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COUVERTURES
Mes règlements de conte,
contes,
Christopher Di Omen, Fondation littéraire Fleur de Lys |
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PRÉSENTATION
Mes règlements de conte,
contes,
Christopher Di Omen, Fondation littéraire Fleur de
Lys
Conte : nom masculin
Sens 1 : Récit d'histoires imaginaires
généralement court
Sens 2 : Propos invraisemblables.
Synonyme : Sornette Littérature
Synonyme : Légende
Anglais : Tale
 
Voici mon troisième livre intitulé «Mes
règlements de conte». Comme son nom
l’indique, ce sont trois contes ou légendes,
pour ne pas dire des sornettes, Mahïngan et
Fagën et Dron avec lesquels je règle un
petit peu, mes comptes avec l’histoire.
J’espère qu’il vous plaira, car j’ai eu un
peu de difficulté émotionnellement à
l’écrire. Je me sentais sale parfois,
surtout avec Fagën. À part ça, je trouve
cela assez facile d’écrire un livre. J’y
mets un peu d’amour, un peu de haine, de la
joie, de la peine, je saupoudre le tout d’un
peu de c... et l’affaire est Ketchup. Alors
allez-y, faites comme moi, faites-en un et
défoulez-vous !
1. Mahingan - Ensemble face à
l’extinction
Bonjour
(Kwey) ! Je vais vous raconter dans ce
chapitre (Mazinahigan) une histoire de loup
(Mahingan) et de l’amour qu’ils ont cimenté
entre des hommes qui étaient au départ des
ennemis. Je suis Algonquin (màmiwinini) et
chaque (Pepejig) fois qu’il aura un mot dont
je connais le mot en algonquin, je vais
l’écrire (Ojibihige) entre parenthèses. Ce
conte n’est pas très long (Kinwà). Mon but,
c’est de créer une forme de pierre (Asin) de
rosette, qui servira peut-être un jour de
référence pour décrypter la langue
(Anishinàbemowin) algonquine qui se sera
éteinte.
2. Fagën - Les Gais derrière le 3e Reich
Depuis
que je suis né, je fais des cauchemars dans
lesquels les monstres sont des nazis. Je me
demande parfois si je ne suis pas quelqu’un
qui a vécu à cette époque et que mon âme
n’est pas marquée à tout jamais par les
atrocités et les souffrances que j’y aurais
subies. J’ai parlé des nazis dans tous mes
livres précédents, alors je ne pouvais pas
passer à côté de l’occasion d’écrire quelque
chose là-dessus. Malgré la répression qu’on
subie les homosexuels durant la Deuxième
guerre mondiale, l’histoire semble vouloir
cacher que ce sont eux-mêmes qui ont créé ce
monstre qu’était Adolf H_tler et cette
machine infernale qu’était le troisième
Reich. L’Allemagne des années vingt était la
Mecque des pédés dans le monde. C’est comme
cela qu’on les appelait à cette époque et
c’est comme cela qu’on les appelle encore
aujourd’hui. Je vais vous raconter dans ce
chapitre l’histoire d’un gai par qui tout a
commencé. J’espère que ce conte basé quand
même sur une certaine vérité fera Fureur,
sans vouloir faire de jeu de mots. Mais
attention, je n’ai nullement la prétention
d’être un historien et encore moins un
Druide Drag Queen de la culture des enfants
de l’arc-en-ciel.
3. Dron - L’Antéchrist au Cœur du Soviet
Voici
mon troisième conte « Dron - l’Antéchrist au
cœur du Soviet », que j’ai écrit en
m’inspirant de mon ami Andreï du fond de sa
bonne vieille Russie. Comme je l’ai déjà
dit, mon but dans la vie ce n’est pas de
faire de l’argent. Tous mes livres
précédents sont distribués à travers le
monde gratuitement. Mais cette fois-ci,
celui-ci vous avez dû le payer. Par contre,
je ne conserverai aucun dividende pour ces
histoires. Tout l’argent engendré par ce
livre va à Andreï qui vit une situation
financière précaire là-bas, comme la grande
majorité de la population de cette nation
qui pourtant contrôlait totalement ou
partiellement la moitié des pays de notre
planète il n’y a pas si longtemps. Cette
histoire nous raconte l’avènement de
l’Antéchrist dans cette époque que les
livres religieux appellent ¨La fin des
temps¨.
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EXTRAIT
Mes règlements de conte,
contes,
Christopher Di Omen, Fondation littéraire Fleur de
Lys
EXTRAIT DU CONTE 1
Mahingan - Ensemble face à l’extinction
Il était une fois, il n’y a pas si longtemps
(Kinwenj), plus précisément en 1893. Je dis,
il n’y a pas si longtemps en effet, car il y
a seulement 117 ans de cela. En regard de
l’histoire, 117 ans, ce n’est rien. Il
existe encore des personnes qui sont nées à
cette date, sur la terre (Aki). Nous sommes
en Amérique sur le flanc est de la rivière
des Outaouais. Près d’Ottawa (Odàwàg), qui
est la capitale d’un nouveau pays qui
s’appelle Canada et qui se trouve sur le
flanc ouest de la rivière. Un homme, un
Blanc (Wabishka), vient dans le village
algonquin (màmiwinini) de Kitigan Zibi
(Rivière Désert) et leur annonce ceci :
- Mes chers sauvages, mon nom est Edward
Smith. Je suis le nouvel administrateur de
vos villages qui porteront à l’avenir le nom
de réserves. Nous dirons à l’avenir réserve,
car mon gouvernement a décidé de vous
réserver des territoires. Mon titre officiel
est agent des sauvages. Votre réserve
s’étendra sur 7,5 milles acres de chaque
(Pepejig) côté de votre village. À l’avenir,
aucun Blanc (Wabishka) n’aura le droit de
s’établir (Onakisidòn) sur votre réserve.
Mais, en contrepartie, vous, les sauvages,
vous n’aurez plus le droit d’aller ou
d’acheter des terrains sur le territoire des
Blancs. Il vous faudra un permis spécial
pour quitter la réserve, ce petit carton
rose que je tiens dans ma main (Onindji) en
ce moment. Aucun sauvage n’aura le droit de
se trouver (Mikawàn) sur les territoires des
Blancs sans ce papier. Si vous quittez la
réserve pour plus de cinq (Nanin) ans, vous
allez être considérés comme des personnes
émancipées et vous n’aurez plus le droit de
revenir vous installer ici (Oma). Vos
femelles qui se marieront avec des Blancs
(Wabishka) ne seront plus considérées comme
des sauvages et devront quitter la réserve.
Mais les femmes (Ikwe) Blanches, qui elles,
se marieront avec des sauvages, seront
considérées à l’avenir comme des sauvages et
auront le droit de s’installer chez vous.
Lorsque vous quitterez la réserve, vous
allez devoir vous comporter comme des
personnes civilisées. Vous devrez porter des
vêtements de Blancs. Il vous sera interdit
de parler (Ànimitàgozi) votre langue
(Anishinàbemowin), même pas entre vous. Vous
devrez parler en anglais tout le temps. Il
vous sera interdit aussi de chanter des
chants traditionnels ou de jouer (Odamino)
du tambour (Tewehigan) en dehors de vos
réserves. Le gouvernement de l’Ontario,
anciennement connu sous le nom de Haut
(Ishpà) Canada, a décidé de créer une
réserve faunique qui portera le nom de parc
national des Algonquins (màmiwinini) et sera
située sur le côté ouest de la rivière des
Outaouais. Dans une réserve faunique, il est
interdit de chasser ou de pêcher, et encore
moins y construire quelque chose. Toutes vos
habitions situées sur le flanc ouest de la
rivière des Outaouais seront détruites et
leurs habitants seront déplacés de ce
côté-ci de la rivière, dans neuf
(Shanagaswe) autres réserves créées
généreusement par le meilleur pays du monde,
qui est le Canada. Ce parc national a été
créé pour le bien (mino) de tous. Cette
forêt (Nòpimìng) retient l’eau (Nibi) venant
du nord au printemps et empêche les
inondations au sud. En échange des terres
(Aki) qui vous sont confisquées, le
gouvernement canadien va vous remettre
chaque (Pepejig) six (Nigodwaswe) mois une
cargaison de biscuits et d’huile de morue.
Ces aliments seront payés à même la nouvelle
taxe de quarante pour cent qui sera récoltée
sur la vente de vos fourrures et autres
objets vendus aux touristes. L’argent
(Shoniya) récolté servira aussi à vous
construire des dispensaires médicaux et à
payer des Blancs (Wabishka) qui viendront
vous apprendre à cultiver (Nitàwigitòn) la
terre (Aki). Car mon gouvernement est
conscient qu’il n’y a pas assez (Tibise) de
nourriture pour vous tous sur vos nouvelles
réserves, alors vous devrez devenir des
cultivateurs si vous voulez survivre.
L’argent servira aussi à vous construire des
écoles pour vous apprendre à lire et à
écrire (Ojibihige) l’anglais. Mais en
attendant que ces écoles soient construites,
j’ai emmené avec moi trente polices montées
qui feront le tour de vos tipis et
emporteront avec eux tous les enfants
(Abinòdjìnjish) âgés de cinq (Nanin) à douze
ans, pour les emmener dans des pensionnats
chrétiens où ils recevront une bonne
éducation. La police montée est autorisée à
utiliser la force (Kàgetin) pour emmener les
enfants. Alors, toute résistance est
inutile. Et les femmes (Ikwe) qui ont épousé
un Blanc (Wabishka) devront avoir quitté la
réserve avant (Chibwàmashe) le coucher du
soleil demain. Elles, leur mari, ainsi que
toutes leurs descendances.
Deux (nij) jours plus tard (Nànàge), Inini
(Homme), un Amérindien de ce village, est
sur le bord de la rivière Gatineau en train
de nettoyer la plaie qu’il a reçue de la
police montée en essayant de les empêcher
d’emmener son fils (Gwisis) de cinq (Nanin)
ans. Un loup (Mahingan) s’approche de lui.
C’est Kizis (Soleil) son ami (Wìdjìwàgan).
Kizis a quatre (New) ans et fait partie
d’une meute de douze individus. Kizis est
très content de voir Inini. Il le lèche au
visage abondamment. Et Inini lui, le caresse
tendrement et lui dit : - Kwey
(Bonjour) mon ami (Wìdjìwàgan). Les têtes
(Oshtigwàn) carrées (ce terme
désignait les Anglais, cela vient du fait
que ces derniers utilisaient des clous avec
des têtes carrées pour ferrer leurs chevaux
et lorsque les Algonquins (màmiwinini)
voyaient des pistes de chevaux avec des fers
ayant des marques carrées dessus, ils se
disaient : « Tiens, voilà une tête carrée
qui est passée. ») ont emmené mon fils
(Gwìsis) et obligé ma femme (Ikwe) qui est
Blanche à quitter le village, parce que nous
ne sommes pas mariés. Il faut que je me
fasse baptiser (sìgandàge) avant
(Chibwàmashe) de pouvoir me marier avec
elle. Je ne sais pas où ils ont emmené mon
fils (Gwiìsis), mais ma femme (Ikwe) est
partie à Maniwaki (Terre de Marie), le
village non (Kawin) loin d’ici (Oma). Quand
(ànìn-apich) Jacques Cartier est arrivé en
Canada, nous étions plus de trois
(Niswi) cents milles éparpillés sur le bord
du fleuve Saint-Laurent et autour des Grands
(Kinòzi) Lacs. Aujourd’hui, nous ne sommes
plus que cinq (Nanin) milles étalés sur les
deux (nij) rives (Shònìyàwigamig) de la
rivière des Outaouais et de ses affluents.
Les Anglais et leurs alliés Iroquois qui
avaient des armes à feu, nous ont presque
tous exterminés. Ceux d’entre nous qui n’ont
pas été tués, ont dû s’intégrer aux bandes
iroquoises ou fuir vers le nord quand
(ànìn-apich) les Français ont capitulé. Je
croyais que nous avions atteint le fond,
mais non (Kawin), les têtes carrées nous
interdisent maintenant (Nòngom) d’aller du
côté ouest de la rivière des Outaouais.
Sinon, ils vont nous mettre dans des
prisons. Et ils nous enferment maintenant
dans ce qu’ils appellent des réserves. Nous
n’avons pas le droit d’en sortir, il nous
faut pour sortir un carton rose qui va nous
être remis de façon arbitraire par un agent
des sauvages. C’est nous qu’ils appellent
les sauvages. Si ce n’était pas de nous, les
Blancs (Wabishka) n’auraient même pas
survécu un hiver ici (Oma). Nous aurions dû
les tuer quand (ànìn-apich) ils sont
arrivés. Mais, mes ancêtres ont été très
impressionnés par leurs vêtements en métal,
leurs fusils, leurs énormes bateaux, mais
surtout par leurs canons. Ils croyaient que
c’étaient des dieux. Car les Blancs
contrôlaient le tonnerre et les éclairs, ils
contrôlaient aussi le temps avec leurs
horloges (Tibahikìziswan). Ils contrôlaient
les étoiles (Anangosh), ils pouvaient dire
exactement quand (ànìn-apich) une étoile
apparaîtrait dans le ciel (Mishakwad) et à
quel endroit elle serait dans six
(Nigodwaswe) mois. Ils avaient aussi le
contrôle de nos esprits (Midonenindjigan)
qu’ils nous montraient dans des miroirs
(Wàbamochàgwàn). Aujourd’hui pour s’excuser
de tout le mal qu’ils nous ont fait et
qu’ils continuent à nous faire, ils ont
décidé de nous donner des biscuits. Des
biscuits qu’ils vont acheter avec notre
argent (Shoniya). Ce qu’ils veulent, c’est
nous prendre nos terres (Aki) au grand
(Kinòzi) complet et ils réussiront à le
faire quand (ànìn-apich) nous serons rendus
trop vieux pour nous défendre et qu’il n’y
aura plus de descendants. Et ils vont
réussir cela en nous enlevant nos sœurs et
nos enfants (Abinòdjìnjish). Toi aussi
Kizis, ton espèce est au bord de
l’extinction. Vous étiez tellement partout
et tellement nombreux que personne n’aurait
cru possible qu’un jour quelqu’un vous
effacerait de la surface de la terre (Aki).
Ça fait deux (nij) cent cinquante ans que
les Blancs donnent une prime à ceux qui vous
capturent et vous tuent. Ça fait trois
(Niswi) ans que je n’ai pas vu d’autre loup
(Mahingan) que ta meute. Et ça fait quatre
(New) fois que tu la quittes pour aller te
trouver une femelle (Nòje) et créer ta
propre meute, mais tu es revenu chaque
(Pepejig) fois bredouille. Nous allons aller
ensemble plus au nord pour te trouver une
femelle. Mais avant (Chibwàmashe), je dois
aller récupérer ma femme (Ikwe) et mon fils
(Gwisis). À plus tard (mad-jashin) Kizis, je
t’aime (kasagiyan). Et Inini est
parti.
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AU SUJET DE L'AUTEUR
Christopher Di
Omen

Christopher Di Omen est né le 30 août 1967 à Hull.
Il est citoyen amérindien, plus précisément
Algonquin
de la bande de la rivière du Désert près
de Maniwaki. Le 26 octobre 1985, il s’est fait tirer
dessus lors d’un vol à main armée. Il a eu une balle
au bras gauche. Et depuis, il a développé la
schizophrénie et fait des psychoses tous les ans à
la date anniversaire de l’évènement. La terreur
l’envahit et cela le rend agressif et quand cette
terreur devient trop forte, il perd conscience et
c’est alors deux entités qui prennent sa place.
L’une c’est i, c’est le gentil. Il est hétéro et
écrivain. i est juste un petit garçon qui à un
moment donné a eu une bonne idée. – L’idée, c’est
d’être sorti de ma folie et de mes psychoses pour
venir vous voir, oui, Dieu existe, je vous ai vus.
Dit-il. L’autre entité, c’est Omën et lui, il est
mauvais, mais ce n’est pas un mauvais gars. Il est
gai et photographe.

Photos d’Omën et de i,
prises à deux jours d’intervalle.
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BIBLIOGRAPHIE
Christopher Di
Omen
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La pomme – Je n’ai plus la foi, maintenant
je sais
CHRISTOPHER DI OMEN
Recueil de nouvelles,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2010, 96 pages.
ISBN 978-2-89612-334-6
http://manuscritdepot.com/a.christopher-di-omen.1.htm |
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 |
Anubis – Conservation et conversation
CHRISTOPHER DI OMEN
Roman,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2010, 112 pages, illustré.
ISBN 978-2-89612-343-8
http://manuscritdepot.com/a.christopher-di-omen.2.htm |
|
 |
Mes règlements de conte
CHRISTOPHER DI OMEN
Contes,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2010, 126 pages,
Illustré par Françoise Bardin Borg
ISBN 978-2-89612-352-0
http://manuscritdepot.com/a.christopher-di-omen.3.htm |
|
 |
Mes ami(e)s – Opuscules d’un Auteur
CHRISTOPHER DI OMEN
Opinions,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2011, 124 pages.
ISBN 978-2-89612-379-7
http://manuscritdepot.com/a.christopher-di-omen.4.htm |
|
 |
Le monstre – Un schizophrène d’occasion
CHRISTOPHER DI OMEN
Roman,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2011, 82 pages.
ISBN 978-2-89612-376-6
http://manuscritdepot.com/a.christopher-di-omen.5.htm |
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 |
i VS Omën – Laissez-moi vous raconter
CHRISTOPHER DI OMEN
Nouvelles,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2011, 114 pages.
ISBN 978-2-89612-377-3
http://manuscritdepot.com/a.christopher-di-omen.6.htm |
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 |
Mes ami(e)s – L’amitié ça se construit
CHRISTOPHER DI OMEN
Biographies,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2011, 80 pages.
ISBN 978-2-89612-378-0
http://manuscritdepot.com/a.christopher-di-omen.7.htm |
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 |
Le monstre - Le gène
d'Adam
CHRISTOPHER DI OMEN
Roman,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2012, 100 pages.
ISBN 978-2-89612-401-5
http://manuscritdepot.com/a.christopher-di-omen.8.htm |
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Christopher Di Omen
Christopher Di Omen se fera un plaisir de lire
et
de répondre personnellement à vos courriels.
Adresse de correspondance électronique :
christopherdiomen@hotmail.com
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