|
FAIRE
CHANTER LA VIE
Histoire de mon fils Daniel, décédé en
l'an 2000
après une vie aléatoire de 38 années
THÉRÈSE DÉSY-BEAULIEU
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Laval, Québec, 2009, 216 pages.
ISBN 978-2-89612-268-4
|

Thérèse Désy-Beaulieu
Québec
|
COUVERTURES
Faire chanter la vie, histoire vraie,
Thérèse Désy-Beaulieu,
Fondation littéraire Fleur de Lys
Cliquez sur les couvertures
pour agrandir |

Cliquez sur la couverture pour agrandir |

Cliquez sur la
couverture pour agrandir |
-
|
PRÉSENTATION
Faire chanter la
vie, histoire vraie, Thérèse Désy-Beaulieu,
Fondation littéraire Fleur de Lys
« Nous croyons que votre fils est sourd et
autistique, il ne pourra jamais marcher ni
parler. De plus, il n'arrivera pas à être
continent. C'est à peu près ce que l'équipe
médicale d’un hôpital de Montréal me
raconte à propos de Daniel, enfant chéri né
quatre ans auparavant ! »
Cette
histoire de Daniel a été écrite en pensant
aux mamans et papas qui ont à faire face à
un diagnostic alarmant et implacable
concernant un nouveau-né ou un petit enfant.
Ces parents qui ne savent pas à quoi
s’attendre, auront à surmonter tous les
aléas d’une vie pas comme les autres tant
pour eux que pour leurs autres enfants et
surtout pour ce petit être cher. Il suffit
d’être patient et d’espérer que de temps en
temps se présentent des événements
inattendus et imprévus.
« Ce récit est porté par une
formidable énergie, celle d’une
mère qui s’est acharnée à
transformer une situation en
apparence désespérée et qui, ce
faisant, découvre ses capacités
insoupçonnées. Tout au long de
cette entreprise, on découvre
aussi que l’inattendu arrive −
une aide imprévue, des résultats
surprenants − et qu’il est
possible de faire chanter la
vie. »
Ludmilla Bovet |
|
--
EXTRAIT
Faire chanter la
vie, histoire vraie, Thérèse Désy-Beaulieu,
Fondation littéraire Fleur de Lys
Préface
de Ludmilla Bovet
Voici l’histoire d’un enfant. C’est un enfant né avec une
malformation cardiaque et qui ne devait pas vivre. Non seulement il
a vécu mais il est devenu un homme. De plus, il a réussi à surmonter
un deuxième handicap dû à un accident resté inexpliqué lors de son
premier séjour à l’hôpital, à l’âge de huit mois.
C’est l’histoire d’une longue patience et d’une longue inquiétude.
Jour après jour, la maman de Daniel repousse les limites que les
médecins ont fixées au développement de son enfant ; elle s’efforce
en même temps de maintenir l’indispensable équilibre familial tout
en exerçant une profession qui la passionne. Il faut de plus
affronter l’incrédulité de l’équipe médicale : à force de patience,
l’enfant est devenu propre, il a appris à parler, il a réussi à
marcher. Et voilà qu’à l’âge de cinq ans, le rapport d’une équipe de
spécialistes le déclare sourd et autiste − alors qu’il écoute de la
musique et qu’il chante juste !
Comme les parents étaient démunis face au milieu hospitalier il y a
quarante ans ! Daniel, né en 1962, passe plusieurs mois de sa vie de
bébé à l’hôpital ; durant tout ce temps, sa mère n’a pas la
permission de le prendre dans ses bras, pas même de le toucher,
parce qu’elle n’est pas infirmière ! Elle le regarde au travers
d’une vitre... « Il n’y a pas de mot approprié pour qualifier un tel
règlement devant lequel nous courbions l’échine. » Aujourd'hui, les
membres de la famille peuvent dormir tout près de leur enfant
malade. « Aujourd’hui, c’est important. Pourquoi ? Ça n’était donc
pas important il y a quarante ans ? » Par ailleurs, sur le plan
matériel, l’assurance maladie n’existait pas et tous les frais
étaient à la charge des parents, y compris les déplacements
lorsqu’on habitait une région éloignée.
En contrepoint de la « cruauté » hospitalière et médicale qui met en
doute les ressources des mères − on a conseillé aux parents de
placer Daniel en famille d’accueil − s’imposent magnifiquement
l’abnégation et la bonté de tous ceux qui ont apporté leur aide, par
exemple Rose ou le directeur de l’école spécialisée qui ne prenait
pas de vacances pour éviter de perturber les enfants.
Ce récit est porté par une formidable énergie, celle d’une mère qui
s’est acharnée à transformer une situation en apparence désespérée
et qui, ce faisant, découvre ses capacités insoupçonnées. Tout au
long de cette entreprise, on découvre aussi que l’inattendu arrive −
une aide imprévue, des résultats surprenants − et qu’il est possible
de faire chanter la vie.
Ludmilla Bovet
Liminaire
J’ai commencé à rédiger ce résumé de la vie de Daniel quelques mois
après son décès en l’an 2000 ; à plusieurs reprises j’ai tenté de
poursuivre, mais mes états d’âme entravaient ce travail laborieux et
pénible. Par un étrange hasard, la maladie a frappé mon mari
exactement deux ans après la disparition de Daniel, au mois d’août.
Cinq mois plus tard, lui aussi partait vers un monde qu’on dit
meilleur.
Au mois d’août 2006, j’ai entrepris de foncer et de me rendre
jusqu’au bout, malgré les sentiments qui sont venus me hanter et me
faire revivre à la fois la douleur intense de ces moments difficiles
et l’infinie tendresse des souvenirs heureux. Les nombreuses notes
que Jean et moi avons écrites lors des passages pénibles de la vie
de Daniel, surtout à compter de la période où il a tenté de rompre
le cordon ombilical jusqu’à la détérioration progressive de son
système immunitaire, ont contribué à m’inspirer et à rendre réaliste
ce récit pathétique.
Première partie - Chapitre 1
Un nouvel enfant
Fin août de l’année 1962 : le soleil a déjà signalé son déclin
imminent − l’été est court en Abitibi − j’attends la naissance de
mon nouveau bébé, le quatrième. Victime de ce qu’on appelle un
relâchement de la symphyse pubienne aggravé depuis plusieurs
grossesses, j’ai consulté cette fois un gynécologue de Québec −
parce que, chez moi, on n’en trouvait pas à cette époque − qui m’a
mise au courant des difficultés prévisibles lors de l’accouchement.
Il s’agissait de douleurs qui seraient insupportables pour la mère
au moment de la délivrance, m’avait-il dit. Ce spécialiste m’avait
fortement suggéré que l’accouchement se passe dans la capitale et
que l’on procède par épidurale. À l’examen, rien n’avait laissé
soupçonner la moindre anomalie à propos de l’enfant. Réflexion
faite, accoucher au loin semblait compliqué. Donc, après maintes
considérations et discussions, puisque les épidurales se faisaient
dans notre région, nous décidâmes que le petit naîtrait dans notre
ville.
Étant donné que j’aurai besoin de repos après la naissance, cela va
de soi, Jean, mon mari, prend les choses en main. Le premier mois
qui suit sa naissance, Daniel sera aux bons soins d’une nounou. Je
lui rends visite régulièrement et j’ai bien hâte d’avoir le feu vert
pour le ramener chez moi. Je ne remarque pas que son teint est
légèrement bleuté : il est si beau ! Il dort toujours à poings
fermés et je ne puis, je ne dois pas avoir d’inquiétude. Avec le
recul du temps, c’est un défi à la raison. Ce qui se trame est
effarant et moi, je reste dans l’ignorance, je ne me pose même pas
de question. Dans mon voisinage, chacun tourne gentiment la tête,
m’évite, chuchote, parle tout bas, rien ne doit être révélé de la
situation. Le mot d’ordre a été donné. Je dois bien être la seule
dans toute la ville à ne rien savoir. Le téléphone arabe est un
instrument bien précieux pour colporter les nouvelles. Il ne sonne
pas à la maison.
Obtenir un exemplaire
|
-
SUIVI MÉDIAS ET INTERNET
Faire chanter la vie, histoire vraie,
Thérèse Désy-Beaulieu,
Fondation littéraire Fleur de Lys
Cliquez sur les logotypes
des médias et/ou sites Internet ci-dessous.

▲ Cliquez sur le logo ▲ |

▼ Cliquez pour agrandir
▼

▲
Cliquez pour agrandir ▲
|
|
 |
BIOGRAPHIE
Thérèse Désy-Beaulieu
Née à Montréal, Thérèse Désy-Beaulieu a vécu
sa jeunesse et fait ses études à Québec, s’est mariée, a
passé plus de trente ans à Amos et Val-d’Or, où elle fut
journaliste, puis adjointe au directeur de l’information des
Échos abitibiens, éditrice du Val-d’Or Star ; également,
membre-fondateur à Val-d’Or d’un club Richelieu de femmes
d’affaires.
De retour à Québec en 1984, elle écrit pour la revue La
Barrique. Elle est membre de la Presse gastronomique, de la
Société d’Étude et de conférences ainsi que de la Société
des Écrivains francophones. Elle a beaucoup voyagé : Europe,
Afrique, Moyen-Orient, Russie, États-Unis, Mexique, Grand-Nord québécois. |
Obtenir un exemplaire
|
--
COMMUNIQUER AVEC L'AUTEUR
Thérèse Desy-Beaulieu
Thérèse Désy-Beaulieu se fera un plaisir
de lire et de répondre personnellement à vos
courriels.
ADRESSE DE COURRIER ÉLECTRONIQUE :
tedybe@videotron.ca
|
-
OBTENIR UN EXEMPLAIRE
Faire chanter la vie, histoire vraie, Thérèse
Désy-Beaulieu,
Fondation littéraire Fleur de Lys
Faites un don à la Fondation littéraire Fleur de Lys
pour obtenir votre Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible
ou numérique du livre annoncé sur cette page.
Faites votre choix :
Versement de
votre don en ligne avec le service PayPal (carte de
crédit)
Versement de votre
don par la poste (chèque ou mandat poste en dollars
canadiens)
Besoin d'aide ?
Courriel :
contact@manuscritdepot.com
Téléphone (Lévis, Québec) : 581-988-7146
Versement de votre don en ligne avec le
service PayPal |
Exemplaire papier |
Exemplaire numérique |
Résidents du
Canada
24.95$ CAD
Tout inclus
Livraison : 15 jours ouvrables
|
Résidents
ailleurs dans le monde
Écrivez à l'adresse suivante car des frais de
postes s'appliquent.
renee-fournier@bell.net |
Résidents du
partout dans le monde
7.00$ CAD
Tout inclus
Livraison : 15 jours ouvrables
|
Versement de votre don par la poste
(chèque ou mandat poste en dollars
canadiens) |
1 |
2 |
3 |
Indiquez sur un papier
Le titre du livre
et le nom de l'auteur
Votre nom (prénom
et nom de famille)
Votre adresse postale complète
Votre adresse électronique
Votre numéro de téléphone |
Complétez votre chèque payable à l'ordre
de
Fondation littéraire
Fleur de Lys inc. |
Précisez le montant
sur le chèque
Exemplaire papier : non disponible : non disponible : non disponible
Canada
24.95$ canadiens
Tout inclus
Livraison : 15 jours ouvrables
Ailleurs dans le monde
Écrivez à l'adresse suivante pour connaître le montant du
don demandé car des frais de poste s'appliquent :
renee-fournier@manuscritdepot.com
Exemplaire numérique
Partout dans le monde
7.00$ canadiens
Tout inclus
Livraison : 15 jours ouvrables
|
4 |
Adressez-le tout à
Fondation littéraire Fleur de Lys
31, rue St-Joseph,
Lévis, Québec,
Canada.
G6V 1A8 |
|
|
|
|
|
-
-
|
|