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René A. Gagnon

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Débardeur de vies...

TOME I - TOME II

 

 

DÉBARDEUR DE VIES...


RENÉ A. GAGNON

 

ROMAN

 

Collection Le peuple en écriture
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2014, 468 pages.
ISBN 978-2-89612-456-5
-

-

Couverture souple couleur

Format 6 X 9 pouces

Reliure allemande

 

Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible : 29.95$ (Canada)

 

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Débardeur de vies..., roman, René A. Gagnon,

Fondation littéraire Fleur de Lys

 

 

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PRÉSENTATION

 

Débardeur de vies..., roman, René A. Gagnon,

Fondation littéraire Fleur de Lys

 

La ville de Notre-Dame-du-Chêne est assaillie par une suite d’événements criminels qui débute, lors d'un orage, par une tentative de meurtre sur un psychocriminologue. La victime se nomme Anthony Alvaro. Au sein de l’organisme communautaire « La métanoïa », il travaille auprès des alcooliques et des toxicomanes hors-la-loi. Ce crime initial, est-il le résultat d'une vengeance exercée par un client déçu ? Ou a-t-on voulu éliminer une personne qui en savait trop ? Ou est-ce un message envoyé aux forces de l'ordre de se tenir loin du crime organisé ? La police est plongée dans une confusion inévitable et dans une effroyable ambiguïté. Récupération politique, intrigues, secrets. Une anxiété généralisée imprègne la société dans son ensemble divisée entre la droite et la gauche. Une chronique, heure par heure, du drame et de son dénouement.


 

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EXTRAIT

Débardeur de vies..., roman, René A. Gagnon,

Fondation littéraire Fleur de Lys
 

AVERTISSEMENT


Ce roman est une véritable fiction et toute ressemblance avec des personnes connues est tout à fait fortuite et pure coïncidence. Les noms de tous les personnages sont de véritables créations, étant sauf le nom de la fondatrice des sœurs de l’Immaculée-Conception, et ils ne se réfèrent à aucune personne vivante ou décédée. Le fait de donner des noms à tous les personnages, cela donne l’impression qu’ils existent vraiment dans la réalité.


En toutes circonstances, la liberté créatrice de l’auteur s’est exprimée. L’art du roman n’est-il pas de rendre crédible l’imaginaire de l’auteur ?


Je vous remercie de tout cœur, chère lectrice et cher lecteur, de tenir compte de cet avertissement.

René A. GAGNON
 

 

 

 

CHAPITRE 1 - EXTRAIT


Y a eu son compte

 

 

21 h 19

 

— Il ne perd rien pour attendre celui-là ! Regardez-le s’agiter comme s’il dominait l’univers. C’est aujourd’hui que ça arrête. Stop, rien ne va plus. Fils de pute !


À travers une fenêtre, au deuxième étage d’un duplex, on apercevait un homme qui discutait au téléphone, le combiné coincé entre sa tête et son épaule gauche. Il semblait s’exprimer autant avec ses mains qu’avec ses lèvres.


— Tu parles d’une idée d’ouvrir un bureau sur une artère habituellement très passante. Espèce de crotté ! Y est entouré de duplex. Un quartier propre, mais pauvre. Ça doit être rempli d’écornifleurs et de vieilles pies rabougries. C’est mieux de ne pas courir le risque d’avoir des témoins. Je ne peux pas le tirer toute de suite. Viande à bibittes ! Trou du cul !


Il pleuvait beaucoup… une véritable pluie torrentielle s’écoulait par une fin de chaude soirée, vers l’achèvement de l’été. La ville de Notre-Dame-du-Chêne attendait avec impatience ce déversement orageux pour chasser un degré d’humidité étouffant qui persistait depuis trois jours. Le thermomètre se maintenait aux environs de 310 C durant le jour et il ne descendait pas plus bas que 250 C après le coucher du soleil. Avec un taux d’hygrométrie de 65 %, la température ressentie quelques heures après l’aurore s’élevait à 420 C et à 310 C la nuit. Il était donc préférable d’éviter tout effort physique.


— Il me fait suer l’écœurant ! J’en ai vu du monde à l’hôpital aujourd’hui ! C’est effrayant ! « Colisse » que ça allait mal ! Ç’a pris des heures avant que mon gars soit soigné.


Les aînés, les cardiaques, les asthmatiques et tout autre individu qui souffrait d’une maladie pulmonaire éprouvaient beaucoup de difficultés à respirer normalement. Les salles d’urgence des hôpitaux de la région étaient occupées à 145 % et le personnel infirmier ignorait où entasser les patients. Il y avait même eu, en cette troisième journée de canicule, une panne d’électricité de plus de deux heures. Les autorités de la Santé publique avaient craint le pire, mais heureusement, on ne déplorait aucun décès imputable au climat. Par contre, la très grande chaleur avait certainement épuisé les malades les plus faibles. Dans les statistiques, l’on n’attribuerait pas les prochains décès aux conditions météorologiques comme ceux qui s’étaient produits ailleurs dans la Province du Québec. Les seules personnes qui avaient perdu la vie ces derniers jours dans les diverses institutions de soin de la région se trouvaient déjà en phase terminale.


— Tu ne comptes sûrement pas mourir dret là, salopard ! T’aurais pas un sourire au travers de ta maudite face ! La grande faucheuse va te surprendre, chien sale. J’anticipe ce moment avec une méchante satisfaction. Chaque seconde d’attente augmente mon plaisir. Quasiment un orgasme ! Un vrai trip de toxico avant qu’y ait sa dose ! Espèce de pourriture ! Tu ne perds rien pour attendre ! T’es rendu à ta dernière heure et tu l’ignores. Ton temps est compté ! Salaud !


Dans les mouroirs, l’ultime soupir avait été longuement espéré, voire désiré. Mais pour leurs proches, même dans le cas d’une fin souhaitée, cela représentait un choc. Car la mort signifie une rupture définitive avec la personne qui avait partagé avec eux leurs passions, leurs joies et leurs difficultés. Pour d’autres, ils seraient débarrassés d’un être humain qui les avait fait tant souffrir. Pour d’autres, encore, cela les laisserait totalement indifférents en raison du faible lien tissé entre eux et certains pourraient se demander s’il y avait déjà eu une relation quelconque. Pour plusieurs, autant les membres de la famille que la personne mourante étaient soulagés.


— Y aurait pas pu travailler hier soir, ce dégueulasse-là ! Avec toute cette pluie, j’espère que je ne manquerai pas mon coup. Ordure !


Les citoyens, au contraire, saluèrent cet orage comme un don venu directement du ciel en ce mardi 30 août 2011. La nature aussi semblait se délecter de cette douche providentielle. Les arbres, les plantes décoratives et les gazons chantaient tous un cantique de remerciement à la déesse-mère, la terre.


— Enfin, tu sors de ta tanière. Oui, cours à ton auto pour pas te faire mouiller ! La chasse commence ! Charogne ! Tu prends vraiment tout ton temps pour démarrer. Quoi ? Tu n’empruntes pas ton chemin habituel ? Tu déranges toujours mes plans, fumier ! Tu vas y goûter pour le vrai, cette fois-là ! Inquiète-toi pas, je te suis ! On roule. Quoi ? On se rend dans la partie sud de la ville ? Au lieu de se diriger à l’ouest ?


Les puisards n’arrivaient pas à engouffrer toute cette eau qui dévalait des trottoirs et dans les rues. Elle entraînait avec elle de la boue et des cailloux provenant d’un terrain vague où se construisait un supermarché d’alimentation. Une nappe d’eau recouvrait certains endroits. Non loin de là, il y avait deux stations-service qui se faisaient presque face de chaque côté de la rue Maurice. Ainsi l’on pouvait desservir les clients de cette artère principale qui longeait la rivière Ohanko, nom amérindien qui signifie « nerveux ». Jérôme Aubert de la Chesnaye et Adam Chouart des Groseilliers avaient fondé le village de Notre-Dame-du-Chêne au XVIIIe siècle. Ils avaient choisi de s’établir à cet endroit particulier parce que la rivière offrait un bon potentiel pour l’érection d’un moulin. Maintenant, elle divisait la ville en deux parties inégales, environ un tiers au nord et deux tiers au sud de ce cours d’eau. En direction est, la rue Maurice menait au centre-ville et en direction ouest, les gens pouvaient quitter la ville. L’une des deux stations-service abritait le dépanneur « Chez Edmond » et l’autre, le service de location de films « Montpetit Vidéo ». En cette fin de journée, en raison du mauvais temps, il n’y avait que très peu de clients qui s’arrêtaient pour remplir leur réservoir d’essence. Encore moins de gens se présentaient pour acheter quelques nécessités oubliées à l’épicerie ou pour louer un film.


— Oh ! C’est tranquille ici. La déflagration de la foudre va couvrir mon tir. De mieux en mieux. Satanée peste !


Parfois, le tonnerre se faisait entendre dans des grondements qui semblaient causer un léger tremblement de terre. En d’autres moments, les éclairs lézardaient l’espace céleste, se frayant un chemin au travers de nuages noirs, gonflés à bloc d’une colère trop longtemps retenue. La lumière ainsi projetée avec force imprimait un avertissement divin dans un ciel mouvementé. Les éclats d’illuminations affichaient de manière embrouillée, en raison de la chute diluvienne de pluie, bâtiments et paysages comme une peinture surréaliste. Le tonnerre retentissait tout comme l’effet d’un caisson de grave et les éclairs de stroboscope. Il ne manquait plus que la musique pour figurer se retrouver dans un club de danse qui serait mené par un adepte invétéré du speed . Pire encore, de se voir catapulter dans un mauvais film d’horreur. La nature se faisait-elle complice d’intentions malveillantes ou en était-elle seulement l’interprète ?


— Parfait ! Il veut faire le plein d’essence. Il va se montrer. Une proie facile. C’est plus intéressant que la chasse aux canards. Mon père ignore totalement le bénéfice qu’il m’a rendu en m’initiant à tirer du fusil. Viser juste et tuer ! Chien sale !


Une voiture en très bon état d’usage malgré ses dix ans, s’arrêta pour prendre de l’essence à la station-service « Montpetit Vidéo » en direction ouest. Sur les quatre pompes en service, elle fut garée près de la pompe la plus près de la porte d’entrée du magasin.


On devait insérer une carte de crédit ou de débit dans l’ordinateur des pompes près de la rue si l’on désirait obtenir de l’essence. Cette pratique avait été instaurée pour éviter les vols. Aux deux premières pompes, les clients pouvaient payer à la caisse et bénéficier des avantages offerts par la carte CAA . Voulant profiter de cette prime, un homme, début cinquantaine, s’était garé à l’endroit approprié.


— Y est pas capable de me faciliter la tâche ! Espèce de dégueulasse ! Il fait exprès même sans le savoir. Peau de vache ! Les pompes vont le dissimuler. Patience ! Au paiement, je l’aurai, le verrat !


Il ouvrit donc la portière et sortit en direction de la pompe. Apparut un individu de taille moyenne et pas un gramme de gras sur tout le corps. Il était envié par plusieurs connaissances de son entourage. Il portait une courte barbe de même couleur que ses cheveux bouclés poivre et sel. Un pantalon noir et un polo jaune éclatant renforçaient son attitude joviale. Il fit le plein. Il se dirigea vers le club vidéo, portefeuille en main, pour payer son essence. Soudain, entre deux détonations du tonnerre, lorsqu’il ouvrait la porte, un coup de feu retentit. La balle perfora la vitre de la porte d’entrée pour se loger dans l’abdomen de cet homme. L’individu tomba sur le dos. La jeune femme qui se tenait à la caisse se cacha derrière le comptoir et elle se mit à pleurer avec frénésie. Accroupie, tout en sanglotant, elle reprenait sans cesse à haute voix qu’elle ne voulait pas mourir, qu’elle devait s’occuper de son bébé.


— Y a eu son compte, ce maudit suppositoire qui pousse dans le trou de cul de tout le monde ! La douille ? Mais où est la douille ? Ce n’est pas le temps de moisir ici. Je décolle.


Une voiture se défila alors à vive allure en direction ouest, ayant à son bord le cerveau de cette machination perverse pour éliminer un individu qui en savait trop sur sa personne... La douille avait été emportée par la pluie. Elle était tombée dans le puisard qui était situé à quelques mètres seulement de l’endroit où l’on avait tiré un coup de feu.
 

 

 

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Débardeur de vies..., roman, René A. Gagnon,

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AU SUJET DE L'AUTEUR

 

René A. Gagnon

 

 

L’auteur travaille depuis septembre 1984 dans le cadre d’un organisme communautaire. Ce dernier offre des services de réhabilitation et de réinsertion sociale auprès des gens qui ont commis des crimes en relation avec leur consommation abusive d’alcool, de drogues illégales ou de médicaments. Les infractions commises alors que les personnes sont intoxiquées sont très variées : conduire un véhicule moteur alors que les facultés sont affaiblies, violence conjugale, violence générale (voie de fait, tentative de meurtre, homicide), vol à l’étalage, recel, fraude, vol à main armée, trafic et production de stupéfiants, agressions sexuelles. La clientèle est affectée par une diversité de troubles : anxiété, dépression majeure, psychose toxique, trouble de personnalité antisociale et/ou narcissique, trouble de personnalité à échec et/ou dépendante, victime de violence dans leur passé ou encore dans le présent, victime d’agression sexuelle, rejet, abandon, etc.


Au fil des années, l’auteur a été reconnu comme expert en toxicomanie par la Cour du Québec, chambre de la jeunesse, par la Cour du Québec, chambre criminelle et pénale, par la Cour Supérieure, chambre de la famille, par la Cour Supérieure chambre criminelle et pénale, par la Cour d’Appel du Québec et par le Tribunal administratif du Québec. Il est aussi reconnu comme expert auprès de la Commission des libérations conditionnelles du Canada, de la Commission des libérations conditionnelles du Québec, du Service correctionnel du Canada et des Services correctionnels du Québec. Deux États américain l’ont aussi reconnu comme expert, soit celui de New-York et de Floride. Il a présenté une communication au Forum mondial, Drogues et dépendances, enjeux pour la société, qui s'est tenu à Montréal en septembre 2002. Cette communication a dû être approuvée par un comité scientifique universitaire international et elle a été publiée dans les actes du Forum.


L’auteur détient une formation de scolarité de maitrise en service social et il a reçu des formations par le Service correctionnel du Canada afin de présenter leurs programmes correctionnels aux détenus en libération conditionnelle.


Avant d’exercer la profession d’intervenant en toxicomanie, M Gagnon a étudié au Collège St-Jean Vianney alors qu’il habitait dans un centre étudiant d’une communauté religieuse. Après son CEGEP, il fut admis au noviciat de ladite communauté. Il quitta après huit mois de noviciat. Par la suite, il entreprit des études en théologie à l’université de Montréal et à l’université St-Paul à Ottawa. Dans sa première année d’étude universitaire, il s’est joint à une association religieuse pendant six ans. Il quitta la « vie religieuse » parce qu’il trouvait ce mode de vie trop desséchant sur le plan affectif.


Il demeura célibataire pendant dix ans tout en œuvrant auprès des plus démunis de la société. Une connaissance lui présenta, en 1984, le président fondateur du Centre d’entraide La boussole, M. Claude Provencher. Tout en travaillant au sein de cet organisme, il entreprit des études en toxicomanie et en service social.


Il a rencontré son épouse alors qu’il travaillait au sein dudit organisme. Elle était mère alors de trois enfants, deux jeunes adultes et un adolescent. Le couple a donné naissance à une fille. M. Gagnon et son épouse sont grands-parents de trois petits enfants.

 

 

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DU MÊME AUTEUR

Débardeur de vies..., Tome II - La poursuite, roman, René A. Gagnon,

Fondation littéraire Fleur de Lys

 

DÉBARDEUR DE VIES...

Tome II - La poursuite

RENÉ A. GAGNON

ROMAN

Collection Le peuple en écriture
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2015, 364 pages.
ISBN 978-2-89612-494-7
Couverture souple couleur
Format 6 X 9 pouces
Reliure allemande

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