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Je mettrai le feu
à ton Âme
Poésie
Thérèse Veilleux
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Fondation littéraire Fleur de Lys,
Montréal, 2007,
312 pages.
ISBN 978-2-89612-221-9
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Lumières de l'âme
Les écrits de l’auteure témoignent de la violence
de sa passion d’où toute tiédeur est bannie : ardeur
survoltée qui transpire de son amour, de ses
fièvres, de sa douleur ou de sa hargne.
Chez elle, rien n’est neutre et immobile. Les
émotions et les abstractions s’animent,
s’entrechoquent : tout est mouvance, tout est
parole, tout devient lutte pour la survie.
À la passion amoureuse succède parfois les
déboires ou les désespoirs et s’interdire de les
dire, de les chanter, de les proclamer ou de les
crier serait faire injure à la réalité.
L’appel constant qu’elle adresse aux forces vives
les mobilise pour débusquer la noirceur et déboucher
sur un horizon de Lumière.
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COUVERTURE DE PRESSE
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TABLE DES MATIÈRES
À mes enfants
Prologue...
Prise de Parole...
La voix du poète...
Mes mots...
Toi qui liras...
Hymnes à l’Amour...
À te chercher...
Ballade…
Chant d’amour...
Délire...
Éruption…
Fille du Temps...
Jour d’amour…
Je dis…
Le feu à brûler…
La Mer vaincue…
Mon symbole…
Nuit et sang…
Où es-tu...
Possession...
Silence rompu...
Si tu me donnais...
Transe...
Ton nom...
Le poids des Ombres...
Autant…
Adultère…
Au royaume d’Hades…
Apatride…
Absence...
Adieu…
Crescendo...
Brouillard…
Cauchemar et clarté...
Chaque jour....
Départ...
Effroi…
Éclipse...
J’ai mal …
Hiver...
Il y a ...
La coupe rase…
Mon rire…
Musiques…
Souffrance ...
Jusqu’à la lie ...
Naufrage...
L’appel des Clartés...
À un poète…
Alleluia!...
Échec…
Espoir…
Feu…
Immersion…
Je ne pleure plus…
Je balbutie…
Jardins de nuit...
Mélancolie…
Mon cri…
Naissance...
Réconciliation...
Résistance...
Réveil...
Sauvetage...
Sursis...
Transfuge...
Épopée lumineuse...
Aube...
Éveil...
Liberté…
Métamorphose…
Purification...
Quand tu viendras…
Recommencement..
Retrouvailles...
Trève…
Terre promise...
Une patrie...
Errances…
Inhumation...
Incommunicabilité...
Indécence…
Le temps...
Les rides…
Mystère...
Momification…
Marasme…
Mirage…
Osmose…
Port d’attache...
Rupture...
Sacrifice...
Soif...
Soirs...
Solitude...
Subterfuge...
Voyage sur les volutes d’une pensée libre…
Fraternité…
Vieillesse...
À mon père…
À mes enfants…
À celui qui s’en est allé...
Élégie pour mes frères...
Femme…
Une femme veille...
Variations…
Anarchie…
Appel…
Chant d’amour pour mon Québec…
Dépaysement…
Décadence…
Ennui...
Fuite...
Les Purs…
L’heure du sarcasme...
Triste flambée...
Destin…
Distance…
Utopie...
Rencontre...
Dame la Mort…
Au sujet de l’auteure
Communiquer avec l’auteure
EXTRAITS
Transe...
La douceur coule de tes mains
et inonde mon corps
tu tangues mes délires
sur la mer houleuse de tes caresses
où tu me berces
comme foyer d’ondes euphoriques
Lentement je glisse et me perds
dans l’abîme fou de tes ferveurs
où tu m’entraînes
vers des pays aux mille constellations
ma tête tourne comme étoile éclatée
dans le giron de ton amour couleur de braise
Je n’entends plus
que nos souffles affolés
qui rythment tambour déchaîné
à nos tempes fiévreuses qui palpitent
et mon âme se disperse
en traînée de lumière
Des ondes démentes
encerclent notre couche
où l’extase amoureuse
opère l’osmose des corps
où tu deviens chair de ma chair
alors que je m’incarne en toi
et nous mourons tous deux à nous-mêmes
dispersés dans la fusion de nos âmes
en cet instant d’Éternité
baigné d’incommensurable douceur
Où je renais de Toi
Où tu renais de Moi
J’ai mal…
J’ai mal à ces bonheurs perdus
que je n’ai pas reconnus
et qui s’en sont allés
le cœur au creux de l’aile
Je porte avec douleur à la prunelle
comme un sceau qui me brûle
le souvenir d’un regard sombre
évanoui au sein de l’ombre
J’ai mal à cette faim qui me hante
à la soif qui habite mes entrailles
quand ma nuit veille sans trève
pour contrer
la morsure du sommeil qui gèle
J’ai mal à ce désir qui s’éreinte
j’ai mal à ces remous qui m’agitent
qui me dispersent comme écume au vent
j’ai mal à la mort qui me guette
embusquée à tous les tournants
J’ai mal à mon âme qui geint
séquestrée dans une chair étroite
j’ai mal à ma ferveur qui me consume
j’ai mal au silence de mon amour immense
qui stagne dans sa cage rouge
J’ai mal à ma tendresse
qui me pèse lourd au flanc
j’ai mal à mon chant qui saigne
j’ai mal à ma voix qui tremble
étouffée
dans l’enceinte de l’indifférence
où les lambeaux de mon cri
bariolent des murs sourds
J’ai mal à tous ces matins blêmes
qui pleurent leur complainte
sur ma vie qui se traîne
j’ai mal à mes illusions
qui se dispersent en bruine
j’ai mal aux gélivures
de la froideur qui m’entoure
J’ai mal….. à ce mal qui pleure…
Subterfuge...
Ne greffez pas sur moi
les rameaux de votre prédilection
je ne porterai pas vos fruits
aigre est votre miel à ma lèvre
et mes muqueuses s’irritent
sous l’âcreté de votre haleine
Je veux bien feindre
pour votre bon plaisir
être votre pantin favori
le fou du roi
dont vos caprices scandent
les cabrioles burlesques
Mais ne violez point
mes viscères sacrés
là est un monde fermé
à vos prunelles opaques
J’y suis reine sans roi
vous n’y voyez que brume
un mur s’élève
tel une haute colonne droite
frappez frappez vos crânes
l’obstacle n’obéit pas
Je suis folle sans roi
n’ai point la tête conventionnelle
n’ai pas le pied à vos danses
n’ai pas le coeur à vos rires
n’ai pas les mains à vos jeux
Je vous lègue mon fantôme creux
qui hante vos maisons sans feu
où craquent les rires
et fusent les faux jours heureux
mais ne suis point de la partie
Ne collez pas à mon cerveau
vos pensées
toutes de futilités habillées
j’ai tête d’envergure folle
vos lois planent
sur leur néant
sans s’accrocher
à ma lisse paroi
Vous me tenez enchaînée
je vous échappe
je fuis par les maillons
tirez tirez la laisse
vous ne traînez
que mes haillons...
Départ...
Lève-toi mon âme
la nuit descend plus bas ce soir
lève-toi mon âme
le glas tinte un départ
et les chants tristes errent
dans les sombres coulées
de mes vallées
Lève-toi mon âme
je veux étreindre mes bonheurs
je veux palper mes joies
et vivre cette nuit
debout sur ma douleur
Lève-toi mon âme
il nous faut vivre fiévreusement
dans la clandestinité de la nuit
chaque minute chaque seconde
que nous arrache
la marche du Temps
Lève-toi mon âme
l’aube s’apprête derrière la nuit
demain on viendra prendre notre ami
Et nous resterons grandes et droites
Superbes de Silence
et sans un cri
Au sujet de
l'auteur
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L’auteur est née à Sainte -Justine de
Dorchester. Elle est mère de cinq enfants.
Habitée depuis toujours d’une passion
incoercible pour la littérature en général
et la poésie en particulier, sa grande
famille et sa carrière d’enseignante
expliquent en partie qu’elle ait toujours
relégué à demain la réalisation de ses rêves
d’adolescente: publier ses écrits.
Bien qu’elle ait depuis longtemps
sagement rangé ses projets dans la boîte aux
oubliettes, voilà que sa Muse non endormie
lui suggère impérativement de saisir
l’opportunité de publier en ligne. C’est un
bonheur qu’elle |
décide de s’offrir maintenant. Et d’offrir aussi
à ses enfants et petits-enfants.
La plupart de ses poèmes ont été écrits entre les
années 1970 et 1983. Certains d’entre eux évoquent
des thèmes pertinents à l’époque et qui le sont
encore souvent. Quant aux divagations et passions
amoureuses, aux rêves qui trahissent l’ampleur des
luttes intérieures où l’âme se mutile dans ses
éternels combats…ses éternelles quêtes, rien n’a
changé pour l’humain. Et c’est la vie !
L’Amour aime l’Amour !
L’auteur n’avait pas qu’une seule passion. Plutôt
deux grandes passions : la littérature , c’est sûr,
mais aussi la défense indéfectible des droits des
femmes.
Au début des années 1970, elle devient membre de
la Société des Écrivains canadiens et membre de la
S.P.C.F. (Société des poètes canadiens-français) et
y prend une part très active en devenant « membre
directeur », secrétaire, puis à l’automne 1976, elle
accepte d’assumer la présidence de cette société
littéraire - pour un mandat qu’elle juge transitoire
. L’épuisement professionnel l’amènera à
démissionner le 22 septembre 1977.

L'auteur le soir de son 49ème
anniversaire
de naissance le 12 octobre 1981 |
Au printemps de 1974, elle devient membre
élu au Comité de la Condition Féminine
C.E.Q. et son mandat durera trois ans. Cela
lui permet de s’impliquer à fond dans les
luttes pour la cause des femmes, luttes qui
menèrent aux progrès notoires dont les
jeunes travailleuses profitent aujourd’hui .
Très jeune enfant déjà, elle se montrait
allergique à tout comportement sexiste. Chez
elle , c’était viscéral et toute sa vie fut
imprégnée de cette lutte acharnée contre les
ségrégations qui blessent.
L’amour qu’elle porte à ses cinq enfants
et à ses neuf « grands-petits-enfants » et
celui qu’elle reçoit d’eux lui procurent des
bonheurs
|
plus tranquilles. Moins tapageurs! Mais n’allez
pas croire que «la battante» est à bout de
souffle...
Merci la Vie!
QUELQUES DATES IMPORTANTES
1972 (printemps)
-
-
1973 |
Journées de la Poésie − Avec invitation de trois
Poètes québécois à la Polyvalente où l’auteure
enseigne.
Idem. |
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1973 (01/07)
|
L’auteure est promue : Chevalier de l’Ordre
International de la Renaissance des Arts et des
Lettres de France.
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1974 (14/12)
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Diplôme de Médaille d’argent au 6e Grand Concours
International 1974 de l’Académie Internationale de
Lutèce, Paris, pour son poème inédit «Jour d’Amour».
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1975
1976 (sept.)
1975-1976
1978
1983
|
Déléguée C.E.Q., chargée de mission à l’Office
franco-québécois pour la Jeunesse à Paris.
Élection à la présidence de la
Société des poètes canadiens-français
(démission le 22 sept. 1977).
Responsable du Comité de la Condition Féminine
C.E.Q.
Déléguée C.E.Q. au Congrès Mondial des Femmes à
Berlin (aut. 75).
Déléguée C.E.Q. au Congrès Mondial de la Jeunesse
à Cuba (juillet/août).
Publication du recueil de Poésie : Retrouvailles aux
Éditions Les Mains Nues.
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Madame Thérèse Veilleux se fera un plaisir de répondre
à vos courriels.
Voici son adresse électronique :
th.veilleux@sogetel.net
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