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Mon combat sans fin,
Simone Perrier, histoire vraie,
Fondation
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PRÉSENTATION
Mon combat sans fin, Simone
Perrier, histoire vraie,
Fondation littéraire Fleur de Lys
Ce livre a été écrit pour
faire comprendre au peuple québécois comment
le gouvernement discrimine les personnes
adoptées. C'est déplorable de voir le peu
d'écoute que le gouvernement a pour nous,
surtout les adoptées de l'époque de 1930 à
1970.
Quand on est dans l'opposition, on nous fait
des promesses que la loi sera colligée
rapidement, mais une fois au pouvoir, c'est
l'impasse. Nous sommes un groupe de
personnes qui a entre cinquante et
soixante-dix ans et nous ne comprenons pas
le raisonnement du gouvernement dans ces
dossiers. On nous sacrifie encore pour
protéger les familles et surtout certains
géniteurs. L'odieux de cette problématique,
c'est que le gouvernement nous condamne à ne
jamais connaître notre véritable identité,
quand la mère est décédée. Ailleurs, c'est
le contraire. On remet à la personne le nom
de la mère biologique ainsi que les
informations nominatives. Ici, au Québec on
nous condamne à l'ignorance. Pourquoi ?
L'Avant-projet de loi, de la ministre de la
Justice est de prioriser les nouvelles
adoptions mais de garder les anciennes
adoptions dans le statu quo. C'est ça
l'équité du Québec ?
Pourquoi ne peut-on pas faire comme ailleurs
? Qui protège-t-on à nos dépens ? Ce n'est
pas de la discrimination cette façon de
faire ? Encore nous sacrifier pour la faute
de l'autre qui ne veut pas être connu. C'est
une vision vraiment scandaleuse. J'aimerais
savoir comment nos décideurs aimeraient être
une personne adoptée, avec des idées aussi
discriminatoire ?
L'Ontario a ouvert ses dossiers le 9 juin
2009, pourquoi Québec ne peut pas faire de
même ?
Pensée d'Odile Jacob : « Dès l'instant où
des scientifiques, des politiciens, des
philosophes, etc. Répètent et habitent la
même théorie, ils s'adorent entre eux, mais
haïssent ceux qui en récitent une autre. La
théorie prend une fonction de clan et non
plus de pensée».
Boris Cyrulnik mentionne : «Nous habitons un
monde interprété par d'autres où il nous
faut prendre place». Il mentionne aussi :
«Moins on a de connaissances, plus on a de
convictions».
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EXTRAIT
Mon combat sans fin,
Simone Perrier, histoire vraie,
Fondation littéraire Fleur de Lys
Remerciements
Je tiens à remercier mon tendre époux, Yvon,
qui a toujours compris ma souffrance de ne
pas connaître mon identité de naissance. Il
m'a acceptée tel que j'étais sans préjugé.
C'est aussi lui qui m'encourage à ne pas
lâcher prise et qui espère comme moi, à ce
que je connaisse ma vérité.
Un grand merci à mes enfants, Diane, Sylvie
et Jean de m'appuyer dans mon combat.
Un grand merci à Normay St-Pierre du
Mouvement Retrouvailles de m'avoir suggéré
la Fondation littéraire Fleur de Lys.
Un grand merci à Diane Poitras, une autre
battante qui m'encourage par ses conseils,
sans lâcher prise pour elle-même.
Un merci particulier à notre Présidente du
Mouvement Retrouvailles, Madame Caroline
Fortin, qui se dévoue corps et âme pour
l'avancement de notre cause. L'ouverture des
dossiers adoption pour tout le monde. Le
droit aux origines.
Introduction
Ce livre est écrit pour vous faire
comprendre la discrimination que le
gouvernement du Québec fait subir aux
personnes adoptées de l’époque de La Grande
Noirceur.
Une personne adoptée est avant tout un être
humain avec des droits comme tout le monde.
Malheureusement cette dimension semble
différente pour les législateurs. Parce que
nous sommes adoptées, nous perdons nos
droits fondamentaux comme le droit à nos
origines, à notre génétique et à notre
histoire.
Dans la catégorie des personnes légitimes,
vous êtes heureux de faire votre arbre
généalogique vers la quarantaine ou la
cinquantaine. C’est une dimension importante
pour vous faire comprendre l’histoire de vos
ancêtres, leurs vécus et leurs évolutions.
ILLUSTRATION (ci-dessus) - La moitié du
visage de l'auteur. Un dessin qui sera
complété par l'artiste lors que l'auteur
aura retrouvé ses origines.
Pour les personnes adoptées, elles sont
devant le néant. L’histoire qu’elles ont
apprise est celle de leurs parents adoptifs
pour laquelle elles n’ont rien en commun. Le
sang qui coule dans leur veine est celui de
leurs familles biologiques et non de leurs
familles adoptives. Cela n’a rien à voir
avec de l’ingratitude. Dans la majorité des
cas, les personnes adoptées sont très
reconnaissantes envers leurs parents
adoptifs. C’est une question de logique et
de bon sens. Les personnes adoptées ont
donné naissance à des enfants qui sont eux
aussi privés de leur histoire paternelle ou
maternelle car l’un de leurs parents est une
personne adoptée. Il en est de même pour les
petits enfants.
Réalisez-vous que l’histoire généalogique de
ces personnes est totalement faussée ?
La législation du Québec concernant
l’adoption doit être totalement changée.
Connaître ses origines est un droit
fondamental. Ce droit est pour les personnes
adoptées, car tous les légitimes savent qui
sont leurs ancêtres, les personnes adoptées
sont gardées dans l’ignorance de cette
vérité et c’est là, le point
discriminatoire.
Connaître ses origines est un droit et non
un crime comme semble le croire le
gouvernement. Que fait-il des Droits à
l’égalité ?
LA LOI NE FAIT ACCEPTION DE PERSONNE ET S’APPLIQUE
ÉGALEMENT À TOUS, ET TOUS ONT DROIT À LA
MÊME PROTECTION ET AU MÊME BÉNÉFICE DE LA
LOI, INDÉPENDAMMENT DE TOUTE DISCRIMINATION,
NOTAMMENT DES DISCRIMINATIONS FONDÉES SUR LA
RELIGION...
Au Québec n’eut été de la religion, nous
n’en serions pas là à quémander notre
vérité.
LES DROITS DE L’HOMME : « Tous les êtres
humains naissent libres et égaux en dignité
et en droits. Ils sont doués de raison et de
conscience et doivent agir les uns envers
les autres dans un esprit de fraternité ».
« Chacun peut se prévaloir de tous les
droits et de toutes les libertés proclamés
dans la présente Déclaration, sans
distinction aucune, de religion ou de
naissance. »
« Si le droit à la vie privée des parents
biologiques importe, la quête identitaire de
l’adopté importe tout autant ». − Maître
Alain Roy
Toute personne qui veut connaître sa vérité
devrait y avoir droit et dès l’âge de 14 ou
16 ans, comme on le fait en Angleterre et en
Allemagne.
Refusé l’identité de la mère à des personnes
de 50 ans et plus est la plus grande
discrimination que le Québec fait subir à
ses concitoyens et concitoyennes.
VIVE LE DROIT AUX ORIGINES POUR TOUT LE
MONDE.
Simone
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BIOGRAPHIE
Simone Perrier
Je
suis née en 1940 dans un Québec très puritain. À cette époque tout enfant qui
naissait hors des liens du mariage, devait être abandonné étant donné que nous
étions les enfants du péché.
Heureusement, j'ai eu la chance d'être adoptée par une très bonne famille. Je
fus acceptée comme l'enfant de la famille. Je me suis donc épanouie normalement.
Personne de la famille, ne faisait allusion que j'étais une enfant adoptée.
Je peux donc avouer que j'ai eu une jeunesse heureuse. Je n'ai jamais manqué de
rien, tout m'arrivait sans que je le demande. À l'âge de six ans, je commençai
l'école primaire et tout se passa sans anicroche. Sans être une première de
classe, j'ai toujours réussi mes cours. J'étais celle qui se maintenait au
centre. Pas première et pas dernière, alors j'avais toujours les notes
nécessaires pour avancer. J'ai aussi fait mes études supérieures comme on les
nommait en 1957. J'ai terminé mes études à 17 ans et je rentrai au Comité
conjoint des métiers de la construction comme dactylographe.
J'ai aussi rencontré l'homme de ma vie, en septembre 1960, nous convolèrent en
justes noces. De cette union est né, trois filles et un garçon. Je fus donc
femme au foyer pendant seize ans. À trente huit ans, je retournai sur le marché
du travail. Je trouvé un poste chez Hoffman Laroche Pharmaceutique, au service
médical. J'étais entourée de médecins et de docteurs en pharmacologie.
J'admirais ces jeunes hommes d'avoir une aussi belle carrière. Je décidai de
retourner aux études. J'avais quarante ans. Je fis donc un recyclage du niveau
Secondaire V, soit l'équivalent de ma I2ième année, que je réussis
facilement.
Par la suite je fis une demande à l'Université Concordia, pour des études en
Library Study. Je fus acceptée et je poursuivie ces études pendant quatre ans.
Je dus abandonner mes études pour des causes de santé. Cependant je ne regrette
rien. Après un mois de repos, je retournai au travail. J'ai quitté Hoffman
Laroche et je suis rentrée dans une bibliothèque privée où j'y ai travaillé
pendant quatre ans et demi. Par la suite j'ai travaillé pour des agences de
placements pendant deux ans. J'ai bien aimé l'expérience. La mort de mon père
m'a beaucoup perturbée. Je n'arrivais plus à me concentrer, c'était le vide
autour de moi. J'ai donc abandonné mon travail de bureaucrate pour créer ma
petite entreprise, aidante en soins domestiques pendant une dizaine d'années.
Chose étrange, ce fut des années de bonheur pour moi. J'avais une clientèle en
or, médecins, avocats, hommes d'affaires etc. On était satisfait de mon travail
et on appréciait mon honnêteté et mon intégrité. Je travaillais dans le calme,
aucune pression autour de moi ce qui était bon pour mon équilibre.
Je suis maintenant à ma retraite que je savoure avec un grand plaisir. Pour une
fois dans ma vie, je fais ce qu'il me plait quand je le veux. C'est formidable
la retraite.
Simone
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COMMUNIQUER AVEC L'AUTEUR
Simone Perrier
Simone Perrier
se fera un plaisir de lire
et
de répondre personnellement à vos courriels.
Adresse
de correspondance électronique :
simoneperrier@hotmail.com
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