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Les livres de Roger
Pereira |
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Religion
et spiritualité
Roger Pereira
Essai, Fondation littéraire Fleur de
Lys,
Lévis, Québec, 2011, 104 pages.
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Les chemins
de l'absence
Roger Pereira
Essai, Fondation littéraire Fleur de
Lys,
Lévis, Québec, 2012, 244 pages.
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Les
chemins de l'absence, essai, Roger Pereira,
Fondation
littéraire Fleur de Lys |
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COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Les
chemins de l'absence, essai, Roger Pereira,
Fondation
littéraire Fleur de Lys
Une
réflexion essentielle sur la vie
Quant à réfléchir sur notre vie,
notre rapport à l’autre, notre conception du monde…
aussi bien le faire avec une personne d’expérience,
un auteur qui a su s’arrêter là où nous sommes
passés tout droit. C’est là la proposition de la
Fondation littéraire Fleur de
Lys en publiant
LES CHEMINS DE L’ABSENCE de Roger Pereira.
On le sait, dans ce genre de
réflexion, c’est la perspective et le recul obtenus
de la connaissance et de l’expérience qui nous font
défaut. Roger Pereira peut se vanter de nous offrir
une part importante de la connaissance utile, car il
cumule de longues années d’étude en philosophie, en
théologie, en histoire et en sciences de
l’éducation.
Et l’expérience partagée avec le
lecteur est internationale puisque l’auteur s’est
consacré à l’enseignement en Haïti, en France, au
Zaïre, au Maroc, et au Canada. Il a su s’adapter aux
données propres à chacun de ces pays, tout en
s’imprégnant de leurs diversités culturelles
spécifiques.
Nous voilà donc en présence de tous
les ingrédients nécessaires pour réussir une saine
réflexion, c’est-à-dire sans l’insécurité qui
caractérise souvent nos efforts pour mieux nous
connaître et pour appréhender le monde sagement.
Fait notable, le lecteur découvre ou
conserve toute sa liberté de pensée. En effet, LES
CHEMINS DE L’ABSENCE ne nous impose aucun dogme,
aucune voie, mais des pistes de réflexion avec les
balises utiles pour ne pas se perdre dans des
fumisteries.
PRÉSENTATION
« Nous avons peine à comprendre que
le contact avec les autres en est un avec
nous-mêmes. L’un ne peut aller sans l’autre. Notre
présence au monde nous plonge nécessairement dans un
réseau de relations et d’influences, et l’expérience
que l’on en fait nous convainc que l’autre n’est
jamais le contraire de nous-mêmes. Nous sommes
fondamentalement de la même essence, de la même
condition, et nos épreuves sont communes. Cela fait
de l’autre notre semblable, sans rien perdre pour
autant de notre singularité et de notre altérité.
Nous sommes aussi l’autre tout en étant nous-mêmes.
Nous faisons tous partie du genre humain et, à nous
seuls, nous ne constituons ni une race ni une
espèce. Seuls nos égoïsmes et nos travers, du
domaine de l’idéologie et de l’avoir, occultent une
telle fraternité. L’avenir de notre humanité dépend
de cette priorité de l’être. Nous demeurons
toutefois, et indépendamment des équilibres auxquels
nous sommes parvenus, des êtres foncièrement
limités. Notre condition humaine est tout sauf un
modèle de perfection. Nous restons soumis aux
mésententes de la chair et de l’esprit, de
l’animalité et de la spiritualité; nous nous perdons
en cours de route et fréquentons les eaux glauques
de l’obscurité, cette face cachée, souvent peu
glorieuse, de nous-mêmes. N’étant que des êtres de
passage, nous nous exposons délibérément à la
tentation de l’excès. Et même si, pour nous
ressaisir, nous revenons aux chemins de l’esprit,
nous gardons en nous la mémoire du doute et des
incertitudes. N’étant que des êtres provisoires,
dont l’issue temporelle est connue, nous essayons de
vivre du mieux que nous pouvons, en attendant de
traverser cette dernière ligne d’horizon où la mort
nous attend, sur les chemins de l’absence.»
Ce livre est disponible en format en
papier et électronique sur le site Internet de la
Fondation littéraire Fleur de Lys :
http://manuscritdepot.com/a.roger-pereira.2.htm
— 30 —
Cliquez ici pour télécharger ce communiqué de presse
en format PDF
SOURCE :
Serge-André
Guay, président éditeur
Fondation
littéraire Fleur de Lys
Téléphone : 581-988-7146
Adresse
postale : 31, rue St-Joseph,
Lévis,
Québec. G6V 1A8
Adresse
électronique :
contact@manuscritdepot.com
Site Internet principal :
http://manuscritdepot.com/
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TABLE DES MATIÈRES
Les
chemins de l'absence, essai, Roger Pereira,
Fondation
littéraire Fleur de Lys
Les laissés-pour-compte
La traversée du temps
Amours, délices et orgues
Le rapport à l’argent
Le rapport aux autres
Le rapport au réel : le jeu de l’irréalité
Le rapport à soi
Au sujet de l’auteur
Du même auteur
Communiquer avec l’auteur
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PRÉSENTATION
Les
chemins de l'absence, essai, Roger Pereira,
Fondation
littéraire Fleur de Lys
Nous avons peine à comprendre que le contact avec
les autres en est un avec nous-mêmes. L’un ne peut
aller sans l’autre. Notre présence au monde nous
plonge nécessairement dans un réseau de relations et
d’influences, et l’expérience que l’on en fait nous
convainc que l’autre n’est jamais le contraire de
nous-mêmes. Nous sommes fondamentalement de la même
essence, de la même condition, et nos épreuves sont
communes. Cela fait de l’autre notre semblable, sans
rien perdre pour autant de notre singularité et de
notre altérité. Nous sommes aussi l’autre tout en
étant nous-mêmes. Nous faisons tous partie du genre
humain et, à nous seuls, nous ne constituons ni une
race ni une espèce. Seuls nos égoïsmes et nos
travers, du domaine de l’idéologie et de l’avoir,
occultent une telle fraternité. L’avenir de notre
humanité dépend de cette priorité de l’être. Nous
demeurons toutefois, et indépendamment des
équilibres auxquels nous sommes parvenus, des êtres
foncièrement limités. Notre condition humaine est
tout sauf un modèle de perfection. Nous restons
soumis aux mésententes de la chair et de l’esprit,
de l’animalité et de la spiritualité; nous nous
perdons en cours de route et fréquentons les eaux
glauques de l’obscurité, cette face cachée, souvent
peu glorieuse, de nous-mêmes. N’étant que des êtres
de passage, nous nous exposons délibérément à la
tentation de l’excès. Et même si, pour nous
ressaisir, nous revenons aux chemins de l’esprit,
nous gardons en nous la mémoire du doute et des
incertitudes. N’étant que des êtres provisoires,
dont l’issue temporelle est connue, nous essayons de
vivre du mieux que nous pouvons, en attendant de
traverser cette dernière ligne d’horizon où la mort
nous attend, sur les chemins de l’absence.
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EXTRAIT
Les
chemins de l'absence, essai, Roger Pereira,
Fondation
littéraire Fleur de Lys
Les laissés-pour-compte
Comme le fait le chien des recoins d’une maison, nous cherchons à prendre
possession du monde, à nous l’approprier. Nos mains ne suffisent pas à tout
prendre, à tout apprivoiser. Nous aimerions
aller plus loin, mais nous avons peine à explorer, au-delà de
nous-mêmes, d’autres horizons. La transgression de nos limites nous remplit
d’inquiétude. Nous prenons conscience de notre finitude. Notre existence se
résume le plus souvent à des riens – à des gestes quotidiens; à des soleils
qui se lèvent et se couchent; à des lunes porteuses de rêves et que le jour
dilue; à des rituels qui occupent nos heures, et qui bien des fois nous
accablent d’ennui. L’évolution, certes,
a fait de nous des êtres solaires, doués de la faculté de
penser, de comprendre, et de dire. Mais cette lumière se marie aux ombres
dont nous sommes familiers.
Le point zéro du malheur est
l’inutilité : cette impression de
n’avoir pour seul horizon que d’exister. La vie n’a de sens que si
elle nous offre l’occasion d’être les maîtres d’œuvre de notre propre
existence. L’occupation de l’espace et du temps, sans une histoire
singulière que l’on s’invente, sans la possibilité de mettre en œuvre des
projets personnels, n’est d’aucun profit. Trop de gens se trouvent, à leur
naissance, prisonniers des maillons d’une histoire sociale qui s’est faite
sans eux et dont la charge paralyse leur
vie. On les compte par millions, ces naissances captives. Elles ont
tout du délabrement et comme un avant-goût de la mort. Elles remplissent
nos décharges : des enfants-poubelles, corsetés dans le malheur, dont on ne
s’occupe guère et qu’on abandonne
vivants aux puissances de l’ombre.
Le fatalisme, le karma – et d’autres théories du même genre – ne changent
rien à la dureté d’insupportables réalités. Nos bonheurs comme nos malheurs
s’entrecroisent sans se ressembler; la vie est souvent loin de correspondre
aux rêves qui nous traversent l'esprit ni à l’idée qu’à l’origine nous nous
faisions de l’existence. Nous restons certes, en théorie du moins, les
acteurs de notre destinée, mais les moyens d’une telle entreprise et les
sociétés qui servent de cadre à notre achèvement demeurent pour des millions
de gens, en raison de leurs inégalités, de redoutables et cruels
partenaires. Si certains arrivent, de peine et de misère, à s’en sortir, ce
n’est là que des cas d’exception. Des populations entières vivent encore
dans des sociétés étouffantes.
Aux détresses sociales, la nature ajoute les handicaps physiques. Elle a sa
part de ratés parmi ses réussites. Des êtres à moitié achevés chez qui la
souffrance corporelle sert à l’âme d’affligeante initiation. Elle a, quand
ça lui plaît, tout d’un peintre aux couleurs inexactes. Entre la naissance
et la mort se distribue un foisonnement de conditions difficilement
supportables. Ceux que la calamité accable par un défaut de vie sont pressés
d’en finir. Hormis ces cas extrêmes
particulièrement douloureux, l’existence,
dans ses données mêmes, a quelque chose
de privatif. Soumis aux aléas du temps, notre avenir à maints égards
nous échappe; nous restons à terme – et peu importe notre histoire
personnelle – des êtres de pénurie et d’indigence.
Pour compenser nos manques – cette part
d’absence dont nous avons pleinement conscience –, nous adoptons les
conduites de l’instinct. Nous nous regroupons devant l’adversité,
pour apaiser l’émoi de notre vulnérabilité. À la façon des oiseaux d’une
même espèce se serrant les uns contre les autres, sans en être effarouchés,
nous nous joignons aux autres; une alliance qui nous sert d’âme, de force
collective. Nos sociétés naissent de ce besoin de se protéger. Ce réflexe
associatif se trouve à l’origine du langage, de la communication, des
habitudes, des conformités sociales. Il reproduit tout à fait le modèle
animal selon lequel les loups se tiennent avec les loups, les zèbres avec
les zèbres, les bernaches avec leurs
pareilles… Mais, pour nous, dont la pensée et l’esprit commandent
notre animalité, nous ne faisons pas de notre espèce humaine quelque chose
de fraternel et d'indivis. Nous la fractionnons, en fonction de nos
égoïsmes, de nos préjugés – épidermiques,
culturels, économiques et politiques. Des peuples entiers se
retrouvent exilés dans leur banlieue humaine, qui leur tient lieu de
ghetto. Cela produit un imbroglio
d’humanités étrangères, à l’origine de nos disputes, de nos
idéologies assassines. Nous faisons de ceux qui ne sont pas de notre bord
des êtres sans visage et sans âme; nous en perdons et la trace et la
mémoire; ils nous deviennent indifférents. Nous manifestons tout au plus à
leur endroit un apitoiement de façade, et quand nous les gratifions
de notre attention, c’est pour mieux écarter leur nuisance.
La mondialisation, ce concept auquel on
prête la vertu de résoudre nos insuffisances, ne fait pas dans
l’humanisme. Elle enserre de ses tentacules des peuples laissés en
déshérence; elle leur impose sa vision dogmatique : de l’économie, du
politique et du développement. Elle leur tient un langage glacial et sans
nuances, et peu lui importe leur agrément et le poids de leur malheur. Le
bien-être des peuples – leur condition sociale – fait défaut aux
préoccupations de notre modernité. Une poignée de pays monopolisent le
monde; ils en occupent le centre et abandonnent à leur gravitation des
populations anémiques, condamnées à poursuivre le périple orbital d’une
existence tourmentée. Le train rapide de l’opulence les laisse à quai sans
billet, alors que l’ambition des pays de pauvreté n’est pas de l’occuper à
eux seuls, d’en prendre toute la place, mais d’avoir une petite part du
voyage et de l’aventure humaine.
Entre richesse et précarité, court cette ligne médiane en deçà de laquelle
la vie, dénuée de sens, n’est qu’une litanie d’épreuves. Les traîne-misère
soupirent à la franchir. Une ligne imaginaire semblable à celle de
l’équateur. Ce rêve qu’ils entretiennent leur procure, en de rares moments,
la fantaisie de l’oubli. Cette amnésie,
bien qu’éphémère, les aide à vivre et à exister. Mais quand la misère
atteint son paroxysme, elle n’a d’autre effet que d’aviver leur
malheur. Bien des pauvres, pour cette
raison, s’interdisent de rêver. Dans les pays de misère, dès le
lever du soleil, dans les dédales des villes ou les coins reculés des
campagnes, des fourmilières humaines courent de-ci de-là, montent,
descendent, s’activent dans un perpétuel
va-et-vient, à la recherche d’une hypothétique subsistance. Elles
s’affairent de la sorte pour leurs enfants, accrochés telles des épaves à
leur vie.
Les peuples qui souffrent de ne pas
avoir suffisamment de quoi manger s’exposent, à force de lutter pour
leur survie, à passer de la raison à des moments de folie. À défaut de
pouvoir se faire soigner, ils font de l’art, sous toutes ses formes, leur
unique thérapie. On s’en émerveille, on les donne en exemple, on en parle
comme des peuples enfants, dont on loue la vertu, mais on peine à voir, sous
cet abri de façade, leur âme anesthésiée. Le théâtre de
cette misère folle a sans doute conduit
André Breton, lors de sa visite en Haïti en 1945, à y voir là, dans
leurs peintures, leurs chants et leurs danses, les marques évidentes d’un
surréalisme, un esthétisme de la démence et de la démesure; une diversion,
silencieuse, quasi souterraine, que l’on pourrait
qualifier de révolution interne
qu'impose la nécessité.
On a tendance, dans ces régions d’extrême pauvreté, à ne pas voir ou à
passer sous silence l’existence de ces poignées de profiteurs avides dont la
richesse et le luxe relèvent du scandale et de l’indécence. Ils accaparent
les ressources locales et affichent une
gloutonnerie tentaculaire. Des dynasties au faîte du pouvoir et de
l’argent, et qui se transmettent leur héritage de génération en génération.
Le scandale – quels que puissent être au demeurant les cas d’exception –
découle de cet écart entre les accapareurs des ressources, du pouvoir et des
biens, et le gros d’un peuple réduit à un stade d’hébétement proche de
l’esclavage; un peuple bon marché et méprisé dont on retient la force de
travail pour des salaires de misère, grâce à laquelle s’accroît la valeur
ajoutée dont s’enrichit une bourgeoisie implacable.
L’existence de
ces pays des pauvres – appellation plus juste que celle de pays
pauvres – fait l’affaire des économies avancées dont les stratégies
actuelles empruntent de plus en plus les voies de la délocalisation et de la
sous-traitance. Elles tirent parti, dans la chaîne des profits, du bas
salaire de ces ouvriers bâillonnés, exploitables et résignés. Elles
s’accommodent tout à fait de la corruption, de l’inexistence de réelles
démocraties et de la débâcle du droit. Le désordre chronique de ces États du
tiers-monde leur est en quelque sorte utile dans la mesure où il leur permet
de faire et d’accepter sans état d’âme ce qui serait intolérable chez eux.
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chemins de l'absence, essai, Roger Pereira,
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AU SUJET DE L'AUTEUR - BIOGRAPHIE
Roger Pereira
Après de longues années d’étude en philosophie, en
théologie, en histoire et en sciences de
l’éducation, l’auteur s’est consacré à
l’enseignement en Haïti, en France, au Zaïre, au
Maroc, et au Canada.
Il a su s’adapter aux données propres à chacun de
ces pays, tout en s’imprégnant de leurs diversités
culturelles spécifiques. Cela a eu pour effet
d’enrichir son expérience internationale.
La diversité de ses domaines d’étude a par ailleurs
contribué grandement à analyser et à mettre en
perspective, sous différents angles, les données
dont il fait état dans ce livre.
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DU MÊME AUTEUR - BIBLIOGRAPHIE
Roger Pereira
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Religion et spiritualité
Roger Pereira
Essai, Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2011, 104 pages.
ISBN 978-2-89612-395-7
http://manuscritdepot.com/a.roger-pereira.1.htm
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Les chemins de l'absence
Roger Pereira
Essai, Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2012, 244 pages.
ISBN 978-2-89612-411-4
http://manuscritdepot.com/a.roger-pereira.2.htm
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Articles
Le ressac de l’histoire
6 août 2010, Alter Presse, Haïti
Haïti : Une société éducative
27 août 2010, Alter Presse, Haïti
Haïti : La sommation de l’histoire
17 octobre 2008, Alter Presse, Haïti
Haïti ou l’épreuve de la liberté
Chemins critiques, vol. 5, No 1, janvier 2001
Autre livre
Les Galops de Dune, recueil de poèmes
collection Albums, avril 1977, Éditions Naaman
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Roger
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Roger Pereira se fera un plaisir de lire
et
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