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ANDRÉ LEFEBVRE
Les souliers d’beu !
Essai
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2015, 286 pages.
ISBN 978-2-89612-472-5
Exemplaire numérique gratuit (PDF)


PRÉSENTATION
Les souliers d’beu
! essai, André Lefebvre,
Fondation littéraire Fleur de Lys
Ce livre intitulé « Les souliers d’beu »
est un « retour aux sources ».
Il raconte une partie de l’histoire des « Canayens » qu’on appelle
aujourd’hui, les anciens « Canadiens-Français ». Ces Canayens sont
la première nation qui vint s’installer en Amérique du Nord pour
vivre en compagnie de la nation autochtone, les Amérindiens. Les
deux nations furent très heureuses de se rencontrer et de se
connaître. Ils parvinrent assez rapidement et facilement à vivre,
non seulement en « bon voisinage », mais en « symbiose ». Il y eut
bien une mésentente entre les nouveaux arrivants français et les
Iroquois, mais ce ne fut qu’une petite erreur de parcours. Les
Français, suite à une situation provisoire de survie, durent
s’ingérer dans une tentative de bouleversement du système de troc
existant sur le territoire depuis des millénaires. D’ailleurs, même
si la mésentente perdura avec les autorités françaises en stage au
pays; elle s’effaça rapidement avec les colons arrivants, qui
adoptaient le territoire Nord-Américain comme leur « nouvelle patrie
». Ce fut ces colons qui mutèrent en « Canayens » aussitôt arrivés
sur place.
Cette nouvelle nation adopta des us et coutumes, une philosophie, un
mode de vie et un caractère complètement différents de ce qu’ils
connaissaient auparavant dans leur pays d’origine. Elle conserva
cependant sa langue, le Français. On se doit de mentionner que ce
Français, dont ils usaient, était uniforme à travers toute leur
population, contrairement à la langue parlée en France qui avait au
moins cinq dialectes dont les usagers avaient de la difficulté à se
comprendre entre eux. Nos Canayens parlaient la « langue royale ».
Celle dont se servaient les Parisiens de cette époque. Cette langue
est disparue de France aujourd’hui. Seuls les Québécois en ont gardé
bonnes traces. Par contre, même si les Français d’aujourd’hui,
lorsqu’on les visite, s’exclament : « Mais vous êtes Canadiens! Je
reconnais bien votre accent! » Avouons que premièrement, ce n’est
pas nous, du tout, qui avons un accent, ce sont eux. Deuxièmement ce
supposé « accent » ne nous dit pas Canadiens, mais plutôt Québécois.
La majorité des Canadiens ne parlent pas comme nous. Ceci dit, même
aujourd’hui, le Québécois ne parle pas exactement de la même façon
que ses ancêtres. La langue française des Canayens a évolué tout
comme toute autre langue qui reste en usage.
« Les souliers d’beu », en plus de vous dévoiler le courage,
l’astuce et l’esprit de liberté des Canayens, vous fera vivre
également, les conversations de ces hommes et femmes remarquables,
en vous faisant vivre ce qu’était la « langue royale » des habitants
de Paris au XVIIe et XVIIIe siècle. Il ne faudra pas vous surprendre
de lire : « Y est venu s’assire à la table »; car le Y remplaçait le
« il » et le verbe « asseoir » se conjuguait en « assire » à
l’époque de la royauté. Mais cela ne devrait pas vous causer
beaucoup de problèmes ni à la lecture, ni à la compréhension des
échanges entre personnages. À mes yeux, c’est plutôt un « cachet »
intéressant à expérimenter.
En espérant que vous aimerez parcourir ce travail autant que j’ai eu
plaisir à le produire, je vous souhaite une agréable lecture.
André Lefebvre
SOMMAIRE
Les souliers d’beu ! essai, André Lefebvre,
Fondation littéraire Fleur de Lys
Présentation
Au sujet de l’auteur André Lefebvre
Préambule
Mai 1760
Charles-Michel Mouet de Langlade
L’Île-aux-Noix
L’Île-aux-Noix (suite)
La capitulation de Montréal, 1760
Trois-Rivières
Cap-Santé
Le Baptême
Le voyage
Grouillez-vous, on arrive!
Fort Détroit 1760
En route pour la Baie-des-Puants
Retour à la bicoque !
Le Pow wow
Opération circonspecte de renseignement!
Le Massacre
La bataille de Bushy Run
Le destin inévitable!
Retour aux sources : le Québec !
Le « promeneux »!
Mœurs capitalistes!
Quelle langue employer?
L’Amérique prend naissance!
La liberté découle toujours d’une façon de voir !
L’appel de la liberté!
Être responsable de ses actes, à l’ancienne !
Mauvaise Étoile !
Les impôts et les taxes!
Rébellion de 1837
Rébellion 1837(suite)
Les derniers héros connus
Le Klondike
Les guerres mondiales
Prise deux ! Silence! On tourne !!!
Communiquer avec l’auteur
EXTRAIT
Les souliers d’beu ! essai, André Lefebvre,
Fondation littéraire Fleur de Lys
PRÉAMBULE
Avant de commencer, laissez-moi fournir quelques lumières sur ce bouquin. Il
est ce qu’on pourrait appeler un « roman historique ». Aussi curieux que
cela soit, ce « roman » représente plus l’histoire de mon peuple que tout ce
qui me fut enseigné sur le sujet. Nous ne sommes donc pas devant « une
réalité qui dépasse la fiction », mais devant une « fiction qui est la
réalité ».
Tous les personnages, impliqués dans ce récit, ont réellement existé; sauf
une seule personne qui se nomme Marie-Louise Dubois, sœur d’Honoré Dubois de
la Miltière. J’ai également imaginé le scénario relationnel de certains
personnages et créé des liens fictifs entre Michel Lefebvre et Pontiac.
Rien, ni aucun document officiel découvert jusqu’ici, ne confirme que Michel
Lefebvre et Honoré Dubois de La Miltière se connaissaient. De plus, celui-ci
a bien eu une sœur appelée Marie-Louise, mais elle est décédée en bas âge et
ne peut pas avoir vécu avec lui, à New York. Tout le reste fait partie de la
réalité historique.
Michel Lefebvre de Cap-Santé a réellement vécu et est vraiment décédé à la
date mentionnée, comme le prouve l’écrit du registre de la paroisse de
Cap-Santé; mais l’épisode de l’attaque par les Indiens, sur sa terre de New
York, est imaginaire. Tout autant que la relation entre Michel et Obwandiyag
que je vais raconter dans la révolte de Pontiac.
Ce récit n’est donc pas une solution au mystère généalogique recouvrant
l’origine de Pierre Lefebvre, dont il sera question dans la suite du récit.
Tous les personnages ont existé, mais leur interrelation n’est basée sur
rien d’officiel historiquement. Par contre, les événements dans lesquels ces
personnages évoluent, sont tous historiquement réels et la mentalité et
l’opinion des « Canayens » de l’époque est tout à fait exacte.
Le Pierre Lefebvre dont il est question, est mentionné pour la première fois
dans notre histoire officielle, lors de son mariage avec Marie-Josephte
Collard, à Terrebonne, Québec, le 4 avril 1785. On ne sait pas du tout d’où
il vient. C’est sur cet acte de mariage qu’on apprend le nom de ses parents
: Michel Lefebvre et Marie Louise Dubois; qui sont, tous les deux, déjà
décédés lors de cet événement. Sa mort brutale racontée ici est fictive. Par
contre, j’ai pu finir par solutionner son mystère, et sa vraie histoire est
racontée dans mon livre précédent : « L’histoire de ma nation ».
Vous découvrirez dans ce livre, notre vraie histoire en Amérique, depuis
l’année 1760, selon l’opinion que s’en faisaient nos ancêtres qui y ont
participé.
AU
SUJET DE L'AUTEUR
André
Lefebvre
Vous dire
qui est André Lefebvre?
Comment le pourrait-il?
Il n’est ni son nom, ni son numéro d’assurance sociale, ni sa
profession, ni sa race, ni son âge. Il n’est rien de tout cela.
Curieusement, personne d’autre ne l’est non plus.
Il est … lui-même. Celui qui a écrit ce livre. Il l’a justement
écrit pour connaître QUI il était. Alors s’il vous le dévoilait ici,
vous n’aurez plus besoin de lire ce livre et il l’aura écrit pour
absolument rien.
Donc, pas question! Si vous voulez savoir qui il est, il vous
faudra lire ce bouquin. D’ailleurs vous en trouverez sûrement un
avantage, selon lui, car il vous dira également QUI vous êtes. Du
moins si vous êtes de sa nation. Sinon, il vous dévoilera comment
faire pour découvrir votre identité nationale.
Ne croyez pas que ce soit évident. Au contraire les informations
« officielles » sont, la plupart du temps, biaisées et déformées.
D’autant plus que, le plus souvent, elles n’ont aucun rapport avec
QUI nous sommes. Vous le découvrirez en lisant son histoire.
Son vécu?
Pas meilleur ni pire que toute autre personne. Oui il a voyagé.
Oui il a travaillé quelques années sur un autre continent. Oui il a
des amis de différentes nationalités et oui il a connu des
difficultés; mais rien de pire que tout autre être humain. Et
l’ensemble de tout ça à fait de lui CE QU’il est; mais cela n’a rien
à voir, ou si peu, avec QUI il est.
A-t-il fait quelque chose d’important dans sa vie?
Effectivement il a fait quatre enfants; trois garçons et une
fille. À part cela, la seule chose importante qu’il ait faite,
dit-il, est d’écrire ce livre qui l’identifie, ainsi que près de 7
millions de personnes.
Pourquoi a-t-il écrit ce livre?
Excellente question à la quelle il vous laisse répondre. Vous le
découvrirez certainement.
Qu’est-ce qui le passionne?
L’histoire et la science.
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Lefebvre
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