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COUVERTURES
Au
temps de la Lypsir, Les ombres oubliées – Tome 1,
roman fantastique, Tom Rock, Fondation littéraire
Fleur de Lys |

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PRÉSENTATION
Au
temps de la Lypsir - Tome 1 - Les ombres oubliées,
roman fantastique, Tom Rock, Fondation littéraire
Fleur de Lys
Résumé de la trilogie
À l’époque du temps de la Lypsir, la vie entre
toutes les races vivantes semble enfin avoir été
unifiée. Tout et chacun vit dans la joie et tente
d’oublier les tragiques événements qui ont
caractérisé cette ère. Malheureusement, aucun
d’entre eux ne semble se soucier des plans qui se
concrétisent dans l’outre-monde. L’un des plus
grands prédateurs que ce monde ait connus vient de
refaire surface et tente décidément de se venger de
ceux qui l’ont empêché de réaliser son plus grand
désir qu’il vient chercher à nouveau : la conquête
du monde des vivants. Les plus grands rois devront
alors se préparer à accueillir cette abomination
infernale qui changera à jamais l’ère des Lypsiriens.
Résumé du tome 1 - Les ombres oubliées
Le Maître vient d’être libéré des profondeurs des
ténèbres par son plus grand serviteur, Cruoss. Ils
se préparent alors à réaliser la tâche de ce premier
et d’envahir des villages entiers, anéantir les
survivants et détruire tout sur leur passage.
Malheureusement pour eux, celle-ci ne se révèle
point des plus faciles lorsqu’ils doivent se mesurer
au village de Mohk du roi Rius, un des villages les
mieux fortifiés et les plus protégés du continent.
Par contre, à sa plus grande surprise, le Maître
réalise qu’il n’est pas le premier à être passé sur
les lieux. Les ombres oubliées, ces âmes immortelles
maudites par le diable lui-même, sont venues
revendiquer leur vie afin de se libérer de cette
malédiction. Le roi Rius se doit alors de demander
de l’aide à son village voisin et envoie des soldats
afin d’accomplir cette mission. Réussiront-ils à
requérir l’aide avant que Mohk ne soit détruit ? Que
manigancera alors le Maître de son côté ?
Pourront-ils chasser ces ombres inexorables de leur
village ou seront-ils détruits avant même que le
Maître ne s’y rende ? Le temps presse…
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EXTRAIT
Au
temps de la Lypsir - Tome 1 - Les ombres oubliées,
roman fantastique, Tom Rock, Fondation littéraire
Fleur de Lys
PROLOGUE (Extrait)
Quelques années plus tôt…
Dans les plaines vertes arrosées de l’eau du matin, regardant le ciel bleu
et la brume s’envoler jusqu’au clocher du village, le jeune homme avançait
vers le puits afin d’aller y recueillir de l’eau pour abreuver les chevaux
de l’écurie. Les longs cheveux d’un blanc perçant du jeune homme caressaient
son visage parfait dans la douce brise matinale et laissaient, à quelques
reprises, entrevoir ses longues oreilles pointues si fines et pourtant si
fortes. Il portait une longue toge blanche et ses pieds reposaient sur des
sandales brunes. Il avait avec lui, un seau vide qu’il allait bientôt
remplir d’eau fraîche et froide. De taille moyenne et de posture mince, le
jeune homme semblait flotter sur l’herbe courte. Il marchait aisément.
Devant lui, un paysage magnifique et fantastique courtisait ses yeux d’un
bleu flamboyant.
Un champ avec la perfection de la verdure et les fleurs resplendissantes de
la nature s’épanouissaient sous le soleil réchauffant. Par-ci des roses
rouges, bleues, jaunes, par-là des pensées jaunes et violettes et quelques
orchidées d’un bleu royal s’exclamaient parmi les plantes et l’herbe. Au
loin, un arbre colossal protégeait le puits à son chevet. Son feuillage
était immense et son tronc avait une telle largeur inimaginable, qu’arrivé à
proximité, le paysage disparaissait à l’arrière. Un paysage si splendide.
Des montagnes au loin étaient séparées du champ par une longue rivière.
Cette dernière était riche en poisson et son calme indescriptible apaisait
la nature. Les montagnes, par leur grande hauteur, touchaient les nuages de
leur cime. Quelques oiseaux volaient au-dessus de la rivière à la recherche
de leur petit déjeuner. L’un d’entre eux aperçut un mouvement sous l’eau et
plongea en vol plané dans l’eau. Il disparut quelques secondes et ressortit
avec le fruit de son effort dans son bec. Le jeune homme sourit en voyant la
scène et regarda un bref coup d’œil derrière lui en direction du village.
Celui-ci était rendu assez loin. Une bonne heure les séparait l'un de
l‘autre. Ce dernier était petit et laissait paraître le calme. Une dizaine
de maisons tout au plus ainsi qu’une église remplissaient ce village connu
sous le nom d’Ellegea. Les maisons étaient resplendissantes. Elles étaient
de forme étrange, elles s’apparentaient aux arbres. Elles étaient plus en
hauteur qu’en longueur. On ne pouvait savoir l’attrait que ces habitants aux
oreilles pointues avaient pour les arbres, mais la nature semblait être un
don de Dieu extrêmement important à leurs yeux. Toute vie animale ou
végétale se rassasiait et grandissait à l’intérieur du village sans craindre
le moindre danger de ces gens du peuple. Ces derniers tous de grandeur
moyenne, mais élancée avaient les cheveux longs blanc doré portés jusqu’aux
épaules. Ils avaient tous les yeux de la couleur de l’océan. On ne savait
pourquoi, mais lorsqu’un humain croisait le regard de ces gens, leurs yeux
avaient un effet apaisant sur leur cible. Ces derniers avaient le pouvoir de
calmer la folie par un simple regard perçant.
Une hiérarchie peu commune régnait parmi ces gens. Il n’y avait aucun roi,
aucun dignitaire du trône n’avait de pouvoir absolu sur le peuple. La force
de la loi et des décisions était subdivisée parmi les pères descendants,
fondateurs du village. Ces derniers se rassemblaient lors d’événements afin
de se consulter et de prendre des décisions. Lorsque le temps et le dialogue
avaient réussi à faire naître un jugement, personne ne pouvait y interférer,
et quiconque ne s’y soumettait pas se voyait banni du village. Cette
hiérarchie s’était instaurée des centaines d’années auparavant et depuis, le
peuple s’y était habitué et aucun exil n’avait été rencontré depuis plus
d’un siècle.
À l’accoutumée de l’époque, ces gens vivaient vraisemblablement comme les
humains. Les hommes se chargeaient du travail à l’extérieur de la maison et
les femmes s’occupaient des enfants et des besognes familiales. Cependant,
dans cette espèce humanoïde, les femmes avaient un certain pouvoir qui
n’était pas donné aux autres humaines. Celles-ci avaient la force de la foi
et de l’Église.
« L’homme étant né au combat et la femme au lit de Dieu, celle-ci prêchera
pour la douleur provoquée par l’homme et apportera le réconfort divin au
sein du village ».
La force des muscles appartenait à l’homme et la force mentale, à la femme.
Lorsqu’un enfant se voyait, dès la naissance, pourvu de pouvoir donné par
l’essence de Dieu, il était pris sous le chevet des femmes de l’Église, et
ces dernières lui enseignaient ses pouvoirs afin de lui permettre de les
contrôler et de les utiliser à bon escient. Il était rare que ses enfants
fussent ensuite rendus aux hommes afin que ceux-ci prennent le contrôle de
leur force. Ils restaient des « Enfants prodiges ».
* * *
Le jeune homme arriva au puits et tira sur la corde
afin d’y attacher son seau. Tout en tirant, il prit une bonne respiration et
remplit ses poumons d’air frais matinal. Lorsque la corde arriva enfin à sa
hauteur, il prit son seau et la noua autour de la tige métallique de
celui-ci. Au même moment, il entendit un bruit provenant de l’arrière de
l’arbre. Le bruit ressemblait à celui du craquement d’une branche sur le
sol.
Le jeune homme déposa le seau sur le rebord du puits et se pencha lentement
vers l’arbre afin d’y voir à l’arrière. Il ne vit rien. Il s’approcha donc
de l’arbre tranquillement les oreilles tendues. Malgré son regard perçant,
il ne remarqua rien d’étrange lorsqu’il arriva complètement à l’arrière de
celui-ci. Peut-être avait-il mal entendu. Il se résigna donc et retourna
près du puits. Lorsqu’il entrevit le puits, il sursauta. Derrière ce dernier
était penché un jeune homme, un peu plus jeune qui regardait dans le fond du
trou sombre. Il avait les mêmes longs cheveux blanc doré et portait aussi
une toge blanche, mais qui tirait sur le grisâtre.
— Que fais-tu ici Gael ? demanda le jeune homme à la toge blanche. Tu n’es
pas sensé être avec père pour attraper le poisson pour le souper ?
— Père n’avait plus besoin de moi, et je voulais t’accompagner. C’est une
belle journée, le lit de la rivière n’annonce pas de pluie.
Il se pencha de plus belle et scruta le fond noir. Quelque chose semblait
attirer son attention. L’autre garçon s’en approcha afin de regarder à son
tour, mais le petit homme se retourna vers celui-ci afin de lui poser une
autre de ses multiples questions.
— Est-ce qu’il t’est déjà arrivé de te demander ce qui se cachait au fond de
ce puits ? lança-t-il à son frère. Oiram m’a dit un jour qu’un tunnel était
creusé dans ce puits menant jusqu’au-dessous des montagnes là-bas.
Ce jeune garçon dérangeait toujours son frère par ses multiples questions
parfois anodines aux yeux de ce dernier, mais qui apportait toujours une
réponse réconfortante et intéressante au petit homme.
— Père m’en avait déjà parlé une fois lorsque j’étais plus jeune et que
j’étais curieux comme toi. Il m’a cependant défendu d’y descendre. De toute
façon, le puits est trop étroit et trop profond, nous ne pourrions y
descendre sans nous blesser.
— Oui, tu as peut-être raison, soupira Gael en regardant une deuxième fois
le fond du puits.
Le jeune homme prit le seau et le laissa tomber dans le trou en le retenant
par la corde. Puis comme l’effet d’une poulie, il fit descendre le seau
jusque dans le fond du puits. Il regardait Gael qui avait pris appui sur
l’arbre et qui observait les oiseaux au-dessus de la rivière. Il entendit un
bruit dans le fond du puits et comprit que le seau venait de toucher l’eau.
La lourdeur du seau le fit pénétrer dans liquide de vie. Le jeune homme
attendit quelques secondes afin que ce dernier se remplisse et se mit à
tirer sur la corde. Gael s’approcha alors de lui :
— Est-ce que père t’a déjà parlé de notre existence, d’où provenons-nous ?
le questionna-t-il.
— Il m’a déjà raconté l’histoire de nos descendants et la découverte de
notre village.
— Non, moi je te parle de l’existence de la vie entière, renchérit son
frère.
— Il ne m’en a pas parlé, soupira le jeune homme en fixant le fond du puits.
Il sortit alors le seau et dénoua la corde pour ensuite la laisser tomber
dans le fond. Il prit le récipient qui était maintenant beaucoup plus lourd
qu’au début et se dirigea vers le village en compagnie de son jeune frère à
ses talons.
Il arriva à Ellegea et se dirigea vers l’écurie. Celle-ci était grande, elle
avait une capacité pouvant atteindre une dizaine de chevaux.
Malheureusement, en raison du faible revenu de son père, sa famille ne
pouvait se permettre que d’en avoir trois. Il y en avait un pour lui, un
pour son jeune frère et un pour son père. Ce dernier partait souvent tôt le
matin à cheval afin d’aller chercher le poisson, son gagne-pain. Il revenait
en fin d’après-midi. Pendant ce temps, sa femme s’occupait de la maison, des
corvées et du ménage.
Le jeune homme pénétra dans l’écurie encore avec son frère qui le suivait
toujours. Il se dirigea vers le fond du bâtiment où reposait la buvette des
chevaux. Il y déposa l’eau et avança vers l’enclos des chevaux. Ce matin,
les trois étalons étaient présents, son père étant parti à pied. Le jeune
homme avait une admiration particulière pour son cheval, car celui-ci avait
eu un vécu un peu difficile. En effet, à sa naissance, le jeune cheval avait
eu le cordon ombilical enroulé autour de son cou, ce qui lui avait fait
perdre conscience. Heureusement, son père et son oncle avaient réussi à le
lui enlever très rapidement et lui ont redonné vie. Depuis cet événement,
son père lui avait toujours dit que son cheval en garderait des séquelles et
qu’il ne pourrait être un cheval comme les autres. Le jeune homme ne pouvait
s’y résoudre et ne voulait que croire qu’il serait comme les autres et qu’il
serait encore plus extraordinaire que les chevaux du village. Aujourd’hui,
le frison a une grande ossature et est imposant. Son pelage est d’un noir
éclatant et sa crinière d’une blancheur parfaite. La seule explication que
son père avait pu trouver à ce sujet était que lors de sa naissance, le
manque d’oxygène avait enlevé la pigmentation de sa crinière, mais le jeune
homme, lui, était persuadé qu’il s’agissait d’un don que Dieu avait fait à
son cheval.
Tous les matins, il le brossait et allait faire un tour dans les pâturages
afin de le faire courir, le chevauchant.
Il ouvrit donc la barrière de l’enclos et s’approcha de son cheval :
— Bon matin Mira, j’espère que tu as passé une bonne nuit et que le sommeil
t’a été porteur de rêves merveilleux, raconta le jeune homme en prenant la
brosse qui était déposée sur la stalle à côté de la barrière. Je vais
brosser tes poils somptueux ainsi que ta belle crinière. J’espère que cela
te plaira comme à tous les jours. J’aimerais tellement que tu puisses me
comprendre, soupira-t-il.
Le cheval le regarda dans les yeux et secoua sa tête en guise
d’appréhension. Le jeune homme sourit et caressa le corps de son étalon à
l’aide de la brosse.
* * *
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AU SUJET DE L'AUTEUR
Tom
Rock
 Né
d’une famille de deux enfants et élevé dans une
petite île située dans Lanaudière tout près de
Sorel, ce jeune homme a toujours eu le retrait du
calme en sa faveur lui permettant d’y épanouir son
développement intellectuel et imaginatif. Vue la
tranquillité de cette paroisse ainsi que sa faible
population, les gens y habitant n’avaient nul autre
que le choix de s’approprier des activités
solitaires.
Avide des jeux vidéo, des séries télé d’action
telles les Tortues Ninja et les Power Rangers, son
enfance se caractérisa par l’évasion et le rêve dans
un monde virtuel. Au début de son adolescence, le
jeune homme s’intéressa beaucoup à la musique, son
passe temps était alors la guitare et la composition
de chansons ainsi que de très beaux textes. Il a
donc remarqué dès son jeune âge, l’attrait qu’il
avait envers la composition et par le fait même le
français et la littérature. Son passe temps lui
permit donc de développer son sens artistique. Il
fonda quelques petits groupes avec ses amis pour
pratiquer et approfondir son expérience musicale
sans toutefois vouloir en faire carrière. De plus,
lors de son passage au secondaire, il découvrit un
jeu qui le passionnait, donjon & dragons. Ce jeu se
déroulait à l’époque médiévale, ère qui avait
toujours fasciné l’adolescent et qui englobait
imagination, fantastique, monstres et interaction.
Puis fût venu le temps où le jeune homme devait
faire son choix de carrière. Toujours captivé lors
de son enfance par les séries policières, il termina
son secondaire en 2004 dans l’idée de devenir un
jour ce grand homme de pouvoir et de justice en
uniforme. Il fit alors une demande afin de faire des
études policières qu’il acheva en 2008 au Cegep de
Trois-Rivières. Les cours plus avancés du niveau
collégial lui permirent d’acquérir et d’apprivoiser
la langue française et son goût pour la littérature.
Ces années et son passé lui ont alors inspiré la
création d’un livre portant sur le monde médiéval et
fantastique. Cependant, avec les nombreux devoirs et
les activités à préparer il fût obligé de laisser
son livre de côté.
À la fin de tout, lorsqu’il obtint finalement son
diplôme, il voulut laisser le stress des études et
commencer à voyager afin d’alléger le poids des
responsabilités et de l’autonomie qui lui pesait
lourd sur les épaules et sur la conscience. C’est
lors de ces moments en paix avec lui-même qu’il
réalisa que l’artiste avait été enterré par ce
métier où il n’y avait de place que pour le
conventionnel et le monde réel. C’est pourquoi il
assuma le choix de cesser cette carrière qui
l’empêcherait d’être ce qu’il était vraiment. La
beauté des paysages qu’il voyait lors de ses voyages
ainsi que les parfums de l’air pur qui humectaient
ses narines lui inspirèrent un monde fantastique et
imaginaire. C’est alors que l’homme décida de
dépoussiérer son manuscrit. Il entama la réécriture
de son roman qu’il avait déjà trop longtemps laissé
de côté. Lorsqu’il acheva son premier tome, il avait
déjà les idées pour le second. Il voulut donc
publier le fruit de ses efforts. Après quelques
tentatives sans succès, il décida de perfectionner
son style littéraire en s’inscrivant, en 2010, à un
certificat en création littéraire à l’Institution de
Formation Professionnelle. C’est également pourquoi
il désire publier son premier livre. Il pourra donc
avoir la chance de se faire connaître et aussi de
vivre une nouvelle expérience.
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Tom
Rock
Tom Rock se fera un plaisir de lire et
de répondre personnellement à vos courriels.
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tom_rock@hotmail.ca
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