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NOUVEAUTÉ
Bien mal acquis... Roman policier Série Jacques Audet - Tome 1 Raymond LeBlanc Fondation littéraire Fleur de Lys Lévis, Québec, 2016, 274 pages ISBN 978-2-89612-509-8 Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible : 39.95$PRÉSENTATION Un toast à l’honnêteté! À l’art de ne pas se faire prendre ! C’est Jacques Audet, l’antihéros de Bien mal acquis… qui résume ainsi sa philosophie de vie. Il a 41 ans. Au fil de ces années, il a été pensionnaire, assassin, millionnaire, heureux puis malheureux en amour et finalement ruiné. Et voilà que des malfrats veulent profiter de sa déchéance pour lui faire accomplir leurs basses œuvres. Les loups sont affamés. Tout va se jouer sur son habileté à décevoir. Et s’il devait disparaître à la fin, aurait-il vraiment perdu la partie ? EXTRAIT PROLOGUE
Il y a des personnes qu’on dit mauvaises. Il est difficile de savoir si elles sont nées mauvaises. Nous aimons croire que non. Nous aimons croire qu’elles ont fait un choix. Nous aimons croire que c’est leur faute ! Ah ! Le libre arbitre ! Ce concept imaginé par les créationnistes pour délester Dieu de la responsabilité du péché. Libre ? Vraiment ? Il y a des filles et des gars qui se retrouvent mal pris et qui sont amenés de ce fait à poser des gestes sur lesquels les gens trouvent souvent à redire. Mal pris par la faute des autres. Mal pris par leur propre faute. Mal pris par carences innées de tous types. Mais si ces mauvaises personnes n’avaient eu que la « méchanceté » comme moyen d’aspirer à une vie normale. Si ce penchant, personne n’avait su, voulu, ou pu le redresser, ces pécheurs seraient-ils aussi coupables ? A-t-on le droit de pécher quelques fois sans se voir tatouer « mauvaise personne » dans le front ? Curieusement, c’est un passage des Écritures traitant d’une bonne personne qui répond partiellement à cette question. On lit dans Ecclésiastes (VII, 20), par exemple : Certes, aucun homme sur terre n’est assez juste pour faire le bien sans jamais pécher. Voilà, nous pouvons pécher et demeurer justes. Plus même. Nous ne pourrons pas nous empêcher de pécher. Le même raisonnement vaut sans doute aussi pour le mauvais qui peut faire le bien. Mais « sans jamais pécher », qu’est-ce que ça signifie ? Deux fois, comme dans « la police qui pardonne » de la compagnie d’assurances Bélair Direct ? Trois fois, comme dans les lois américaines de type « Three Strikes, You’re Out ! » ? La majorité simple comme à un référendum québécois dans le grand livre de fin de vie ? Nul ne le sait, ce qui ne nous empêche pas de porter des jugements définitifs. D’ailleurs, si ce n’était de l’opprobre dont elles sont accablées par le public, ces mauvaises personnes le seraient-elles toujours autant aux yeux de tous ? À leurs propres yeux ? Ce public accablant, c’est moi. Ce public accablant, c’est vous. C’est chacun de nous qui avec ses valeurs personnelles uniques porte un jugement sur des actes d’autrui, souvent à partir de faits tronqués, faussés ou mal compris. Avec le résultat que, quand le jugement tombe : – coupable pour toi, non coupable pour moi ; – non coupable pour elle, coupable pour lui, – chacune et chacun convaincus d’avoir raison. Ce qui est sans doute le cas, eu égard à l’éventail de valeurs qui nous est unique à chacun de vous et à moi et à partir duquel nous jugeons. Dans Bien mal acquis…, Jacques Audet et son entourage sont confrontés à des situations qui les amènent à prendre des décisions, à poser des gestes, disons, discutables. En réalité, ces antihéros seraient le plus souvent vus comme des malfrats, des profiteurs, des assassins. Par vous aussi ?
CHAPITRE 1
Jacques Audet faisait partie de la catégorie « beau bonhomme » selon les femmes de son entourage. Quarante-et-un ans, un mètre quatre-vingt-deux (un mètre quatre-vingt-dix dans ses Walk-Tall Shoes), svelte, les cheveux châtains peignés sur le côté avec raie à gauche, les yeux gris-bleu, la mâchoire ferme et volontaire, le visage tanné à peine ridé, il présentait l’image même de la santé et de la réussite. On le voyait en ville portant toujours chemise et cravate sous un complet gris, élégant et bien pressé, un homme choyé par la vie. Monsieur Jacques, comme il aimait être nommé par ses clients, surtout les plus âgés qui ne tutoyaient pas facilement les gens, avait cette personnalité charmeuse qui mettait immédiatement les personnes autour de lui dans de bonnes dispositions à son égard. D’ailleurs, comment ne pas aimer un homme aux si nombreux talents ? Féru d’électronique, il était toujours parmi les tout premiers à se procurer les derniers produits qui arrivaient constamment sur le marché dans le domaine des appareils intelligents. Il était même disposé à faire la démonstration des multiples fonctions de ceux qu’il possédait pour peu qu’on lui en offre l’occasion. Ou sans. — Même si tu vivais jusqu’à cent ans, lui objectait-on, tu ne pourrais jamais explorer toutes les fonctions de tes appareils. À quoi ça sert d’avoir toutes ces possibilités si tu ne vas pas t’en servir? — Mets-toi bien une chose dans la tête, répondait-il. On ne se procure pas de tels appareils avec l’espoir d’en épuiser les possibilités. Ce serait débile. On les achète parce qu’ils mettent pratiquement tous les services au bout des doigts en cas de besoin, en cas de goût, en cas de caprice. C’est ça qui est formidable. Jacques Audet était aussi très adroit de ses mains. Il avait su installer dans son condo un système d’alarme multifonctionnel capable de détecter le feu, les dégâts d’eau et les intrusions. Le système transmettait ses données à son téléphone intelligent, un appareil qu’il trouvait très bien nommé si l’on tenait compte de toutes ses capacités. Il avait doté sa résidence de mini caméras avec vision nocturne. Il les avait soigneusement dissimulées et il pouvait les brancher soit sur son téléphone pour observation en direct, soit sur son lecteur-enregistreur DVD pour filmer en son absence. Et, comble du luxe dans son esprit, il avait voulu reproduire chez lui une chose qu’il avait vue dans des films, la commande à distance. Il s’était équipé d’un récepteur domotique télécommandé qui lui permettait de contrôler depuis son téléphone l’éclairage, la radio, le téléviseur, la climatisation et le chauffage, voire l’ouverture et la fermeture des tentures du salon et de la chambre. — Est-ce que tu sais ce qui se passe chez toi en ce moment, demandait-il à un collègue à brûle-pourpoint ? Tiens, regarde. Moi, je sais qu’il n’y a personne chez moi. Tu vois, je repasse toutes les pièces une à une et si je fais un gros plan sur le thermostat, je constate qu’il fait 23 C. Ça, c’est du renseignement à la minute. — Et tous ces renseignements, ils te servent à quoi exactement ? — Sais-tu, je pense que tu es jaloux. — Je ne suis pas jaloux, mais tu fais suer à la fin avec tous ces airs de « je suis bien meilleur que toi ». C’est peut-être vrai, mais tu pourrais te garder une petite gêne. Moi en tout cas, je ne joue pas ce jeu-là. Ce que ce collègue ignorait, ce que tout l’entourage de Jacques Audet ignorait, c’était que le bonhomme était passé maître dans la lecture du langage corporel. Les indices émotionnels et relationnels tout comme ceux de l’attirance et du pouvoir lui étaient aussi familiers que le menu de son bistrot préféré. Observateur de nature, il avait été intrigué par une information glanée au hasard de la lecture d’un article d’un professeur de l’Université de Californie à Los Angeles selon lequel l’acte de communication était réalisé à 55 % par le langage corporel, à 38 % par le ton de la voix et à seulement 7 % par les mots prononcés. Il avait trouvé ces chiffres exagérés. Après tout, les mots servaient de façon minimale à déterminer le sujet de la conversation. Et cela ne représenterait que 7 % du message ? Il avait donc résolu de faire sa propre enquête sur le sujet et pendant deux semaines, il s’était efforcé de fermer ses oreilles aux mots et d’observer ce que la voix et le corps en disaient. Il s’était vite rendu compte qu’en agissant de cette façon, il ouvrait tous ses sens au message. Il ne saurait jamais si les chiffres de l’auteur de l’article avaient un véritable ancrage dans la réalité, mais il avait acquis la conviction que l’enveloppe du message représentait effectivement son contenu. Fort de ses expériences, il avait décidé de tenter un test audacieux. Quelques jours avant les examens de fin de trimestre, il avait demandé à son professeur de physique si les trois premiers chapitres de leur manuel faisaient partie de la matière qui serait couverte par l’examen. La réponse affirmative du professeur n’avait pas surpris l’élève. Il avait donc persisté en signalant que ces contenus étaient généraux et se trouvaient tous repris sous une forme ou une autre dans les quatre chapitres suivants. Le professeur s’était trouvé un peu pris de court par cette affirmation. Il avait dû ouvrir le manuel un peu au hasard pour tenter d’étoffer sa réponse initiale pendant que tout dans son comportement et dans ses hésitations tendait à indiquer qu’il n’avait pas relu ces chapitres lors de la préparation de l’examen. Jacques Audet décida alors de jouer le tout pour le tout et de ne concentrer ses efforts que sur les quatre derniers chapitres. L’examen ne comportait aucune question sur les trois premiers chapitres et l’expert en herbe obtint ainsi sa meilleure note à vie lors d’un examen de physique. Chanceux ? Adroit ? Perspicace ? En tout cas, rien ne ferait plus croire à Jacques Audet que l’on ne pouvait pas lire les messages les plus secrets des gens dans leur langage corporel. Il s’était dès lors fait un devoir de toujours prendre cette dimension en ligne de compte dans toutes les communications importantes de sa vie. C’est ainsi qu’il évaluait le mérite d’un sourire, d’un froncement de sourcils, de l’intensité du regard droit dans les yeux et d’un comportement expansif aussi précisément que les meilleurs joueurs de poker. Il faut dire que les conditions dans lesquelles s’était faite la formation du jeune Jacques Audet s’étaient avérées idéales pour l’épanouissement de ce talent. Fils de parents qui ne voulaient pas d’enfant, il avait passé l’essentiel de son enfance et de son adolescence dans des pensionnats pendant l’année scolaire et dans des camps d’été lors de la période des vacances. Les parents n’avaient cependant pas lésiné sur la qualité, surtout définie par le prix, des établissements, comme s’ils voulaient ainsi se faire pardonner leur manque de sentiments à son égard. AU SUJET DE L'AUTEUR Raymond LeBlanc
Ap rès avoir complété les exigences du Baccalauréat ès arts à l’Université de Montréal (1960), Raymond LeBlanc obtint un Baccalauréat en pédagogie et un Brevet A d’enseignement (1962). Il poursuivit alors avec succès des études de Licence ès lettres, mentions Français, Anglais et Linguistique (1965). Il passa ensuite trois ans sur le marché du travail, d’abord aux Écoles de langue de l’Université de Montréal dont il assurait la direction, puis au Bureau des langues de la Fonction publique fédérale comme spécialiste des contenus dans le matériel pédagogique en français langue seconde produit à l’intention des fonctionnaires dont le poste comportait des exigences de bilinguisme. Il partit alors poursuivre des études de doctorat en France à l’Université de Grenoble. Sous la direction du professeur René Gsell, il obtint le Diplôme d’Études approfondies (DEA) en 1969. Mais les effets des évènements de 1968 en France perdurant et l’Université de Grenoble étant occupée au printemps 1970, c’est à l’Université d’Aix-Marseille qu’il put finalement soutenir une thèse de doctorat en linguistique portant sur l’évaluation des compétences langagières des apprenants de langues secondes ou étrangères (1970). Recruté par le département de Linguistique de l’Université d’Ottawa cette même année, il fut d’abord professeur adjoint de ce département tout en assurant la direction de l’Institut des langues secondes (ILS), poste qu’il occupera pour 16 années réparties sur cinq mandats. Professeur agrégé en 1980, puis titulaire en 1987, il est maintenant à la retraite depuis 1999. Au cours de sa carrière, Raymond LeBlanc fut désigné à plusieurs reprises comme porte-parole canadien dans des organismes internationaux. Men¬tionnons, par exemple, sa participation (1992- 1998) à titre de repré¬sentant nord-américain au Comité pédagogique et de gestion de la filière LATA (Langue, Tourisme et Affaires) du programme AUPELF-UREF à l’Université Cheikh Anta Diop à Dakar, Sénégal. Au Canada, il a contribué à l’étude sur l’état de l’enseignement des langues secondes au pays. Il fut d’abord membre de la Commission Bibeau sur l’enseignement des langues dans la Fonction publique − volet didactique (1976-1977) puis, à la suite du décès prématuré de H. H. Stern en 1987, il assuma la direction de L’Étude nationale sur les programmes de français de base pour le compte du ministère Patrimoine canadien qui devait mener en 1990 à la publication d’un Rapport synthèse sous sa plume de même qu’à quatre autres ouvrages spécialisés examinant plus en profondeur les divers aspects de l’étude. Au fil des ans, il a fait paraître, seul ou en collaboration, 14 livres et rapports spécialisés, 61 articles dans des revues scientifiques au Canada, aux États-Unis, en France et en Belgique et plus de 50 titres de matériel pédagogique. Il a aussi élaboré et normalisé 11 tests de compétences langagières pour le compte de divers ministères fédéraux, de sociétés d’État et de l’Université d’Ottawa. Il a également fait plus de 150 présentations orales (conférences d’ouverture ou de clôture, communications scientifiques, ateliers) partout au Canada et dans plus de 12 pays. Avec Claude Germain, il est l’auteur d’une Introduction à la linguistique générale (6 volumes). Il a contribué à la refonte de la méthode Le Français international, deuxième version et il a assuré plus de 40 stages de formation à l’utilisation de cette méthode qui a redéfini l’enseignement de la langue seconde au pays pendant de nombreuses années. Il a aussi élaboré et normalisé 11 tests de compétences langagières pour le compte de divers ministères fédéraux, de sociétés d’État et de l’Université d’Ottawa. Il conviendrait aussi de signaler la série de vidéos Pour tout dire réalisée par l’Office national du film du Canada (ONF) au milieu des années quatre-vingt. Cette série fut conçue avec la participation de Roger Tremblay et ce sont eux qui en assurèrent également l’appareillage pédagogique. Ces productions reçurent à tour de rôle la Médaille d’or lors du International Film and Video Festival of New York − Teaching Resources (1988) et la Médaille d’or Panavision − vidéos pédagogiques) à Edmonton (1989). Parmi les autres honneurs qui lui furent conférés en cours de route, on retiendra le Prix Ghislaine-Coutu-Vaillancourt de l’Association québécoise des enseignant-e-s de français langue seconde (AQEFLS) et le Prix Robert-Roy de l’Association canadienne des professeurs de langues secondes (ACPLS). Enfin, au cours de l’année qui a suivi sa retraite, l’Université d’Ottawa lui a décerné le titre de Professeur émérite de l’Institut des langues officielles et du bilinguisme (ILOB) en reconnaissance de l’ensemble de sa contribution au domaine de la didactique des langues secondes et à la vie de son établissement. Après avoir fait paraître un recueil de sonnets intitulé Sonnets de la vie ordinaire chez Fondation Fleur de Lys, l’auteur s’est lancé dans un ensemble de romans policiers mettant en vedette Jacques Audet. Il a déjà fait paraître Bien mal acquis…, La poudre aux yeux et Détours piégés, les trois premiers volets (de quatre). Les pièges à ours conclut la série. Marié depuis 1959 à Gisèle Painchaud, ci-devant professeure titulaire à la faculté des Sciences de l’éducation et vice-rectrice aux ressources humaines à l’Université de Montréal. Il est père d’un enfant, Michel, nucléiste et directeur du département de Médecine nucléaire à l’hôpital Saint-Joseph de Trois-Rivières. Pour la petite histoire, Michel est marié à Sylvie Tremblay (médecine familiale − Drummondville) et ils ont deux filles, Valérie et Geneviève, qui sont aussi médecins tout comme le sont leurs compagnons respectifs. La maladie qui pourrait emporter Raymond LeBlanc peut aller se rhabiller (!).COMMUNIQUER AVEC L'AUTEUR Raymond LeBlanc Courriel
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Sonnets de la vie ordinaire Raymond LeBlanc Recueil de poésie, Fondation littéraire Fleur de Lys, Lévis, Québec, 2016, 274 pages. ISBN 978-2-89612-509-8 Couverture souple couleur Format 6 X 9 pouces Reliure allemande Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible Exemplaire numérique (PDF): 7.00$ canadiens Cliquez ici pour en savoir plus
SÉRIE JACQUES AUDET
Bien mal acquis...
Série Jacques Audet - Tome 1
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La poudre aux yeux
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Roman policier, Fondation littéraire Fleur de Lys, Lévis, Québec, 2017, 554 pages. ISBN 978-2-89612-545-6 Couverture souple couleur Format 6 X 9 pouces Reliure allemande Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible : 39.95$ canadiens Exemplaire numérique (PDF): 7.00$ canadiens Cliquez ici pour en savoir plus
Détours piégés
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