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Si tu tombes,
relève-toi !, autobiographie, Roland
Maltais,
Fondation
littéraire Fleur de Lys
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PRÉSENTATION
Si tu tombes, relève-toi !,
autobiographie, Roland Maltais,
Fondation littéraire Fleur de Lys
Roland est né à Nouvelle en 1928. Il a fait
ses études à Rimouski et s’est marié à
Smooth Rock Falls. Sa vie est une série de
déménagements et d’aventures hors du commun.
Son autobiographie nous présente un homme
courageux et modeste, qui raconte sa vie
avec chaleur et enthousiasme.
Aventures de travail dans les moulins à
papier, aventures familiales avec Lulu et
les enfants, aventures de voyage aux
États-Unis, au Mexique et en Europe.
Roland rappelle aussi le grand bonheur qu’il
a eu de s’impliquer dans les sports, dans la
Baie-des-Chaleurs ainsi que dans les Jeux du
Québec.
Le ton est à la confidence. On découvre sous
ce texte un excellent conteur, un homme
épris de justice, un homme de devoir et qui
a réussi sa vie.
«Si tu tombes, dit-il, relève-toi ! Et ne
capitule jamais !»
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EXTRAIT
Si tu tombes,
relève-toi !, autobiographie, Roland Maltais,
Fondation littéraire Fleur de Lys
À mon épouse de toujours Lucienne
Mes enfants
Jocelyne
Gérald
Daniel
Denise
Guylaine
Mes petits-enfants
René
Isabelle
Dominique
Philippe
Maxime
Ève Marie
Sandrine
Karine
Jennifer
Chantal Marie
Mes arrière-petits-enfants
Blanche Dilan
Jérome Owen
Benoit
Remerciements
Je tiens à remercier de tout cœur Mme
Pauline E. Roy, pour avoir écrit à
l’ordinateur mon brouillon, et un donateur
anonyme qui a défrayé le coût de
l’impression de ce livre.
Merci surtout à Lulu pour sa compréhension,
car je l’ai quittée bien des heures pendant
trois ans, pour me consacrer à mon
manuscrit.
* * *
Si tu tombes, relève-toi
Si tu rencontres un obstacle
Passe par-dessus, s’il est trop gros,
Contourne-le. Mais ne capitule jamais !
Roland Maltais
Introduction
Ce qui suit est un bref résumé de ce qu’a
été ma vie, avec ce qu’il me reste de
souvenirs, avec des hauts et des bas, des
joies et des peines, des réussites et des
déceptions. De mes souvenirs, certains sont
joyeux, gratifiants, flatteurs et même
sécurisants. D’autres sont douloureux,
choquants, décourageants et
incompréhensibles. Devrais-je entrer dans
les détails de ces qualificatifs en me
racontant ? Ce n’est peut-être pas une bonne
idée, quoique ça permettrait aux lecteurs de
connaître ce qu’ont été, à mon égard, les
individus que j’ai eu le privilège ou la
malchance de côtoyer durant toutes mes
années. Ça risquerait d’égratigner certaines
personnes qui me sont très chères, et d’en
blesser d’autres inutilement, ce qui
pourrait ressembler à un règlement de
comptes. Donc, je me contenterai d’omettre
certaines vérités.
* * *
Le début
Je suis né le 13 mai 1928 et mes souvenirs
les plus lointains remontent aussi loin que
le début de l’automne 1929. Je me rappelle
que ma tante Douce m’avait fait cadeau d’un
petit habit de matelot de couleur bleu
marine avec une bordure blanche sur la
chemise, il y avait une petite poche dans
laquelle se trouvait un petit sifflet en
bois qui était aussi retenu par un cordon
passé autour du cou. Grand-père Maltais
était assis au bout du poêle, me retenant
entre ses genoux pour m’empêcher de tomber.
Après beaucoup d’efforts et de patience, il
réussit à m’enseigner à siffler comme un
vrai matelot, disait-il. C’est le seul
souvenir que j’ai de lui, il décéda le 26
novembre 1929 à l’âge de 73 ans.
On habitait à Nouvelle, la partie Est (qu’on
appelait à l’époque Drapeau à cause du
bureau de poste). La maison paternelle était
construite sur une côte près de l’école et
nos voisins étaient d’un côté le moulin à
farine et la forge de monsieur Edmond Landry
(dit Pandoux), et de l’autre côté ma tante
Douce et le garage de monsieur Antoine
Savoie (parrain à Bernard). Le paysage était
très beau : nous avions une très belle vue
sur la rivière qui se séparait en trois
branches devant la maison à 200 mètres.
Par une belle journée d’été, très chaude,
voyant plusieurs enfants dans la petite
rivière, j’invite Pierre, Raymond et Alonzo
à me suivre et on va se baigner. Maman s’est
vite aperçue que tout à coup c’était devenu
tranquille autour de la maison. Elle n’a pas
eu à chercher longtemps pour nous retrouver.
Elle a vite entendu les cris de joies venant
de la rivière. À notre grand désespoir,
notre baignade a vite été interrompue et
étant ‘’le plus vieux‘’, j’étais le seul
coupable puisque j’étais supposé donner
l’exemple.
Si ma mémoire est bonne, j’ai reçu une
claque aux fesses à tous les 10 pieds
jusqu’à ce qu’on soit rendus à la maison.
Pour terminer l’aventure, maman nous a fait
comprendre à sa façon qu’il faudra apprendre
à nager avant de retourner se baigner.
J’avais alors une douzaine d’années.
L’héritage
Vers la même époque, oncle Willie qui
s’était marié en 1929, travaillait dans un
moulin à scie qui appartenait à un nommé ‘’Turney’’.
Son travail consistait à huiler ou graisser
toutes les phares qui en avaient besoin, à
la grandeur du moulin. En voulant huiler un
‘’ bearing ‘’ à l’arrière d’un ‘’tightner’’
(tentionneur) de courroie, sa manche de
chemise fut aspirée entre le rouleau et la
courroie et le bras qui tenait le huilier
lui passa entre les deux, lui broyant
totalement la main et l’avant-bras. Il fut
immédiatement transporté à l’hôpital de
Campbellton où on lui coupa le bras 4 pouces
en bas du coude. Il avait à peine 30 ans.
Papa, qui était marié depuis moins de 10
ans, allait payer cher son héritage (la
ferme). Déjà, il gardait grand-père et
grand-mère Maltais, tante Douce et ses trois
enfants et par la force des choses oncle
Willie et tante Cadie.
C’est certainement durant cette période que
papa et maman ont gagné leur ciel. Pour
suffire à la tâche, les deux devaient
travailler de 12 à 16 heures par jour et 7
jours par semaine. Cette situation ne dura
pas longtemps, puisque grand-père décéda en
novembre 1929 et oncle Willie partit pour
l’Ontario aussitôt que son bras fut guéri et
qu’il se fit fabriquer une prothèse
(crochet) pour pouvoir travailler.
La famille
Pendant ce temps, maman était presque
toujours enceinte; la nature lui avait donné
la capacité de travailler à ses travaux
ménagers jusqu’au jour de l’accouchement. Je
me rappelle l’avoir vue laver le plancher de
la cuisine à genoux après dîner… et à trois
heures le bébé était né ! On l’a appelé
Aurèle.
Ce qui précède s’est passé durant ce qu’on a
appelé La grande dépression ou La grande
noirceur de 1929 à 1939, soit le début de la
seconde guerre mondiale. L’histoire nous
rappelle qu’après le ‘’Krash’’ de la bourse
en 1929, il n’y avait plus de travail, plus
d’argent, toutes les entreprises et
manufactures étaient fermées, les seuls qui
pouvaient espérer vivre décemment et manger
à leur faim étaient les fermiers, mais pour
nourrir, habiller et chauffer tout le monde,
il fallait travailler presque jour et nuit.
Aujourd’hui, quand on est porté à se
plaindre, on devrait se rappeler ce que nos
parents ont eu à souffrir pour qu’on puisse
vivre dans l’abondance.
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BIOGRAPHIE
Roland Maltais
Roland est né à Nouvelle en 1928. Il a fait ses
études à Rimouski et s’est marié à Smooth Rock Falls. Sa vie est une série de
déménagements et d’aventures hors du commun.
Son autobiographie nous présente un homme courageux et modeste, qui raconte sa
vie avec chaleur et enthousiasme.
Aventures de travail dans les moulins à papier, aventures familiales avec Lulu
et les enfants, aventures de voyage aux États-Unis, au Mexique et en Europe.
Roland rappelle aussi le grand bonheur qu’il a eu de s’impliquer dans les
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Le ton est à la confidence. On découvre sous ce texte un excellent conteur, un
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«Si tu tombes, dit-il, relève-toi ! Et ne capitule jamais !»
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