbres généalogiques ont été modifiés, profanés pour le seul
plaisir des révolutionnaires !
Le grand cri et le chant des massacreurs résonnent encore en
chacun de nous sous la danse des flammes dévorantes : Ce chant, nous
l’avons tellement entendu et tante Joséphine, gardienne de la
mémoire familiale, tient à ce que chacun de nous grave ses paroles
dans sa conscience justement afin que nul n’oublie.
« Ah ça ira, ça ira, ça ira
Les aristocrates à la lanterne
Ah ça ira, ça ira, ça ira
Les aristocrates on les pendra »
Ce n'est jamais sans un frisson qui pourrait rapidement virer à
une véritable maladie que les nôtres visitent le cimetière de la
Madeleine. Visite ?
Non ! Véritable pèlerinage puisque que c'est là que, entre le 26
août 1792 et le 27 mars 1797, qu’ont été enterrés tous ceux que la
guillotine a fauchés sur la «place de la révolution», oui pour que
la coupe fut pleine on y a ajouté le bon Roi Louis seizième
du nom et la belle Reine Marie-Antoinette dont la beauté n'avait
rien à envier à Hélène de Troie. Ce n'est pas en touriste que nous
allons à Versailles, ce n'est pas en touriste que nous traversons
les Tuileries quand nos pas osent nous y conduire ! Il me plaira
bien de juger un jour notre chère République, fille aînée de
l’église et de la révolution !
En deux siècles de révolution, la France est passée de fille
aînée de la chrétienté pour importer aujourd’hui « des prêtres
africains comme on importe des ananas ou des avocats » !
Le culte musulman a été organisé au grand dam de ceux qui avaient
encore confiance à nos institutions ! La laïcité elle-même cède
devant l’avancée du communautarisme politico-religieux sur les
terres des Bourbon !
N'est-ce point un nouveau Concordat ? Pourquoi personne ne se
rend compte qu'il n'est pas du ressort de l'Etat d'organiser les
cultes dans ce pays !
N'est-ce pas contradictoire avec le principe de la séparation ?
Pendant ce temps, les Rabbins se sont emparés des lieux les plus
prestigieux du duché de France ! Nous assistons là aussi au retour
triomphateur du Grand Sanhédrin de 1807, à l'initiative de
Napoléon ! Qui aujourd'hui a pris la place du petit général corse ?
Est-il nécessaire de le nommer ?
Dans ma famille, nous n’avons jamais condamné Pétain,
contrairement à d’autres, nous pensons qu’il a sauvé un jour notre
hexagone. Nous sommes une famille BCBG, bon chic bon genre, mais
aussi bon teint ! Attachée aux traditions mais aussi à l’histoire !
Pourquoi devons-nous aujourd'hui regarder avec compassion les
malheurs de la famille orléanaise, celle-là même qui envoya à la
guillotine le bon roi Louis seizième du nom et que l'Eglise
catholique continue à refuser de placer au panthéon des saints! Les
voies du Seigneur sont insondables, avait l’habitude de dire le
Cardinal Mazarin qui sut mieux que quiconque unir le pouvoir divin
au pouvoir temporel.
Mais au fil des siècles, les priorités ont varié et même changé !
La noblesse, la nôtre n’est plus pourvoyeuse de saints à notre
Église Mère et beaucoup d’entre nous naviguent entre le purgatoire
et l’enfer sans le moindre espoir de siéger un jour parmi les
saints. Le Pape Jean Paul II
reconnu par les vaticanologues comme le plus grand faiseur de
saints de toute l’histoire de la chrétienté a voulu pour ses vingt
ans de pontificat nous honorer en élevant sœur Marie Amédée de la
Compassion
de son nom de religion au rang de bienheureuse.
Les pièces rapportées dans le château ont jusque-là été
accueillies dans le même esprit. Esprit où se mêlent si étroitement
le désir de préserver la lignée familiale, mais aussi notre volonté
d’ouverture et d’attachement à l’Église catholique dont la France
reste fille aînée. Les pièces rapportées, ainsi dit plus haut, s’y
plaisent ou s’en accommodent. On n’hérite pas de la noblesse, on
l’est ou on ne l’est pas : le sang, les yeux bleus, les cheveux
blonds ça coule dans les veines !
Comme les tâches subalternes sont incrustées dans la peau de ceux
et celles que nous accueillons aujourd’hui afin de financer nos
retraites de demain tout en dépouillant leurs pays d'origine de
leurs matières premières.
Le hasard des rencontres et des amours qui peuvent en naître ne
nous a point déçu jusqu’alors ! Tout se passe comme si la place de
tante Joséphine au couvent était une récompense pour nos unions !
C’est le cas de l’union de la belle Amélie de Mons de la Brousse,
épouse de mon cadet Philippe Auguste, de celle de Henri de
Verteillac, époux de ma frangine Jeanne. Amélie est une duchesse de
sang en ligne légitime et a été éduquée comme telle !
C’est tout le contraire de mon beau frère Henri ! Tante Joséphine
bien qu’entrée au Carmel dès l’âge de seize ans, veille sur la
mémoire familiale profondément ancrée dans la royauté que prétend
illusoirement représenter la droite politique de la cité. Parce que
conservatrice, catholique et juive. On pourrait aisément penser que
ce mélange serait indigeste !
Mais la réalité est tout autre et je ne crois pas que la droite,
mieux ce qui s’apparente à elle aurait condamné la Convention qui
jadis guillotina les plus illustres d'entre nous, viola nos jeunes
filles pensant par là les dépouiller de leur âme !
L’autre symbole de l’indestructibilité de la dynastie familiale
est sans doute ce château qui date du 12e siècle. Nous
versons chacun une partie de nos revenus pour assurer son entretien.
Il nous invite sans cesse vers l’éternité et nous tire sans cesse
vers le haut, comme l’amour d’une femme désirante et soumise élève
et galvanise l’homme. Ce château est aussi le gardien de nos
mystères, le flou de nos origines celtes, du mélange de nos
traditions.
Grâce à son donjon de forme circulaire et ses trois niveaux, il
est l’emblème militaire de la famille, architecture du même corps,
aux belles voûtes d’ogives. Si la révolution l'a jadis dépouillé de
ses richesses matérielles, il garde à jamais vivante son âme !
Les tableaux appartenant à ma famille ne nous ont jamais été
restitués, nous n'avons jamais pu retrouver notre mobilier malgré
les nombreuses recherches faites de génération en génération !
Mais dans la pièce principale tournée vers le lever du soleil
trônent toujours et à jamais les portraits des différents rois de
France et qui rappellent à tous ceux qui y séjournent que nous
descendons d’Amédée de Savoie en ligne directe. Un peintre ami de la
famille s’était chargé de faire pour nous de nombreuses copies des
plus beaux tableaux de la Couronne de France.
Enfant, je me souviens que je venais souvent dans cette salle
pour chercher l’inspiration devant le portrait de Louis XIII encadré
par deux torchères monumentales portant plusieurs grosses chandelles
dont les flammes mouvantes me fascinaient.
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Ma bague de fiançailles, roman, Prince
Menyu M’Ewondo,
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BIOGRAPHIE
Prince Menyu M’Ewondo
Prince Menyu M’Ewondo, pseudonyme de
Vincent Sosthène FOUDA, journaliste par vocation et
socio-politologue pour rivaliser avec papa, est né au
Cameroun. C’est au Sénégal qu’il va au collège avant de
s’envoler pour Paris, là il joue avec la grammaire
française et jongle avec la langue de Vaugelas tout en
se conduisant comme un seigneur dans la Cour de
Rambouillet où son parrain possède un domaine. |
Il se présente lui-même comme un homme visiblement
campé dans la vie et qui épouse toutes les contradictions de son
existence. Enfant de la grande forêt d’Akono qu’il appelle
affectueusement la Cité Athénienne de l’Afrique Noire, il
adore les grandes ballades dans la forêt avec laquelle il communie
sans cesse en véritable paysan, les bains dans les ruisseaux et se
régaler de fruits de la grande forêt. La nuit, il scrute le ciel et
pieds nus, attrape
les phalènes dans des filets à papillons avec ses compères de jeu.
Il est pourtant aussi à l’aise dans les grands
amphis de Paris et de Montréal, voue une grande admiration à Aimé
Césaire, le père de la négritude, tout en parlant avec affection de
Mozart, Hayden, Beethoven et Schubert – Il s’émerveille devant les
tableaux de Wilfredo Lam, comme lui, il veut mettre au monde de
belles plantes, des bêtes, des hommes, des démons et des dieux un
peu fous.
La première fois que l’on rencontre Prince Menyu
M’Ewondo, on ne peut qu’être séduit par son regard profond et
attachant et par cette voix chantante qui joue avec les mots… Avec
les lecteurs, il est comme un poisson dans l’eau parce qu’il est
d’approche facile. Il a quitté sa patrie d’adoption pour le Québec
où il s’est installé sur les hauteurs de Sainte-Foy/Sillery pour
interroger « les pures laines » sur leur rencontre avec les « purs
cotons ».
Formé dans les grandes écoles françaises, il est
sorti du conformisme intellectuel pour s’affirmer comme homme sans
avoir besoin de se justifier. C’est pourquoi il rame très souvent à
contre courant des idéologies ambiantes, n’hésite pas à prendre la
parole quand tout le monde se tait. En parlant de sa poésie, une
autre de ses passions, il dit qu’il « refuse de tremper sa plume
dans un encrier, il la trempe dans une marre de sang des innocents
victimes des dictatures africaines ». Sa poésie, dit-il, est en
langue de feu, même si elle atteint l’âme humaine sous forme de
colombe, elle pleure sur les morts de l’exclusion sociale et donne
un peu de gaité au genre humain.
Enfin, Prince Menyu M’Ewondo se veut citoyen du
monde au bord du fleuve Saint-Laurent, il a adopté le Lac Saint-Jean
où il passe ses vacances entouré de nombreuses amies et d’amis
fidèles. Quand il est parti, le village se souvient qu’il l’aime
plus que tout. Oui j’aime le doux langage de mon pays aime-t-il dire
le regard vif et lointain.
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BIBLIOGRAPHIE
Prince Menyu M’Ewondo
Du même auteur sous le nom de
Vincent Sosthène FOUDA
En Français
Notions de réussite et
d’échec dans la filiation adoptive – analyse juridico-sociologique (collection
Questions contemporaines) L’Harmattan, 2000.
Dans le rétroviseur,
(Nouvelle) éditions Thélès, 2003.
Les médias face à la
construction de l’État-Nation en Afrique noire : un défi quotidien au Cameroun
(Collection Etudes Africaines) L’Harmattan, 2004
Églises chrétiennes et
États-nations en Afrique Un couple tenté par l'adultère, Paris, L’Harmattan,
2005.
À PARAÎTRE
Amour haine Amour Amour
(poésie) Acoria, Paris.
L’adoption expliquée à mes enfants, Seuil, Paris.
Passion Blonde où confession au creux de l’oreille…
L'auteur est candidat aux élections présidentielles
de 2011 au Cameroun
Site Internet de la candidature
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M’Ewondo,
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