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Les livres de Roger
Pereira |
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Religion
et spiritualité
Roger Pereira
Essai, Fondation littéraire Fleur de
Lys,
Lévis, Québec, 2011, 104 pages.
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Les chemins
de l'absence
Roger Pereira
Essai, Fondation littéraire Fleur de
Lys,
Lévis, Québec, 2012, 244 pages.
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Religion et spiritualité, essai, Roger Pereira,
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COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Religion et spiritualité, essai, Roger Pereira,
Fondation
littéraire Fleur de Lys
Le
rejet de la religion au profit de la spiritualité
(Lévis, Québec, 10 avril 2012) Les annonces de
fermeture d’églises, de regroupements
de paroisses, de transformation de lieux de culte en
édifices à condominium ou en
centres
communautaires remettent constamment à
l’avant-scène le rejet historique de la religion par
bon nombre pour ne pas dire une majorité de
Québécois.
Pour certains, il y a péril en la
demeure car ce rejet nous priverait de valeurs voire
de tout repère. Nous aurions jeté le
bébé avec l’eau
du bain
en rejetant la religion.
Il
n’en demeure pas moins que nous différencions de
plus en plus la religion de la
spiritualité pour conquérir notre liberté.
Pour
nous aider dans cette quête, la Fondation littéraire
Fleur de Lys publie RELIGION ET
SPIRITUALITÉ, un essai fort instructif signé par
Roger Pereira. L’auteur nous sort des limites du
Québec et nous invite à un constat universel à la
fois historique et contemporain : notre quête d’un
sens à la vie fut et demeure la proie de multiples
religions.
Les
récents événements ont permis à la terreur de
reprendre du service, rappelle l’auteur : «La menace
d’une ingérence des religions dans les valeurs et
les manières des peuples démocratiques n’est que
trop réelle. Les extrémismes religieux, tels que
nous les connaissons, rêvent d’autre chose que de
démocratie. La parole de Dieu, celle dont ils sont
les détenteurs, prime toute autre constitution. La
croyance clôt tout débat. Il n’y a de science que
religieuse. La charia infirme les juridictions
courantes. La liste des revendications est longue;
des détournements de civilisations pour lesquels ils
sont prêts à en découdre avec l’Occident.»
Comment vivre sa spiritualité en pareilles
circonstances ? Une partie de la réponse provient de
nos sociétés laïques : «Contrairement à la façon
dont d’ordinaire on l’entend, la laïcité n’est pas
quelque chose de neutre. Seul le néant est neutre.
Elle est plutôt faite de valeurs actives autour
desquelles se rassemble une communauté humaine
particulière à laquelle on donne le nom de nation et
de peuple. La laïcité n’est pas cet espace vide que
viendrait combler n’importe quoi. Elle n’est pas une
vacance stérile et inconsistante. Elle a son âme,
son contenu, à la mesure d’une société singulière.
Elle est essentiellement citoyenne. Indépendante des
Églises et des religions, elle assure aux citoyens
d’un même pays, quels que soient leurs choix, la
garantie de vivre, à titre égal, dans une société
organisée où les droits et les devoirs sont
parfaitement définis. Elle a ses règles, ses
rigueurs, ses aspirations. Elle est la propriété de
tous, dans la mesure où tous, sans exception,
acceptent de vivre selon les mêmes valeurs, les
mêmes conditions, les mêmes nécessités. Contre
toutes les sortes d'extrémismes, elle n’a d’autre
protection qu’elle-même… Elle est ce fer de lance
d’une humanité libérée de ses bâillons religieux,
l’unique gage d’une authentique spiritualité,
ouverte sur le monde et l’ensemble des aspects de
l’humain.»
PRÉSENTATION
«La spiritualité dépasse et
transcende le seul cadre des religions. Elle ne
dispose d’aucune institution. Elle n’a guère besoin
pour exister d’une hiérarchie; d’une doctrine
préalablement établie; de dogmes qui viendraient
enchâsser la conduite comme la pensée de chacun;
d’une idéologie qui tracerait définitivement les
frontières de l’esprit; d’une unique porte étroite
par où ne passeraient que les seuls élus de Dieu.
Elle n’exclut personne, ne défend aucun modèle
arrêté. Elle naît du plus profond de nous-mêmes: du
sentiment de notre finitude et de la précarité de
notre condition, entre naissance et mort, sur une
planète minuscule à l’intérieur d’un vaste univers.
Elle n’a de vérité que pérégrine. Elle fait de nous
des êtres en quête d’un amour universel sur le
terreau de l’intuition du beau, du sacré et du
mystère. Elle ne parle ni de péché, ni de grâce, ni
de faute originelle, ni de paradis, ni d’enfer. Elle
rassemble, dans le même élan, dans la même aventure
et dans une totale égalité les hommes et les femmes,
les athées comme les croyants, à l’intérieur d’un
espace laïque, à l’abri des extrémismes, des
théocraties et des appétits outrageusement
religieux.»
Ce livre est disponible en format
papier et électronique sur le site Internet de la
Fondation littéraire Fleur de Lys:
http://manuscritdepot.com/a.roger-pereira.1.htm
— 30 —
Cliquez ici pour télécharger ce communiqué de presse
en format PDF
SOURCE :
Serge-André
Guay, président éditeur
Fondation
littéraire Fleur de Lys
Téléphone : 581-988-7146
Adresse
postale : 31, rue St-Joseph,
Lévis,
Québec. G6V 1A8
Adresse
électronique :
contact@manuscritdepot.com
Site Internet principal :
http://manuscritdepot.com/
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PRÉSENTATION
Religion et spiritualité, essai, Roger Pereira,
Fondation
littéraire Fleur de Lys
La spiritualité dépasse et transcende le seul cadre
des religions. Elle ne dispose d’aucune institution.
Elle n’a guère besoin pour exister d’une hiérarchie
; d’une doctrine préalablement établie ; de dogmes
qui viendraient enchâsser la conduite comme la
pensée de chacun ; d’une idéologie qui tracerait
définitivement les frontières de l’esprit ; d’une
unique porte étroite par où ne passeraient que les
seuls élus de Dieu. Elle n’exclut personne, ne
défend aucun modèle arrêté. Elle naît du plus
profond de nous-mêmes : du sentiment de notre
finitude et de la précarité de notre condition,
entre naissance et mort, sur une planète minuscule à
l’intérieur d’un vaste univers. Elle n’a de vérité
que pérégrine. Elle fait de nous des êtres en quête
d’un amour universel sur le terreau de l’intuition
du beau, du sacré et du mystère. Elle ne parle ni de
péché, ni de grâce, ni de faute originelle, ni de
paradis, ni d’enfer. Elle rassemble, dans le même
élan, dans la même aventure et dans une totale
égalité les hommes et les femmes, les athées comme
les croyants, à l’intérieur d’un espace laïque, à
l’abri des extrémismes, des théocraties et des
appétits outrageusement religieux.
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EXTRAIT
Religion et spiritualité, essai, Roger Pereira,
Fondation
littéraire Fleur de Lys
Chapitre 1
- L'insulte
(texte intégral)
La Bible, le Coran,
la Torah n’ont pas suffi à nous réunir. Nous avons perdu la ferveur des
aventures communes. Notre Terre se résume à de simples continents. Les
religions, de leur côté, pour des raisons qui leur sont propres, ont dressé
leurs cartes de l’esprit. Nous sommes loin d’une terre fraternelle, et ce
qu’il y a d’universel et de commun nous échappe.
Les conquistadores, et les colons après eux, ont assujetti des territoires
et dominé des peuples entiers. Ils les ont vidés d’eux-mêmes. Ils en ont
fait des peuples indignes : des sous-hommes, des sous-races, des moins que
rien. Ils se sont, à leurs dépens, octroyé l’usufruit et la substance du
monde. Les laissés-pour-compte ne se comptent plus. Ils sont nés du mauvais
côté de la planète, sous la mauvaise peau – dans un monde bipolaire, aux
intérêts antagoniques. L’écart entre les peuples s’agrandit. À la périphérie
d’un noyau dur, celui des pays repus, croupissent des populations exsangues
et démunies. Elles constituent une humanité décalée, métèque et secondaire,
que les faits rendent orpheline de son droit de cité – une humanité
déroutée, dépossédée, avilie, à laquelle on a ôté les pouvoirs de son
avenir. Les doctrines économiques, les institutions internationales, les
pratiques utilisées, les stratégies retenues préfèrent au rapport équitable
entre les peuples un équilibre mou, qui abandonne à leur sort des continents
de misère, de désolation, de larmes, et de cris. L’existence, selon le côté
où les gens se situent, n’a ni la même nature ni le même sens : douce et
sereine, ici ; amère et tragique, là. Les États pauvres sont devenus des
pays de l’ombre aux économies vassales. Les institutions internationales
leur imposent des modèles inflexibles aux effets dévastateurs. L’aide qu’on
leur consent, au prix de restrictions sévères, met en pièces le peu de
ressources qui leur reste. Leurs marchés locaux se trouvent inondés de
produits étrangers, à des prix qui découragent la production traditionnelle.
Les pays pauvres, ainsi dépossédés d’eux-mêmes, sous les coups d’une aide –
qui n’a rien d’une entraide – se voient submergés de statistiques, de
courbes de rentabilité, de modèles de développement qui leur servent de
nourriture et d’espoir.
Les dommages sont énormes. On laisse alors aux organisations humanitaires le
soin de réparer les dégâts, de racheter en quelque sorte le cynisme d’un
capitalisme dépravé. Sous cet angle, l’humanitaire sert de rouage à un vaste
détournement d’humanité.
Les organisations non gouvernementales, ainsi que les Églises, ont acquis un
net avantage dans le traitement de la pauvreté. La pauvreté des peuples
constitue, en effet, la base et la matière brute de leur action. Les Églises
profitent de ce chaos humain pour convoquer les âmes ; les organisations non
gouvernementales, quant à elles, se donnent la mission de répondre aux
urgences les plus choquantes ; un dévouement parallèle au service d’affamés
dont la sous-existence se résume à un enfer permanent.
Des nuées d’experts occupent désormais le terrain. Rien n’arrête leur élan.
Ils sont compétents ; et leur savoir, bien rodé. Ils ont à la fois les
outils conceptuels et la capacité de retourner la réalité, de la remettre à
l’endroit. Mais en dépit de leur vocabulaire, de leurs tableaux, de leurs
schémas, de leurs statistiques, rien ne change vraiment.
Le monde, décidément, n’est pas le même pour tous. Le fossé entre les
peuples sépare les pays où l’on peut vivre de ceux où l’on meurt. Les systèmes
économiques actuels, leurs doctrines, leurs méthodes échouent à redonner vie
aux économies qu’ils ont eux-mêmes dévastées. L’aide internationale laisse
en pâture à des experts de toute nature des pays dégradés. Ils en font leur
laboratoire, mais aussi leur eldorado. Les sommes colossales dépensées, sans
que rien aboutisse, auraient probablement un meilleur usage si on aidait
tous ces pays en perte de substance à se doter d’une ossature nationale :
une agriculture de base répondant aux besoins primaires de leurs populations
; des écoles compétentes, aptes à former des élites intellectuelles,
sociales, et techniques ; le passage progressif de la condition d’États
territoriaux à celle d’États institutionnels. Ces pays en quête de
développement, et qui n’ont plus en eux-mêmes leur centre de décision se
retrouvent plus que jamais aliénés, et assujettis. L’expatriation de leurs
élites témoigne de cette infernale dépossession. Les autres (les
crève-la-faim, les illettrés) tentent, au péril de leur vie, de quitter
leurs terres ingrates. On les refoule hâtivement, sans la moindre humanité.
On les tient pour des nouveaux barbares, visibles de peau, dont on redoute
la contamination.
L’Occident résiste au ressac, au flot – d’hommes, de femmes, et d’enfants –
qui déferle à ses frontières. Il se barricade, préserve ses domaines. Les
mers et les océans servent de douves à ses châteaux forts, aux donjons et
aux tourelles desquels des doctrines flamboyantes – de la pureté du sol, de
la race, et du sang – s’accrochent tels des ex-voto. Il écarte et repousse
ceux qui, morts de faim, s’acharnent à mendier la vie.
Nous sommes loin de l’idéal de Térence : « Je suis homme, et rien d’humain
ne m’est étranger ». L’humanisme dont bien des peuples se réclament s’efface
à mesure devant la négation de l’autre. Les complicités que suscitait
l’aventure humaine sont maintenant choses du passé. L’espèce humaine s’est
fragmentée, au détriment des projets communs.
Les civilisations s’opposent ; les religions aussi : elles se font la guerre
sous le prétexte de Dieu. « Il n’y a, disait Paul de Tarse aux Galates, ni
hommes, ni femmes, ni Juifs, ni Grecs, ni hommes libres, ni esclaves ; vous
êtes tous en un… » Cette fraternité a avorté sous les secousses de
l’histoire. Chacun est prisonnier de sa catégorie : les hommes ; les femmes
; les Juifs ; les Grecs ; les hommes libres ; les esclaves. De tels
cloisonnements illustrent nos exclusions mutuelles. Devant un monde difforme
et délabré, il convient de se poser la question de l’utilité des religions
traditionnelles, et du rôle que pourrait jouer une nouvelle forme de
spiritualité, dégagée de l’entrave des religions.
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AU SUJET DE L'AUTEUR - BIOGRAPHIE
Roger Pereira
Après de longues années d’étude en philosophie, en
théologie, en histoire et en sciences de
l’éducation, l’auteur s’est consacré à
l’enseignement en Haïti, en France, au Zaïre, au
Maroc, et au Canada.
Il a su s’adapter aux données propres à chacun de
ces pays, tout en s’imprégnant de leurs diversités
culturelles spécifiques. Cela a eu pour effet
d’enrichir son expérience internationale.
La diversité de ses domaines d’étude a par ailleurs
contribué grandement à analyser et à mettre en
perspective, sous différents angles, les données
dont il fait état dans ce livre.
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DU MÊME AUTEUR - BIBLIOGRAPHIE
Roger Pereira
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Religion et spiritualité
Roger Pereira
Essai, Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2011, 104 pages.
ISBN 978-2-89612-395-7
http://manuscritdepot.com/a.roger-pereira.1.htm
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Les chemins de l'absence
Roger Pereira
Essai, Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2012, 244 pages.
ISBN 978-2-89612-411-4
http://manuscritdepot.com/a.roger-pereira.2.htm
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Articles
Le ressac de l’histoire
6 août 2010, Alter Presse, Haïti
Haïti : Une société éducative
27 août 2010, Alter Presse, Haïti
Haïti : La sommation de l’histoire
17 octobre 2008, Alter Presse, Haïti
Haïti ou l’épreuve de la liberté
Chemins critiques, vol. 5, No 1, janvier 2001
Autre livre
Les Galops de Dune, recueil de poèmes
collection Albums, avril 1977, Éditions Naaman
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Roger
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